
Je continue inlassablement à rapporter ici des informations sur les effets secondaires désastreux des vaccins ARN.
Je constate qu’en France, tous les grands médias, y compris les plus libres comme CNews, continuent à censurer toutes les informations en provenance de l’étranger et disponibles sur les réseaux sociaux.
Il s’agit d’un délit constitué de non-assistance à personne en danger puisque qu’on entend encore parler de vaccination des personnes fragiles.
Je relaye aujourd’hui deux informations :
- Une étude en provenance du Portugal qui fait état de l’explosion des décès par crise cardiaque des athlètes, juste après la vaccination,
- l’autre qui fait état d’un procès saboté sur le danger des vaccins aux Pays-Bas.
1 – Etude du Portugal
L’étude est disponible (en anglais) sur le site revportcardiol.org et analyse l’évolution des décès par crise cardiaque des athlètes portugais sur 20 ans, entre 2003 et 2023.
Elle peut être résumée par la courbe suivant donnant l’évolution du taux de décès durant les 20 années étudiées :
Avant la vaccination massive (de 2003 à 2019), le taux de décès par crise cardiaque était de 0,28 pour 100 000.
Durant l’épidémie (de 2019 à 2020), le taux est de 0,44 pour 100 000 (x 1,57).
Durant la phase de vaccination (de 2021 à 2022), le taux passe à 1,6 pour 100 000 (x 5,7).
On parle donc d’une multiplication par 5,6 du nombre de morts parmi une population de jeunes athlètes qui ne risquaient rien du virus du covid-19 et qui donc, n’auraient jamais dû être vaccinés !
2 – Procès aux Pays-Bas
L’information arrive grâce à un tweet de Marilyn Johnson qui a traduit un tweet en anglais de Jim Ferguson :
Encore un mort qui tombe à pic !
Dernière minute : Ils l’ont enterré au tribunal, mais le sang a tâché leur jugement.
Un tribunal néerlandais vient d’empêcher cinq témoins experts de témoigner sur ce qu’ils prétendent être la véritable nature des injections d’ARNm du Covid-19 – pas des vaccins, mais des armes biochimiques et technologiques.
Les témoins experts officiellement nommés dans les documents juridiques étaient :
- Katherine Watt
- Catherine Austin Fitts (Le rapport Solari)
- Dr Mike Yeadon (ancien vice-président de Pfizer)
- Dr Joseph Sansone
- Sasha Latypova (vétéran de l’industrie biotechnologique)
Le professeur Francis Boyle, architecte de la loi américaine sur la lutte contre le terrorisme et les armes biologiques, a également été cité. Il avait accepté de témoigner, mais il est décédé subitement avant l’audience, dans des circonstances qui restent obscures.
Ce que cela signifie :
La couverture continue
Ces cinq experts étaient prêts à révéler que les injections d’ARNm pourraient constituer des crimes contre l’humanité, mais le tribunal a refusé de les entendre.
Un système truqué
En l’absence d’objections valables soulevées lors de l’audience, le juge a néanmoins bloqué leurs témoignages, refusant ainsi au public la vérité dans une affaire qui allègue un génocide intentionnel.
Silence et censure des médias
Quelques jours avant l’audience, la réglementation néerlandaise a été modifiée pour interdire aux journalistes non accrédités de filmer. La salle d’audience a été bâillonnée.
Ce combat n’est pas terminé
Un appel est en cours et les procédures de fond avancent, avec les mêmes experts, de nouvelles preuves et un examen public plus approfondi.
Il ne s’agit pas seulement d’une affaire néerlandaise. Il s’agit d’une bataille mondiale pour la vérité, la justice et la responsabilité.
Ils pensent avoir enterré la vérité. Mais la vérité a des racines. Et elle grandit.
Nous ne serons pas réduits au silence. Nous n’oublierons pas !
Ce n’est pas fini. Ce n’est que le début.
Partagez ceci. Brisez le black-out. Exigez justice. Parce que si nous restons silencieux maintenant, la prochaine cible, c’est VOUS.




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