
L’idéologie woke semble en recul, en grande partie à cause de la guerre que lui a déclaré Trump outre-atlantique.
Mais les milieux gauchistes ne rendent pas les armes !
Ça sent néanmoins le baroud d’honneur quand on voit les arguments qu’ils brandissent, tellement faibles et irrationnels que l’on pourrait en rire.
Je voudrais rapprocher deux articles similaires de Contrepoints.org et de Boulevard Voltaire :
- Pas de vacances pour le wokisme dans Ouest-France !
- Blast a du temps à perdre sur … la gastronomie de droite en Anjou !
Extraits :
Pas de vacances pour le wokisme dans Ouest-France !
Le quotidien régional le plus diffusé baigne toujours plus dans le wokisme.
Le même jour, Ouest-France (10 août 2025) recèle deux pépites wokistes :
La première s’intitule « Une mise en scène qui combat toutes les inégalités » dans lequel est prononcé l’éloge de la dramaturge rennaise Marine Bachelot Nguyen, qui « continue de creuser le sillon d’un art militant ». Elle déclare notamment :
30 % de la population française est d’origine extra-européenne. S’il n’y a pas 30 % d’artistes racisés (sic) c’est que la culture n’est pas représentative de la société française.
Une de ses collègues énamourées la félicite car :
elle réfléchit aux questions de classe. Franchement, cela fait du bien !
De manière étrange, si tout doit être « paritaire » ou si l’on doit verser dans l’égalitarisme, notre dramaturge devrait se demander si 30 % de la population française d’origine extra-européenne payent 30 % des impôts …
La seconde pépite concerne la part des rues à nom propre portant des noms féminins dans notre pays. Le constat est sans appel : les femmes n’en représentent aujourd’hui que 13,3 %, même si le chiffre a augmenté puisqu’il était de 9,5 % en 1987. Heureusement, sur la même période, des villes « progressistes » sont à la pointe du combat : + 15,3 % à Nantes, + 12,5 % à Rennes. Les services de la Ville de Paris avancent que le pourcentage des rues « féminines » est passé de 6 % au début des années 2000 à 15 % en 2025.
Vivement une place Rima Hassan ou un boulevard Mathilde Panot, même si nous conserverions pour notre part la voie sans issue Jean-Luc Mélenchon !
Contrepoints.org.
Blast a du temps à perdre sur …
… la gastronomie de droite en Anjou !
L’été, tout le monde fait relâche et met ses griefs de côté. La France entière, dans une sorte de bienveillance pour une fois réelle, cesse de parler politique pour parler rosé, grillades, plage ou pétanque.
La France entière ? Non !
Quelque part dans Paris, un quarteron de gauchistes aigris, travaillant pour le (non moins gauchiste) magazine Blast, a décidé de consacrer une enquête exhaustive (roborative, dirions-nous, si nous ne craignions pas un mauvais jeu de mots), datée du 11 août, au « facho business de la bonne bouffe », qui semble s’être organisé autour d’Angers. Plongeons avec eux dans ce réseau horrible. Attention les yeux.
On commence par la charcuterie « les Blancs de l’Ouest », une enseigne qui s’est fixé pour but d’élever en circuit court des porcs angevins – les porcs blancs de l’Ouest, donc. Certains membres fondateurs de cette entreprise appartenaient, en effet, à L’Alvarium, une organisation de droite radicale dissoute par Gérald Darmanin en 2021 et qui s’était fait connaître sur les réseaux sociaux pour avoir courageusement résisté à l’attaque de son local d’Angers, plusieurs nuits de suite, par des hordes de racailles.
En 2023, des enquêteurs en herbe issus de l’antifascisme ont voulu empêcher les « Blancs de l’Ouest » de bénéficier d’un emplacement dans les halles flambant neuves d’Angers, voire, de travailler avec des restaurateurs locaux.
Les « fachos » ne doivent pas pouvoir militer … ni gagner leur vie.
C’est probablement ce que l’on appelle la démocratie.
« L’éco-système des néofascistes angevins fonctionne à merveille », regrette Blast, qui balance encore trois noms d’établissements, avec ce goût de la délation qui est dans l’ADN de la gauche : le Café des Sports, au Lion-d’Angers, la cabane de Thorigné, à Thorigné d’Anjou … et la Poissonnerie du Port.
Ce crime qui est d’être de droite
Bref, en relisant cet article, amis lecteurs, vous aurez une petite liste de bonnes adresses en Anjou et en pays vannetais pour faire vos courses avant de reprendre le boulot ou, à l’inverse, en revenant chez vous à Angers, Saumur ou Vannes. On notera, au passage, que rien n’est répréhensible dans les comptes, dans les méthodes de travail ou dans la qualité des produits qu’offrent ces entreprises. Le titre parle même de « bonne bouffe » : non, tout ce qu’on leur reproche, c’est leur engagement politique, comme en URSS.
Terminons en souriant, parce que l’été est fait pour la légèreté, avec cette courte vidéo offerte par Fdesouche, une vidéo qui, elle, date du 10 août. Une petite pépite :
« La promotion d’une consommation massive de viande
rouge, et particulièrement de viande de porc et d’alcool, c’est politique. Cela participe à l’élaboration d’un discours sexiste, raciste et anti-écologique. » pic.twitter.com/WqfMMSicMG— Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) August 10, 2025
Arnaud Florac pour Boulevard Voltaire.




Suivre @ChrisBalboa78