Foutez nous la paix avec votre identité de genre !

Publié par le 14 Août, 2025 dans Blog | 1 commentaire

Foutez nous la paix avec votre identité de genre !

Voici quelques millions d’années que les humains avaient une vue extrêmement claire de la différence entre les mâles et les femelles, et les hommes et les femmes.

Certes, ils avaient bien observé que la frontière entre les deux sexes n’était pas absolue, que certains hommes étaient efféminés et certaines femmes un peu masculines.

Cela tenait de la marginalité et en aucun cas ne remettait en question la classification qui différentiait fondamentalement les hommes des femmes.

Mais voila qu’aujourd’hui, une poignée de ces « marginaux » veulent redéfinir l’ensemble de l’humanité à l’aune de leurs différences. Ils trouvent légitime de remettre en cause des millions d’années d’une classification qui s’appuie sur la biologie, en quelques décennies !

C’est leur droit, en tant qu’hommes biologiques, de s’identifier comme des femmes mais ils ne peuvent imposer leurs errements à tous ceux qui souhaitent, comme des milliers de générations avant eux, s’appuyer uniquement sur la biologie pour classer les espèces.

Les militants LGBT sont de plus très agressifs en attaquant souvent à l’hétérosexualité qualifiée de toxique ! Rappelons que c’est grâce aux hétérosexuels que la race humaine s’est perpétuée et qu’il convient donc de la sauvegarder en priorité …

… car on ne peut compter sur les « hommes enceints » pour ça !

Voici, à ce sujet, un article du Prince Charles-Philippe d’Orléans paru sur le site Duc d’Anjou :

L’apocalypse des sexes

La SNCF bannit « Monsieur » et « Madame ». Le Conseil d’État invoque « l’évolution de l’identité de genre ». Et demain ? L’effacement pur et simple de l’homme et de la femme de notre langage commun. Ce n’est pas un débat anecdotique  : c’est le cœur même de notre civilisation qui vacille. Défendre « Monsieur » et « Madame », c’est défendre le bon sens, la science et l’humanité telle qu’elle est.

Il est des séquences qui donnent à voir, mieux que de longs discours, la dérive dans laquelle nous glissons. Dans une récente vidéo (voir ci-dessous), un «  personnage » – puisque l’on n’a plus le droit de dire un homme ou une femme – crie au scandale car il ne trouve pas de toilettes dignes de lui au musée du Louvre. Il explique ne pas être « humain », il a pourtant un pénis avoue-t-il, mais il se définit comme « non-binaire ascendant X » : comprenez ascendant tracteur, béton ou musée. Bonne nouvelle pour le Louvre : il refuse d’être « ascendant musée du Louvre ». Nous voilà rassurés.

Chacun est libre de se rêver autre que ce qu’il est. Si l’on veut se penser cheval camarguais, camion-benne ou piscine municipale, grand bien nous fasse. Mais faut-il que toute la société se plie à ces fantasmes ? Certainement pas. Car la réalité, elle, demeure : sur Terre, il n’existe que deux sexes, nous sommes binaires, XX ou XY. C’est biologique, médical, scientifique : on est homme ou femme. Point final.

Ce n’est pas une opinion ; c’est un fait.

En suivant cette logique de fragmentation identitaire, pourquoi ne pas créer des toilettes pour noirs – triste souvenir d’une Amérique ségrégationniste ou de l’apartheid en Afrique du Sud –, pour blancs, pour asiatiques, pour obèses, pour chauves ou pour myopes ? Et si l’on passe du biologique aux croyances personnelles, pourquoi pas des toilettes pour juifs, pour orthodoxes, pour bouddhistes, pour gauchers contrariés ou pour ceux qui se croient plus intelligents que les autres ?

La liberté individuelle s’arrête là où commence la cohésion collective.

Une société qui adapte son langage, ses formulaires et ses règles de vie communes à la subjectivité de chacun devient ingouvernable. Elle se dissout en une mosaïque d’identités mouvantes où plus rien ne rassemble.

La dérive est sans fin. Et voici que, sur injonction du Conseil d’État, la SNCF n’a plus le droit d’utiliser « Monsieur » ou « Madame » dans ses courriers. Motif :

meilleure prise en compte des évolutions de l’identité de genre.

Sérieusement ? Dans quel monde vivons-nous ? Que ceux qui doutent de l’existence du binaire sexuel aillent voir un médecin : ils sauront de quel sexe ils sont.

Le problème n’est pas que certains se prennent pour des vaches laitières savoyardes ou des pigeons parisiens. Libre à eux. Le problème est qu’ils exigent de la société entière qu’elle valide cette fiction personnelle, qu’elle modifie sa langue, ses institutions, ses services publics pour se conformer à leur ressenti.

Or le langage n’est pas neutre : il façonne la pensée. En effaçant les mots qui désignent l’homme et la femme, on efface la reconnaissance publique de leur existence. Demain, ce seront les formulaires d’état civil, les manuels scolaires, puis le droit lui-même qui perdront cette distinction. Nous parlons de l’ossature même de notre civilisation.

Il ne s’agit pas d’exclure qui que ce soit, ni de nier des parcours de vie personnels. Il s’agit de rappeler que la langue est un bien commun, façonné par des siècles d’histoire, garant de la clarté de nos rapports sociaux. La remplacer par un lexique flou, soumis aux revendications minoritaires, c’est rompre le fil qui nous relie à notre culture et à notre bon sens.

Exigeons de nos responsables politiques que l’usage de « Monsieur » et « Madame » soit réaffirmé ; exigeons que la loi protège le droit d’employer les mots « homme » et « femme » dans la vie publique ; exigeons que la France reste fidèle à sa langue, à son héritage et à la vérité du réel.

On ne joue pas impunément avec les mots. En les perdant, c’est notre monde que l’on défigure. Que 99 % de la population se soumettent en silence à ces 1 % de minorité militante est intolérable*. Défendre « Monsieur » et « Madame », ce n’est pas défendre une formule désuète : c’est défendre l’humanité telle qu’elle est, et non telle que certains voudraient la réinventer.

La tolérance, oui. La soumission, jamais.

Prince Charles-Philippe d’Orléans pour Duc d’Anjou

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Une réponse à “Foutez nous la paix avec votre identité de genre !”

  1. Et si en plus on pouvait retrouver « mademoiselle »: entendre Madame pour une jeune fille de 15 ans est choquant.
    Tout comme « un jeune homme » de 35 ans: à quel âge devient-on adulte?
    Dans de nombreux établissements recevant du public, il n’y a qu’un seul endroit où se soulager, et bien content quand il est propre!

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