Eoliennes : ces parasites que vous enrichissez !

Publié par le 25 Août, 2025 dans Blog | 0 commentaire

Eoliennes : ces parasites que vous enrichissez !

Non seulement, les éoliennes enlaidissent vos paysages, tuent des Aigles Royaux et d’autres volatiles, mais elles ne sont absolument pas écologiques puisque non-recyclables.

Les énergies renouvelables, éoliennes et panneaux solaires, par leur aspect intermittent, mettent en danger notre système de production organisé autour du nucléaire. Comme l’a montré un récent black-out en Espagne.

Sur le plan financier, les Français payent chèrement ce caprice des écolos qui ont réussi à convaincre l’Europe que le mix énergétique devait comprendre 50 % d’énergies renouvelables. Un chiffre de 50 % qui n’est étayé par aucune donnée scientifique et tient plus de la technique du doigt mouillé !

Dans le passé proche, le financement des énergies renouvelables – dont la France n’a absolument pas besoin – a entraine le doublement de la facture d’électricité des Français et des entreprises. Si le Plan Pluriannuel de l’Energie (PPE3) est adopté, avec un coût de 300 milliards d’euros, c’est un nouveau doublement de la facture qui se profile !

Mais le pire, c’est que toute ces sommes dépensées pour rien profite à une cohorte de parasites et de profiteurs comme le démontre cet article de The Epoch Times :

Éoliennes : Des gens ont fait des fortunes
incroyables avec l’argent des Français

Expert en politique énergétique, Fabien Bouglé a écrit plusieurs ouvrages sur l’énergie. Il est notamment l’auteur du livre Éoliennes : la face noire de la transition écologique (éd. Litos).

Un ouvrage qui ambitionne de dévoiler la face cachée des éoliennes, entre pollution, atteintes à la santé et à la biodiversité, explosion des prix de l’électricité, détournement de fonds publics, conflit d’intérêts, corruption et mafia.

Fabien Bouglé écrit :

La population est conditionnée à l’idée que la solution urgente face au risque écologique, c’est la transition par l’installation de milliers d’éoliennes. Dans ces conditions, il est parfois devenu difficile de porter un discours alternatif ou même rationnel sur le sujet, tant le risque est grand d’être caricaturé. Avec son clergé, ses enfants de chœur, ses censeurs et ses croyances dogmatiques, l’éolien oblige à une conversion sans réserve et le récuser relève de l’hérésie.

Le spécialiste des politiques énergétiques ajoute :

La vérité est que l’industrie éolienne n’est pas du tout écologiste mais répond à une logique de profit exclusif en faveur des promoteurs éoliens par des montages financiers couverts par la politique écologique des États. En aucun cas l’éolien n’est au service d’une écologie durable et pérenne. Cette industrie constitue même une arme de destruction massive de l’environnement.

Dans le cadre de son enquête, Fabien Bouglé s’est notamment intéressé à l’impact des éoliennes sur l’environnement et la biodiversité.

Bien que présentées comme « des moyens de sauver le climat », les éoliennes constitueraient selon lui « des bombes à retardement écologiques et sanitaires ».

L’auteur souligne en effet que leur construction, leur installation et leur démantèlement ont des conséquences particulièrement dommageables pour l’environnement, trois des quatre éléments constitutifs des éoliennes (la nacelle, les pales et le socle en béton) ayant un impact écologique important.

Le lac toxique de Baotou

Dans la ligne de mire de Fabien Bouglé figurent notamment les terres rares, qui représentent « une des matières indispensables à la conception des nacelles éoliennes, en particulier des aimants permanents servant à la fabrication des rotors qui vont transformer le vent en électricité ».

Venues de Chine, qui détient un quasi-monopole avec près des trois-quarts de la production mondiale, les terres rares et leur exploitation présentent des conséquences notables pour l’environnement.

