Font-elles vraiment avancer la cause des minorités ?

Publié par le 6 Juil, 2020 dans Blog | 0 commentaire

Font-elles vraiment avancer la cause des minorités ?

C’est à ça qu’on voit qu’on a affaire
à un gouvernement de gauche :

La présence d’une ou plusieurs représentantes des minorités « brimées » dans le casting gouvernemental !

François Hollande avait poussé le bouchon très loin en cumulant les sectaires Christiane Taubira et Najat Vallaud-Belkacem, qui plus est, en leur confiant des maroquins stratégiques tels que la Justice et l’Education nationale.

Emmanuel Macron, quant à lui, se contente de Sibeth Ndiaye qui, à elle seule, produit plus de « buzz » que les deux précédentes égéries réunies.

Quel est le but recherché en mettant en avant de telles femmes ?

La gauche se donne bonne conscience en promouvant ces femmes appartenant aux minorités. Mais pourquoi des femmes et très rarement des hommes ? Ce n’est pas non plus sans l’arrière-pensée que lorsque l’opposition critiquera l’intéressée, la gauche pourra brandir les accusations cumulées de machisme et de racisme. Le cocktail gagnant !

Si vous l’interrogez, la gauche vous dira que ces nominations sont faites au nom de l’antiracisme. Mais, n’est-ce pas totalement contreproductif ?

Quand Christiane Taubira provoque tout l’électorat de droite en clamant que « la prison n’est pas la solution mais le problème », qui peut croire que, s’il y a des racistes parmi eux, ils vont se mettre à adorer les Noirs ?

Quand Najat Vallaud Belkacem se montre sectaire à la tête de l’Education nationale, par exemple en tentant d’y introduire la théorie du genre, travaille t-elle pour une meilleure acceptation de la communauté maghrébine en France ?

Mais il n’y a pas qu’au gouvernement que la mise en avant de certaines femmes est perçue que comme une provocation ! C’est la raison pour laquelle j’ai introduit dans mon illustration les figures d’Assa Maïga et de Danièle Obono. La première a choqué beaucoup de monde en comptant les noirs parmi l’assistance de la cérémonie des Cesar, et la seconde, sur les bancs de l’Assemblée nationale (groupe : La France Insoumise) nous gave avec ses provocations indigénistes et racialistes.

Voici un article paru sur Boulevard Voltaire qui rappelle que pour Danièle Obono :

il lui est plus facile de dire « Nique la France que Vive la France ».

Danièle Obono est la honte des Noirs de France

« Nique la France et son passé colonialiste, ses odeurs, ses relents et ses réflexes paternalistes/Nique la France et son histoire impérialiste, ses murs, ses remparts et ses délires capitalistes. »

Ces vers de la chanson du groupe ZEP avaient été accusés d’incitation à la haine par des associations et une plainte fut déposée dans ce sens. Mais pour défendre les artistes, le magazine Les Inrocks lançait, en 2012, une pétition qui fut cosignée par diverses personnalités associatives et politiques de gauche, dont , candidate suppléante de Ian Brossat aux élections législatives de la même année.

Rappelons que Danièle Obono est née au Gabon. Arrivée en France à 10 ans, elle est naturalisée en 2011, concrétisation d’un parcours réussi au sein de la République, qui lui aura tout donné.

L’une des contraintes de la naturalisation, somme toute relevant du bon sens, est l’obligation de respecter les valeurs qui font la France. Avouons que voir une personne nouvellement naturalisée soutenir ce « Nique la France » puis figurer comme suppléante aux législatives la même année, ça amène à se poser forcément des questions.

Alors, du coup, en 2017, lorsque Danièle Obono est élue députée, il était tout à fait prévisible que les journalistes interrogent la députée LFI sur sa position de 2012. C’est ainsi que, dans une émission des « Grandes Gueules », sur RMC, elle démontra qu’il lui était plus facile de dire « Nique la France« » que « Vive la France ».

Depuis lors, on voit Mme Obono et ses amis de LFI, ses amis racialistes, décoloniaux et indigénistes, dans toutes les actions visant à stigmatiser, à accuser la France. C’est même devenu une marque politique dont elle use et abuse avec fierté.

Danièle Obono est l’égérie de l’indigénisme au sein du parti dont elle est élue ; pour preuve, elle ne s’est, d’ailleurs, pas gênée pour prendre la défense de la porte-parole du Parti des indigènes de la République (PIR) quand cette dernière fait la promotion du communautarisme.

Danièle Obono avec ses complices du Parti des Indigènes de la République (dont, à gauche, la sulfureuse Houria Bouteldja).

En réaction à la nomination de au poste de Premier ministre, Danièle Obono a eu la plus piteuse réaction de sa carrière politique : parlant d’homme blanc le concernant, elle s’attire les foudres de toute la classe politique, en dehors des Insoumis, et s’attire également la colère de beaucoup de Français qui ont enfin découvert son jeu délétère.

Danièle Obono est le pire personnage pouvant représenter les Noirs au sein du monde politique en France : elle est nulle, incompétente, raciste et sectaire. Elle est la honte des Noirs de France.

Verlaine Djeni pour Boulevard Voltaire.

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