S’il ne reste qu’une frontière ouverte,
ce sera celle de la France !

Publié par le 17 Mar, 2020 dans Blog | 0 commentaire

S’il ne reste qu’une frontière ouverte, ce sera celle de la France !

« Nous sommes en guerre ! »

Emmanuel Macron l’a répété six fois dans son discours martial de chef de guerre contre le coronavirus !

Nous sommes en guerre mais dans le cadre d’une idéologie européiste béate bien comprise !

Il n’a pas été question, une seule seconde, pour la Macronie mondialiste au pouvoir, de fermer les frontières françaises. C’eut été ouvrir une brèche qui laisserait penser que la Nation peut faire quelque chose que la sacro-sainte Europe ne pourrait pas faire ! Inacceptable !

Et le lamentable argument qu’on a entendu partout, macronistes et médias confondus, fut le suivant :

« On ne va pas vous refaire le coup du nuage de Tchernobyl !
Les virus, eux,  ne s’arrêtent pas aux frontières !
 »

Le degré zéro de l’argumentation car les virus ne peuvent traverser les frontières que par les gens qui les transportent !

Quant à la décision de fermer les frontières externes de la zone Schengen, elle laisse perplexe quand on sait que le virus est désormais le plus actif en Europe !

J’hésite entre l’enfumage et le foutage de gueule !

Cet article de la Lettre patriote attaque frontalement l’idéologie qui mène l’Europe :

L’idéologie droit-de-lhommiste “open society” a tué des Français

Il ne fallait pas fermer les frontières. C’était une idée monstrueuse, une idée fascisante, nationaliste, de repli rance, que sais-je ? Il n’y avait aucun rapport entre un virus importé de Chine et des frontières ouvertes à tous les vents. Le mot frontière était même devenu sale, impoli, du “monde d’avant”, ok, boomer ?

Et puis les morts. Près de 150 déjà en France. Pendant que Sibeth se moque des Italiens, qui eux, tentent par tous les moyens de juguler la catastrophe sanitaire qui s’abat sur leur pays.

150 morts, dont la quasi totalité aurait pu être évitée si on avait simplement, tout simplement, fermé les frontières. Mais enfin, ça ne se fait pas ! Et puis d’abord, on ne peut pas, on n’a pas les douaniers, on n’a pas les moyens… Jusqu’à cette fameuse soirée du lundi 16 mars, pendant laquelle le jeune locataire de l’Élysée annonça, menton en avant, que on allait voir ce qu’on allait voir, et que l’Europe – oui, encore l’Europe ! – fermait désormais ses frontières.

Car voilà ce qu’il refusait de faire : il refusait que la France manifeste quelque souveraineté que ce soit. Il refusait que la France protège les siens, sans l’aval de Bruxelles et de maman Merkel. Il refusait à la France de la sauver, car le Président ne te touche pas pour que Dieu te guérisse depuis que la gueuse a remplacé notre bon vieux royaume.

Toute la macronie avait en horreur cette idée toute simple, de bon sens : fermer les frontières de notre pays. Tout simplement parce que nation et pays sont des concepts qui leurs sont étrangers, qu’ils ont relégués aux livres d’Histoire, dans les heures les plus sombres, etc. Il leur fallait l’Europe, l’Europe, l’Europe.

Pendant ce temps-là, nous mourions.

Julien Michel pour La Lettre patriote.

Dans un autre article, la Lettre patriote comparait le taux de contamination des pays qui n’avaient pas fermé leur frontière avec ceux qui l’avaient fermée :

ATTENTION : Les chiffres sont impressionnantes mais la comparaison doit être considérée avec prudence car d’autres facteurs influent comme la taille de la communauté chinoise de chacun des pays et la densité des relations économiques avec la Chine.

Et s’il ne reste qu’un guichet …

 

Oui, vous avez bien lu !

Quand la préfecture n’assure plus AUCUN service pour les Français,
elle garde ouvert le guichet au profit des demandeurs d’asile !

Décidément, l’idéologie progressiste et immigrationniste gouverne tout !

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