L’extraction des terres rares conduit en effet à la destruction du tissu végétal et des terres agricoles avoisinantes, à la pollution des sols et des nappes phréatiques par des eaux usées contenant des produits chimiques, mais aussi à la production de déchet radioactifs et au rejet de métaux lourds tels que le plomb, le mercure ou le cadmium.

Et Fabien Bouglé de prendre pour exemple la mine de terres rares de Baotou et son lac toxique, en Mongolie intérieure, où la radioactivité mesurée est trente-deux fois supérieure à la normale, là où celle de Tchernobyl est seulement quatorze fois supérieure.

Site de Baotou

L’auteur observe :

Les conditions d’extraction des terres rares et les produits rejetés sans contrôle dans la nature conduisent à des problèmes de santé publique majeurs, non seulement pour les ouvriers travaillant dans ces usines, mais également pour les habitants résidant à proximité des sites.

Il relève également l’hypocrisie des pouvoirs publics qui feignent d’ignorer les dégâts que les politiques de transition énergétique engendrent à l’autre bout du globe.

Déforestation en Amazonie équatorienne

Outre le problèmes des terres rares, Fabien Bouglé évoque celui du balsa, un bois très léger utilisé dans la construction des pales des éoliennes.

L’auteur explique ainsi que :

l’augmentation progressive de la taille des pales nécessaires pour aller chercher des vents plus hauts, permettant une plus grande productivité des éoliennes, a conduit in fine à une explosion de la demande de balsa dont l’Équateur est un centre de production stratégique avec 75 % de la production mondiale.

Une hausse de la demande de balsa à laquelle les plantations existantes sont incapables de répondre, ce qui entraîne une multiplication du trafic et des coupes sauvages dans la forêt amazonienne équatorienne.

Cimetières de pales et Bisphénol A

Fabien Bouglé remarque également que les fibres de carbone qui entrent dans la composition des pales des éoliennes ne sont pas recyclables, ce qui contraint les promoteurs éoliens à enterrer dans les sous-sols les pales des machines arrivées en fin de vie.

Cimetiere de pales d’éoliennes

L’auteur du livre Éoliennes : la face noire de la transition écologique, alerte aussi sur la présence de fibres d’époxy dans les pales des éoliennes et le rejet de substances chimiques de synthèse tels que le Bisphénol A dans l’atmosphère.

Il indique aussi :

Selon des rapports officiels de la filière des résines d’époxy, les pales d’éoliennes contiennent bien une quantité non négligeable d’additif de bisphénol A ou BPA susceptibles de se diffuser dans l’atmosphère par érosion de ces dernières.

Et l’auteur de citer un rapport publié en 2021 par des chercheurs norvégiens, qui estiment qu’une seule pale d’éolienne en Norvège émettrait soixante-deux kilos de micro et nano plastiques chaque année – soit un total de vingt-cinq tonnes par an pour les quatre cents éoliennes norvégiennes – contenant du bisphénol A qui contamine cours d’eau, terre et mer.

Des conséquences sur la santé humaine…

Par ailleurs, Fabien Bouglé insiste aussi sur les effets des éoliennes pour la santé humaine :

Une vingtaine d’années de recul sur ce sujet permet de tenir pour avéré le fait le fonctionnement des éoliennes dans les campagnes s’accompagne de graves problèmes pour la santé des habitants, et ce, en dépit de la désinformation constamment entretenue sur cette question par les promoteurs éoliens.

Fabien Bouglé évoque notamment le rôle joué par les infrasons et les champs électromagnétiques dans les problèmes de santé que rencontrent les personnes qui habitent à proximité des éoliennes.

Il précise :

Depuis le début des années quatre-vingt, les infrasons ont fait l’objet d’études scientifiques approfondies réalisées par des médecins et la NASA, qui démontrent la nocivité pour la santé humaine des infrasons de manière générale et dans le domaine éolien en particulier.

