5 raisons majeures de bannir les vaccins ARN Messager

Il faudra bien, un jour, rendre un hommage mérité à ces chercheurs, médecins et scientifiques, qui se sont battus pour que la vérité éclate lors de la crise du covid.

Au premier rang desquels on trouve bien sûr le professeur Eric Raoult mais aussi les professeurs Christian Perronne et Laurent Toubiana et le médecin Louis Fouché.

Ils ont dû affronter le pouvoir macronien, les médias et le Conseil (pseudo) scientifique du professeur Delfraissy derrière lequel Macron s’est caché pour piétiner les libertés individuelles des Français.

Plusieurs des scientifiques se sont regroupés dans une association portant le nom de BonSens.org :

Les missions de cette association sont exposées sur son site web :

Je veux aujourd’hui relayer l’une de leurs études que l’on doit au professeur Martin Zizi. Une étude dont le titre est le suivant :

Pourquoi un moratoire sur les ARN est urgent et nécessaire

Pour ceux qui n’auraient pas le temps de lire tout l’article voici un extrait assez décoiffant de Martin Zizi :

On n’a pas les technologies pour mesurer ce qui se passe quand on injecte l’ADN !

Ce n’est pas de la médecine, ça ! On a injecté un produit X, puis on a dansé tout nu autour d’un arbre à la pleine lune, en espérant que ça marche !

C’est ce qu’ils ont fait ! En fait, ce fut une gigantesque expérience. On a profité de la crise pour faire des progrès sur l’ARN !

C’est exactement pour ça que l’on a condamné Mengelé à Nuremberg !

Est-ce qu’on verra un jour Ursula Von der Leyen dans un tribunal international pour ce qu’elle a fait sur 500 millions d’Européens qui ne lui avaient rien demandé ? Sachant qu’on aurait pu  donné de Amantadine, de l’Hydrochloroquine et de l’ Azytromycine … C’est une question importante !

D’autant plus que, en toute illégalité, Ursula Von der Leyen a signé des contrats avec les labos pharmaceutiques qui leur les délivraient de toute responsabilité quant aux effets secondaires des vaccins!

Avant la vidéo de l’intervention du professeur, voici un court résumé des conclusions de cette étude et les 5 raisons qui justifient au moins un moratoire sur cette technologie :

Technologies à ARNm:
les 5 problèmes de cette plateforme vaccinale

Problème 1 : la dose de protéine produite est inconnue

Le vaccin ARNm agit en faisant réagir les cellules du corps au message ARN. Mais on ne maitrise absolument pas le force de la réponse des cellules humaines. Cette force varie en plus avec l’âge et la forme physique du patient. On a mesuré que la production de protéine Spike variait dans le rapport 0 à 200 d’un patient à l’autre ! C’est un vaccin sans posologie contrôlable !

Problème 2 : Biodistribution de la protéine produite

On ne contrôle pas le ciblage du vaccin? La protéine Spike est véhiculée par la circulation sanguine et peut donc toucher tous les organes. Les muscles dans lesquels on injecte la protéine Spike sont eux-mêmes attaqués par la protéine Spike qui est une toxine !

Problème 3 : Pharmacocinétique

Une question importante, c’est quelle est la rémanence d’un produit injecté dans l’organisme ? On ne connait pas du tout la rémanence des produits ARN ! Alors qu’il devrait disparaitre en quelques jours, on trouve de l’ADN après deux ans chez certains patients ! Cela aurait dû exclure son acceptation comme vaccin !

Problème 4 : Fidélité de traduction et qualité de la protéine produite

Désolé, mais je n’ai pas la connaissance biologique qui m’aurait permis de résumer avec pertinence les propos de Martin Zizi. Je vous renvoie à la vidéo.

Problème 5 : Suppression temporaire de l’immunité innée

On a observé, notamment en Israel, que 1,5 % des vaccinés développaient un zona après l’injection même ceux qui avaient déjà eu la varicelle. Ceci témoignait d’une perte de l’immunité naturelle. Après 6 mois, c’est 2 à 3 % des vaccinés qui faisaient un zona ! Cela explique aussi le développement observé des infections et des cancers post-vaccinaux