Le vaccin ARN favorise le cancer par 13 mécanismes !

Je suis persuadé que dans quelques années – ou décennies – les historiens parleront de la crise du covid comme du plus grand scandale de tous les temps !

– Un scandale sanitaire où, au nom d’une fausse pandémie, on a tué des jeunes pour sauver des très vieux,
– Un scandale politique par la mise en place d’un totalitarisme liberticide,
– Un scandale judiciaire qui a vu la justice laisser faire ce piétinement de nos libertés,
– Un scandale financier européen avec des contrats d’achat de vaccins opaques et inconsidérés,
– Un scandale médiatique avec des médias perdant toute éthique et relayant complaisamment la propagande du pouvoir.

Je verse au dossier déjà accablant des effets secondaires des vaccins ARN, un tweet d’Hélène Baboun qui rapporte la communication d’un oncologie réputé de l’université St George de Londres :

Je peux vous dire que j’ai lu au moins 13 mécanismes par lesquels les vaccins à ARN messager peuvent induire ou favoriser le cancer. Une seule de ces 13 raisons est suffisante pour les interdire immédiatement. Mais 13 ?

Aujourd’hui, avec l’augmentation des cancers rapides, ces nouveaux cancers que l’on observe chez les jeunes, vous verrez tous les jours, lorsque ce sujet sera débattu, que les journaux diront :

Oh, c’est clairement dû à l’alimentation ou à d’autres facteurs environnementaux.

Et ce qui me dérange vraiment dans les journaux qui publient les commentaires des lecteurs en ligne, c’est que vous savez, ils publient ces articles et je lis toujours les commentaires en premier, parce que les gens ne mentionnent même pas les vaccins. Tout y passe sauf les vaccins.

Et le premier commentaire sera :

Cela n’a rien à voir avec le fait que cela s’est produit quelques mois seulement après l’introduction des vaccins ? Pourquoi ne commentez-vous pas cela alors que beaucoup le font ? Et puis parfois, ils me mentionnent alors que je crie depuis des lustres que c’est la cause. Pourquoi ne le mentionnez-vous pas ? Et nous savons tous qu’il y a eu une censure énorme de la part du gouvernement.

Je veux dire, les rédacteurs en chef et les producteurs m’ont dit que le gouvernement considère comme un crime de dire, de faire ou de discuter de tout ce qui pourrait faire perdre confiance aux gens dans les vaccins. Eh bien, si un vaccin ne fonctionne pas et qu’il est dangereux, je pense que c’est un crime d’empêcher que ces choses soient discutées. Surtout quand les vaccins ne fonctionnent pas du tout. Ils n’ont absolument aucun bénéfice.

Tous les avantages étaient dans les « playstations » des statisticiens qui ont dit que nous devions les avoir pour nous sauver. Et toutes les modélisations qu’ils ont faites. J’ai mentionné Neil Ferguson. D’après ce que j’ai pu constater, cela n’a jamais été juste. Cela n’a jamais été juste parce que la modélisation ne tient pas compte du temps réel. Je veux dire :

avec le COVID, tout a été exagéré. Le nombre de personnes qui ont contracté la maladie, qui en sont tombées malades ou qui en sont mortes. Ce n’était pas du tout grave.

Et j’ai écrit aujourd’hui un article dans le Conservative Woman sur ce que j’appelle la guerre des vaccins. Il y a ceux qui disent qu’il faut vacciner, et ceux qui s’y opposent, comme le directeur du NIH Jay Bhattacharya et Robert Kennedy, qui disent « non, nous ne devons pas les utiliser, en particulier chez les jeunes », car ils savent que ces vaccins sont très dangereux. Et ce qui m’a fait très plaisir, c’est que le Mail on Sunday a publié un article il y a quelques semaines dans lequel James Royal et moi-même avons pu souligner que ces vaccins provoquent le cancer.

Et nous l’avons constaté. Je veux dire, c’est incroyable.

Nous voyons des cancers qui étaient stables récidiver. Nous avons vu apparaître des cancers totalement nouveaux, au stade quatre, chez des personnes en bonne santé et en pleine forme.

J’ai mené une grande enquête à ce sujet auprès de dizaines de patients. Et ce qui m’a frappé, c’est que j’étais le seul médecin, parmi les généralistes, les chirurgiens, les oncologues et tous les autres, à poser la question suivante :