Qui veut faire taire Eric Zemmour ?

Publié par le 3 Oct, 2018 dans Blog | 0 commentaire

Qui veut faire taire Eric Zemmour ?

Qu’est devenue la France de Voltaire ?

Combien de temps Les Coluche, les Pierre Desproges, les Thierry Le Luron survivraient-ils dans ce pays corseté serré qu’est devenue la France ?

Tout en rejetant le communautarisme qui y sévit, je rêve de la liberté à l’anglo-saxonne qui règne à Londres ou à New York ! Là-bas, vous pouvez nier l’existence des chambres à gaz, contester la réalité du 11 septembre, sans être immédiatement trainé devant les tribunaux. Là-bas, on croit que toute opinion est libre à dire, pourvu que d’autres puissent la contester ! Le débat plutôt que l’interdit !

Une fois de plus, je vais dénoncer la chasse au Zemmour en relayant un texte qui m’a été envoyé mais dont je n’ai pu trouver l’origine * :

Qui veut faire taire Eric Zemmour ?

Le Monde y a consacré une page entière, avec ce titre :

« Les media confrontés au cas Zemmour. »

En réalité, le titre aurait dû être : « Comment faire taire Zemmour ? » Car c’est bien de cela qu’il s’agit et pas seulement depuis « l’affaire » Hapsatou Sy dans l’émission les Terriens du dimanche, Zemmour déplorant que les parents de cette créature n’aient pas cru devoir lui donner un prénom bien de chez nous : « La France n’est pas une terre vierge, disait-il, c’est une terre avec une histoire, avec un passé. Et les prénoms incarnent l’histoire de la France. » Après qu’elle eut prétendu qu’elle était insultée, Zemmour a répliqué : « C’est votre prénom qui est une insulte à la France. » La demoiselle, chef d’entreprise capillaire, a besoin de fonds et de faire le « bug » sur internet et dans les media ; elle va donc porter plainte, ce qui est son droit. Mais elle veut aller au-delà de cette démarche puisqu’elle entend « interdire de média les personnes portant des messages d’incitation à la haine. » en visant explicitement son contradicteur : « Je veux faire en sorte que Zemmour cesse de diffuser ses messages de haine sur les plateaux. » Sa pétition aurait réuni plus de 100.000 signatures. Cela s’appelle censure préalable, interdit professionnel, atteinte grave à la liberté d’expression.

Eric Zemmour face à Hapsatou Sy

En réalité, le bannissement de Zemmour est déjà en marche depuis un moment ! Sa chronique quotidienne, Z comme Zemmour, sur RTL, a d’abord été remplacée par un débat avec un journaliste de gauche sous la rubrique “On n’est pas nécessairement d’accord” qui a été supprimée à la rentrée dernière. Auparavant, la chaîne ITélé l’avait licencié pour des propos sur les musulmans exprimés dans le journal … Corriere Della Sera ! Mal en a pris à la chaîne d’information qui a été condamnée aux prud’hommes pour « rupture brutale et abusive du contrat ».

France 2 a décidé de ne plus l’inviter dans ses émissions, sa prochaine participation à “On n’est pas couché”, de Ruquier a été annulée. Jean-Michel Apathie, éditorialiste d’Europe 1, s’en est pris, lui, à son éditeur, Albin Michel, lui demandant comment il peut publier une telle « merde » (sic), c’est-à-dire le dernier livre de Zemmour, Destin français, en tête des ventes, ses lecteurs faisant la queue dans la rue pour l’acheter et obtenir une dédicace. Il y a plus de mobilisation médiatique contre lui que contre ce « rappeur » qui exhorte à « pendre les Blancs » et à tuer « des bébés blancs » !

S’il est interdit, de fait, de radio, de télévision et finalement d’édition, que lui restera-t-il ? Le Figaro ?

Mais pour combien de temps encore ? En effet, la société des journalistes de ce quotidien (SDJ) a rappelé à l’ordre leur confrère. Son président a expliqué que « La SDJ a été saisie par des journalistes de la rédaction qui se sont émus des propos tenus par Eric Zemmour. Il nous a semblé opportun de rappeler notre charte, qui s’applique à tous. » C’est l’incident avec Hapsatou Sy qui a « ému » des journalistes du Figaro ; or ses propos n’ont pas été tenus dans le cadre de son activité dans le quotidien mais à la télévision. Réplique de l’intéressé :

« Je n’ai pas à me justifier devant la SDJ qui s’érigerait en tribunal révolutionnaire. »

Pour ses censeurs, la difficulté avec Zemmour, c’est qu’il est juif ! Guy Bedos, histrion de gauche, le déplore. En 2015, il déclarait sur France Info : « Zemmour est juif. Mais il veut être plus français que les Français. Mon grand-père était bâtonnier à Alger, il a milité pour le décret Crémieux qui a fait des juifs d’Algérie des Français. Rétrospectivement, quand je vois Zemmour, je le regrette. » Il souhaiterait donc, en quelque sorte, le déchoir de la nationalité française. Si Le Pen, par exemple, avait dit cela d’un autre juif, quel tollé c’eût été ! Là, rien, ce n’est sans doute qu’un « point de détail » …

Etant juif, il est délicat de lui appliquer la reductio ad Hitlerum pour le faire taire comme les autres qui ne sont pas juifs. On ne peut pas lui faire le coup « des heures les plus sombres de notre Histoire » car les parents et les grands-parents du journaliste les ont connues et en ont souffert à Drancy ! Aux grandes fêtes juives, notre homme fréquente la synagogue Berith Chalom, rue Saint Lazare, il reprend dans ce cadre son prénom d’origine, à savoir Moïse. Il a été invité dans la grande synagogue de la rue de la Victoire pour participer à un débat en juin 2016. Mais la vidéo de son intervention a été supprimée du site de la synagogue. L’extrait de cette conférence, ci-après, vous en donnera la raison. Il y évoquait la situation de la France en 1940 :

« À l’époque, on estime que les juifs ont pris trop de pouvoir, qu’ils ont trop de puissance, qu’ils dominent excessivement l’économie, les media, la culture française comme d’ailleurs en Allemagne et en Europe. Et d’ailleurs c’est en partie vrai … Il y avait des Français qui trouvaient que les juifs se comportaient avec une arrogance de colonisateur. Et arrive encore l’immigration des juifs d’Europe de l’est et de l’Allemagne. La France est le pays qui a reçu le plus de réfugiés. Et c’est la France qui a subi le plus de conséquences. Les médecins français se plaignaient que les médecins juifs leur volent leur clientèle. Il y avait des concurrences terribles. Il y avait des trafics. Il y avait l’affaire Stavisky. Tout ça n’a pas été inventé par les antisémites. Et les juifs français étaient les premiers à se plaindre des problèmes que causaient les juifs ashkénazes.»

Un hebdomadaire a titré : « Un pétainiste à la grande synagogue »…

* Si vous connaissez l’origine de ce texte, merci de me la donner ici.

Voilà ci-dessous, un de ceux qui veulent faire taire Eric Zemmour :

On peut y voir un appel au minimum à une agression contre le polémiste … Mais ça ne fait pas scandale !

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