La Macronie est en train de sombrer ...
On assiste actuellement à un alignement des planètes qui fait régner sur Macron et sur le progressisme en général, un climat sombre annonciateur d’une fin calamiteuse.
L’audiovisuel de service public, officine gauchiste s’il en est, est dans l’oeil du cyclone. Cela a commencé avec l’affaire Thomas Legrand-Patrick Cohen qui a juste mis quelques noms sur la collusion déjà connue entre cet organisme et le Parti socialiste.
Cela continue, en ce moment même avec la commission d’enquête parlementaire sur la gestion et le pluralisme de cet organisme. Ce qui me donne l’occasion de saluer l’excellent travail du rapporteur de cette commission, le député UDR Charles Alloncle.
Macron, quant à lui, vient d’essuyer un terrible revers avec ce clip vidéo improbable et contre-productif contre CNews qui, comme l’a bien dit David Lisnard, était :
le premier communiqué du ministère de la vérité.
Au plan international, Macron et tous les européistes béats viennent de recevoir un camouflet cuisant avec le document de stratégie diffusé par la Maison Blanche qui met gravement en cause l’Union européenne, accusée de bafouer la liberté d’expression, de laisser les portes grandes ouvertes à l’immigration au point de risquer « un effacement civilisationnel », le tout, sans jamais écouter ses peuples.
Ça surchauffe sur les réseaux sociaux et sur les sites de ré-information comme par exemple Boulevard Voltaire. Ce dernier a eu l’excellente idée de compulser les commentaires recueillis sur son site web à propos de Macron et de son idée de labellisation des médias.
Et ça donne ça :
« La censure, c’est la branche à laquelle on s’accroche
quand on sent qu’on est en train de sombrer. »
Si, il y a 220 ans, brillait le soleil d’Austerlitz, aujourd’hui, pour Ravi au lit :
« Macron peut toujours faire pire ! »
Et « Macroléon » n’est pas seul. Lui aussi à ses fidèles généraux comme Nuñez qui, sur le lien entre immigration et délinquance, donne à Zonzon :
un sentiment d’incompétence et de déni de la réalité des chiffres.
Pour Bruno :
c’est simplement de la mauvaise foi, et si M. Nuñez devient ministre de la Santé, il imagine qu’il ne fera pas le lien entre le tabac et le cancer du poumon.
Comme Michel Beraudo-March, d’ailleurs, qui résume et s’exclame :
la pensée subtile de Laurent Nuñez : Je refuse de dire que deux et deux font quatre, mais en même temps, il est possible qu’il y ait un lien entre deux et deux et quatre. […] à ce niveau, c’est du grand art !
Aby s’indigne :
Et pour couronner le tout, notre Président veut museler l’information ! Ça l’arrangerait, que certains journalistes ne parlent plus du réel qu’il ne peut plus maîtriser. Comme cela, nous ne ferons plus de lien entre l’immigration et la délinquance.
Ce n’est pas faux, puisque Macron rêve de mater CNews, cette « dissidence audiovisuelle ».
Encore une preuve, pour Aldo Macrone :
la seule chose à retenir de Macron, c’est qu’il peut toujours faire pire !
« Je communique, donc je suis »
De toute façon, pour notre commentateur :
Macron détient le label du Président artificiel avec palme d’or de l’irresponsable …
Michel Beraudo-March y trouve un avantage :
c’est éclairant pour les naïfs qui croyaient encore que Macron était un démocrate.
Pourtant, ce n’est pas faute d’avoir soigné sa communication : un milliard d’euros par an !
Pour Grazie, cela tient de la philosophie :
Je communique, donc je suis, l’illusion de l’action,
mais pour PF78 :
c’est une stratégie de croire que la com’ va faire oublier la dette, l’insécurité, les impôts et la dégringolade internationale …
De toute façon, constate Dnalor :
l’État français est le roi du gaspillage !
et Romulus-332 s’indigne :
Macron nous explique comment faire des économies en dilapidant l’argent des Français.
D’autant plus déconcertant, qu’après 2027, la consolidation budgétaire déclenchera un déluge d’impôts …
Mais cela n’a rien d’étonnant, pour Jlm54 :
puisqu’à Bercy, à part imaginer comment piller les Français qui produisent ou ont produit, ils ne savent rien faire d’autre pour mettre nos finances à l’équilibre. Trancher dans des dépenses qui nous ruinent et qui ne produisent rien n’est pas dans leur logiciel, et pour cause, ils sont biberonnés à la sauce gaucho !
« Très bonne idée que ce label … »
Ils ne sont pas les seuls à être abreuvés des idées de gauche, au point de virer parfois dans le complotisme primaire, comme Télérama, qui va jusqu’à craindre une Internationale d’extrême droite.
PF78 ironise :
C’est assez drôle que les soi-disant défenseurs de la démocratie s’opposent à elle quand elle ne va pas dans leur sens.
Jacques Darricarrere relève :
Cela s’explique sans doute parce que la gauche a longtemps gardé le monopole de l’info donc elle ne supporte pas que la droite la reprenne à son compte. Surtout, ce qui fait mal, c’est que les médias de droite parlent de ce que les Français éprouvent et voient dans leur vie quotidienne. L’aveuglement est terminé.
Et, évidemment, ça ne plaît pas à Macron, qui voudrait imposer son label sur les médias autorisés, ce que les commentateurs de BV jugent contre-productif :
JdesSaules, se réjouit :
Très bonne idée que ce label, à l’image de ces symboles qui avertissent de la présence de matières dangereuses dont il est prudent de s’éloigner, l’étiquette de conformité délivrée aux média macrono-compatibles préservera d’emblée de toute intoxication consécutive à un contact avec de la désinformation déguisée en incontestable vérité.
En tout cas, constate RV :
la censure, c’est la branche à laquelle on s’accroche quand on sent qu’on est en train de sombrer.
Effectivement, le Président est nu … et, d’ailleurs, pour Georges Mousset :
quoi qu’il fasse, c’est trop tard, il est grillé, mais s’il veut faire un cadeau à son peuple pour la fin d’année, qu’il tire sa révérence, nous serons des millions à apprécier un tel cadeau.
Une chose est sûre, pour Louis-Marie :
Macroléon, notre Mozart de la finance, est en train d’écrire son Requiem ; la question est de savoir qui en est l’objet de la France ou de lui-même …
Boulevard Voltaire.




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