La folie indigéniste

Publié par le 13 Sep, 2019 dans Blog | 0 commentaire

La folie indigéniste

On peut remercier Lilian Thuram de sa sortie iconoclaste sur le sentiment de supériorité de TOUS les Blancs. Il a fini ainsi par tomber le masque de la lutte contre l’antiracisme pour se livrer au racialisme antiblanc le plus pur.

Du coup, c’est un formidable coup de projecteur sur le racisme antiblanc qui est depuis toujours farouchement nié par les officines de gauche antiraciste telles que SOS Racisme et  largement minimisé voire ignoré par les médias. Le racisme anti blanc est le dossier que propose Valeurs actuelles cette semaine. Voici un de ses articles qui cible les figures de la lutte antiraciste :

Houria Bouteldja, Danièle Obono, Rokhaya Diallo.
La folie indigéniste

Houria Bouteldja, Danièle Obono et Rokhaya Diallo

Ils sont les représentants de la cause antiraciste radicale dans les médias, les banlieues ou les réseaux sociaux. Et tous nient l’existence du “racisme anti-Blanc”.

Houria Bouteldja

L’activiste franco-algérienne et fondatrice du racialiste Parti des indigènes de la République (Pir) est l’égérie du mouvement décolonial. Ouvertement raciste, elle dénonce un « racisme d’État » , taxe les Français de souche de « sou-chiens » et refuse toute intégration : « Ni par le jambon ni par le foot ! » Dans son ouvrage les Blancs, les juifs et nous, elle écrit : « J’appartiens à ma famille, à mon clan, à mon quartier, à ma race, à l’Algérie, à l’islam. »

Saïd Bouamama

Ce sociologue radical, légitimé par les pouvoirs publics, a écrit Nique la France, devoir d’insolence et “ Planter du blanc”, chroniques du (néo-)colonialisme français (sic). Cofondateur des Indigènes de la République, il considère le racisme anti-Blanc comme « inexistant » , s’en prend aux « hommes blancs et aisés » et participait l’an dernier à “la première conférence internationale de personnes de couleur” visant à « questionner la mémoire coloniale ».

Danièle Obono

La députée La France insoumise de Paris, pour qui « le Pir est avenir » et Houria Bouteldja une « camarade » , est le principal relais politique du mouvement indigéniste. Cette activiste « afro-féministe » fustige « les siècles et les siècles d’idéologie néocoloniale, esclavagiste, raciste systémique de la France » , qualifie le racisme anti-Blanc de « concept dangereux » et défend la “non-mixité raciale” dans les réunions politiques et syndicales.

Éric Fassin

Ce sociologue radical et militant est de tous les combats extrémistes de l’antiracisme. « Le racisme anti-Blanc n’existe pas pour les sciences sociales, ça n’a pas de sens », balaie ainsi cet “intellectuel blanc”, un des rares acquis à la cause décoloniale. « La politique d’identité nationale construit aujourd’hui une France blanche » , déplore encore celui qui veut « changer de peuple » .

Rokhaya Diallo

La militante « féministe intersection-nelle et décoloniale » est le porte-voix médiatique de l’antiracisme racialiste. Proche du Pir et experte en victimisation, elle voit du racisme partout, de l’État jusqu’aux pansements ! En revanche, elle vitupère contre la « suprématie blanche » , affirme que le racisme anti-Blanc « n’existe pas » et prend la défense des camps d’été interdits aux Blancs. Elle a récemment admis s’être rendue dans des écoles avec Lilian Thuram pour expliquer aux enfants « comment sont construites les catégories raciales ».

Yassine Belattar

Quand il ne défend pas la cause islamiste et n’insulte pas le « facho » Éric Zemmour, l’humoriste antiraciste dénonce un « privilège blanc » fantasmé. « Ces hommes blancs de plus de 60 ans sont peut-être la clé du problème » , avance-t-il. Évidemment, le conseiller “banlieues” du président Macron a défendu Thuram. « Ça me fait quand même de la peine de me dire que c’est la dernière Coupe du monde où il y aura des Blancs en équipe de France » , blaguait-il déjà, en 2017, alors que les Bleus comptaient 9 joueurs blancs sur 23.

Cran, CCIF, LDNA…

Au-delà des personnalités, des groupuscules extrémistes relaient la propagande indigéniste : le Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF), le Camp décolonial, le Conseil représentatif des associations noires (Cran), la Brigade anti-négrophobie, Les Indivisibles, le collectif Mwasi, etc. Après avoir fait annuler une pièce d’Eschyle à la Sorbonne, en mars, des militants de la Ligue de défense noire africaine (LDNA) ont même appelé, en plein Paris, à « tuer les Blancs et les Asiatiques » en… Afrique du Sud.

Amaury Brelet pour Valeurs actuelles.

Voici en complément un débat édifiant entre Yassine Belattar et Eric Zemmour dans lequel ce dernier pointe les ambiguïtés, voire l’hypocrisie de cet humoriste, militant de la cause antiraciste.

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