La France soumise qu’Assa Traoré nous promet !

Publié par le 14 Juin, 2020 dans Blog | 0 commentaire

La France soumise qu’Assa Traoré nous promet !

Les fondateurs de l’université américaine UCLA doivent se retourner dans leurs tombes et regretter la devise qu’ils lui avaient donnée :

Let there be light (Que la lumière soit !)

quand on voit l’obscurantisme qui semble envahir cette université prestigieuse !

Malheureusement, il suffit de regarder ce qui se passe aujourd’hui aux Etats-Unis pour imaginer ce qui arrivera demain en France ! Et aux Etats-Unis, tout démarre souvent dans les universités.

Il y a un an j’avais attiré l’attention sur le cas fascinant de l’université d’Evergreen situé dans l’Etat de Washington dans cet article intitulé :

Voila ce que le progressisme produit de pire !

On y voyait que les minorités ethniques et LGBT avaient pris le pouvoir et terrorisaient à la fois les étudiants et la direction de l’université qui se soumettait lâchement à leurs oukases.

L’activisme d’Assa Traoré, la soeur du délinquant mort accidentellement lors de son arrestation par des gendarmes, est extrêmement dangereux.

Le gouvernement qui se soumet à ses manifestations – interdites mais tolérées – et tous les médias qui lui tendent complaisamment leurs micros et leurs caméras porteront une lourde responsabilité dans les éventuels affrontement qui pourraient s’en suivre …

Le cas Traoré est artificiellement et scandaleusement rapproché de la mort de George Floyd, dans un honteux amalgame d’accusation de racisme. La justice fait-elle ou non son travail ? C’est la seule question qui vaille ! Tout le reste n’est que propagande !

Refusons une France soumise à la dictature des minorités !

Pour revenir aux USA, voici un autre cas, lui aussi inquiétant, rapporté dans cet article paru sur Boulevard Voltaire :

Un professeur refuse de donner de meilleures notes
aux Noirs qu’aux Blancs : il est suspendu !

L’hystérie raciale en cours est en train de dépasser des sommets et fera bientôt passer le mont Blanc pour un terril pas-de-calaisien. Aux États-Unis, Gordon Klein, professeur à l’université de UCLA, en est la dernière victime.

Avec la série de manifestations et d’émeutes qui secouent actuellement l’Amérique, certains courageux étudiants anonymes autoproclamés « non noirs alliés de leurs confrères noirs » (sic) ont demandé à leur professeur, Gordon Klein, au vu des circonstances politiques, des conditions allégées pour passer leurs examens finaux et particulièrement de la « clémence et de la compassion pour les élèves noirs ». Le professeur répond au courriel en disant qu’il ne voit pas de lien entre des manifestations et le passage des examens. Il rentre ensuite dans la technicité de la requête estudiantine avec un brin d’humour en demandant comment il ferait pour identifier les étudiants noirs, vu que les cours sont en ligne, ou alors ce qu’il devrait faire avec les étudiants métis en se demandant s’il devrait ne les favoriser qu’à moitié ? Il termine son message doctement en rappelant l’axiome de Martin Luther King qui professait justement que les hommes ne doivent pas être « jugés selon la couleur de leur peau ».

L’humour n’est pas une valeur universelle, surtout quand il fait mal à des propagandistes en culottes courtes qui viennent des beaux quartiers de la côte Ouest américaine. En un rien de temps, les élèves humiliés crient au scandale raciste et lancent une pétition contre le prof « old school ». L’université, alarmée par le buzz que fait la pétition, s’assoit sur la liberté d’expression et suspend le prof de ses fonctions. Klein vit désormais chez lui sous protection policière. On n’est pas à Salem, mais la chasse aux sorcières est bien ouverte aux États-Unis.

Chaque jour, une histoire plus dingue que la veille nous montre à quel point notre société occidentale, calquée sur la société de consommation américaine, est en état de mort clinique. Il est temps de mettre un terme à cette folie communautariste qui se répand chez nous comme une traînée de poudre, sinon cette histoire va très mal se terminer. On se rappelle cette phrase terrible du ministre de l’Intérieur Gérard Collomb : « Aujourd’hui, on vit côte à côte. Je crains que demain on ne vive face à face. Nous sommes en face de problèmes immenses. »

Cette crispation raciale montée de toute pièce, qui trouve un écho démesuré dans les médias dominants, est un écran de fumée pour nous faire oublier le marasme économique et la gestion catastrophique du Covid-19. Ne tombons pas dans le panneau de ceux qui nous ont plongés dans cette situation. Plus que jamais, les Français doivent rester unis, quelle que soit leur couleur de peau, et ne pas tomber dans le piège tendu par les responsables de cette situation. Ceux-là n’en ont rien à faire des Blancs, des Noirs des Français ou des Américains. En revanche, ils ont très bien compris que, pour régner, il était impératif de diviser.

Nikola Mirkovic, Responsable d’une association humanitaire pour Boulevard Voltaire.

Il est grand temps de stopper l’avancée du progressisme et de toutes ses dérives sociétales et communautaristes quelles qu’elles soient !

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