Une hormone pour nous rendre
plus accueillant aux migrants !!!

Publié par le 22 Oct, 2018 dans Blog | 0 commentaire

Une hormone pour nous rendreplus accueillant aux migrants !!!

Vous n’allez pas le croire !

J’ai pas mal hésité à relayer cette information, mais il semble bien qu’elle soit fondée …

Elle aurait même une fondation … scientifique !

C’est sur le site agorafox.fr que j’ai trouvé un article sur le sujet qui relate une interview du mathématicien et philosophe Olivier Rey qui, lui aussi , a douté mais a fini par croire à l’incroyable !

« Combattre l’hostilité à l’immigration de masse
par l’ocytocine, j’ai cru à un canular, mais non … »

Invité le 3 octobre 2018 par Le Figaro,  Olivier Rey, auteur de Leurre et malheur du transhumanisme, évoque une hormone, citée dans une revue scientifique, qui permettrait de vaincre l’hostilité des Européens envers les migrants :

Quand j’ai pris connaissance de cet article sur le rôle que pourrait jouer l’ocytocinepour rendre les populations « caucasiennes » accueillantes aux migrants, d’abord j’ai cru à un canular, et puis non, je me suis aperçu que c’était bien publié dans une revue scientifique tout à fait sérieuse …

Olivier Rey affirme que, même si l’idée est au départ généreuse, puisqu’il s’agit de rendre les gens plus altruistes, pour y parvenir, on les traite comme du bétail. En effet, selon lui, il serait question de « faire inhaler » aux populations européennes « certaines hormones qui induiront le comportement souhaité ». Et de conclure : « Là, on rentre vraiment dans la manipulation totale

A ce moment-là, on se pince pour y croire… Olivier Rey est-il en train de délirer ? Ou dit-il vrai ? Car, avec son histoire, on est dans le même registre qu’avec les chemtrails ou les puces RFID destinées à contrôler la population… Le complotisme le plus débridé devient soudain réalité.

Allons donc à la source. L’étude scientifique en question est accessible ici (en anglais). Elle a été publiée en juillet 2017 par une équipe de psychiatres dans le journal Proceedings of the National Academy of Sciences. Sa référence est la suivante :

Nina Marsh, Dirk Scheele, Justin Feinstein, Holger Gerhardt, Sabrina Strang, Wolfgang Maier, Rene Hurlemann : « Oxytocin-enforced norm compliance reduces xenophobic outgroup rejection », Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS).

Voici la traduction (sans doute perfectible) des premières lignes, qui disent l’enjeu de l’étude :

Dans le contexte de la mondialisation rapide, la coexistence pacifique des cultures nécessite une compréhension plus profonde des forces qui obligent le comportement prosocial et combattent la xénophobie. Cependant, les conditions favorisant un tel altruisme dirigé hors groupe n’ont pas encore été déterminées. Nous rapportons ici les résultats d’une expérience à double insu contrôlée par placebo montrant qu’une activité accrue du système d’ocytocine associée à des signaux sociaux bienfaisants peuvent aider à contrer les effets de la xénophobie en favorisant l’altruisme envers les réfugiés. Ces résultats suggèrent que la combinaison d’ocytocine et de normes altruistes dérivées des pairs réduit le rejet du sous-groupe, même chez les individus les plus égoïstes et xénophobes, et devrait par conséquent augmenter la facilité avec laquelle les personnes s’adaptent aux écosystèmes sociaux en rapide mutation.

Et la traduction du résumé de l’étude :

Jamais auparavant les individus n’avaient eu à s’adapter à des environnements sociaux définis par une telle ampleur de diversité ethnique et de différenciation culturelle. Cependant, les preuves neurobiologiques sur les stratégies visant à réduire le sentiment xénophobe et à encourager la coopération altruiste avec des étrangers sont rares. Dans une série d’expériences réglées dans le contexte de la crise actuelle des réfugiés, nous avons testé la propension de 183 participants de race blanche à faire des dons à des personnes dans le besoin, dont la moitié étaient des réfugiés (outgroup) et des natifs (ingroup). Les participants dont les attitudes xénophobes étaient faibles ont manifesté une préférence altruiste pour le groupe externe, qui a encore augmenté après la délivrance nasale de l’ocytocine, un neuropeptide. En revanche, les participants présentant des niveaux de xénophobie plus élevés n’ont généralement pas fait preuve d’un altruisme accru à l’égard du groupe externe. La combinaison de l’ocytocine et des normes altruistes dérivées des pairs a permis de contrer cette tendance, ce qui a entraîné une augmentation de 74% des dons aux réfugiés. Ensemble, ces résultats révèlent les conditions sociobiologiques sous-jacentes associées à l’altruisme dirigé vers le groupe externe en montrant que les signaux sociaux de bienfaisance associés à une activité accrue du système d’ocytocine atténuent les effets de la xénophobie en facilitant le comportement prosocial envers les réfugiés.

Lire la suite sur agoravox.fr

Je vous laisse le soin de commenter car je suis, pour l’instant, un peu sidéré, voire tétanisé par ce projet !

Et il me vient juste une subite angoisse : ne nous aurait-on pas fait respirer dans l’air, ou boire dans l’eau du robinet, une hormone « Macrontocine » en mai 2017 ?

Dieu merci, les effets de cette hormone semblent peu à peu se dissiper …

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