Les infrasons, ondes sonores de basses fréquences, restent en effet imperceptibles à l’oreille humaine mais constituent une gêne pour les hommes et les animaux, en particulier dans le cas d’une exposition prolongée, à tel point que certains États ont étudié ou étudient encore aujourd’hui leur utilisation comme arme de guerre offensive.

L’auteur, qui signale que le rayon d’action des infrasons générés par les éoliennes s‘étend sur une vingtaine de kilomètres estime que :

Incontestablement, nous nous orientons vers un scandale sanitaire du “vent contaminé” comme celui que nous avons déjà connu en France avec l’affaire du sang contaminé. Ce déni de réalité de la part des médecins qui occultent les études scientifiques est particulièrement inquiétant : les éoliennes ont de graves effets, avérés, sur la santé des humains […] .

… Mais aussi sur la faune

Si les éoliennes ont des conséquences néfastes pour la santé humaine, Fabien Bouglé souligne qu’elles menacent également la survie des animaux, aussi bien marins que terrestres, et constituent une « arme de destruction massive de la biodiversité. »

Le spécialiste des politiques énergétiques cite par exemple le cas du couple Potiron, agriculteurs à Nozay, dans les Pays de la Loire, qui ont vu leurs vaches être décimées peu après l’installation d’éoliennes à quelques centaines de mètres de leur étable.

Il rapporte aussi :

Ce sont en effet quatre cents vaches qui sont mortes mystérieusement depuis l’installation et la mise en service en 2012 d’une centrale éolienne, l’un des aérogénérateurs étant installé à six cents mètres de l’étable. Les exploitations voisines connaissent le même phénomène.

Des cas qui existeraient dans toutes les régions d’élevage où des éoliennes sont installées, selon Fabien Bouglé : « […] depuis déjà de nombreuses années, les défenseurs de la condition animale démontrent que les éoliennes ont un véritable impact sur la santé, le stress ou même la mortalité des animaux. »

Et l’auteur d’évoquer également l’impact des éoliennes sur les oiseaux, régulièrement victimes de collisions avec les rotors ou les pales, et sur les animaux marins, victimes des infrasons mais aussi de la pollution liée à l’émission de milliers de tonnes d’aluminium dans les eaux de mer.

Aigle victime d’une éolienne

La manne du « capitalisme vert »

Si Fabien Bouglé consacre plusieurs pages de son livre aux dommages que provoquent les éoliennes sur l’environnement et à ses conséquences néfastes pour l’homme et les animaux, il revient également sur :

les nombreux lobbys qui veulent bénéficier de la manne financière gigantesque du capitalisme vert.

La raison principale de l’invasion de turbines à travers le monde n’est pas l’urgence souvent proclamée de sauver la planète, mais plutôt celle d’accentuer les bénéfices colossaux des industriels du vent qui instrumentalisent les peurs par un marketing et une communication alarmiste.

Exonération d’impôts, subventions européennes, tarifs subventionnés, émission de certificats carbone, les acteurs de l’écolo-business profitent à tous les niveaux des leviers financiers et fiscaux prévus et organisés par les États qui veulent participer à la lutte contre le réchauffement climatique. Toutes ces sommes cumulées conduisent à un transfert financier considérable qui passe […] des contribuables et des consommateurs directement sur les comptes des compagnies éoliennes, dont les bénéficiaires économiques ne sont pas toujours bien connus ou sont parfois même des structures de type mafieux.

Si le prix de gros de l’électricité – appelé prix SPOT, il correspond au tarif auquel les différents producteurs vendent leur électricité, qu’elle soit d’origine nucléaire, hydraulique ou issue de centrales thermiques au gaz ou au charbon par exemple – est fixé quotidiennement sur la bourse européenne de l’électricité en fonction des besoins de la journée, les exploitants éoliens bénéficient pour leur part d’un tarif préférentiel garanti par l’État pendant 15 ans.

Un tarif qui s’avère, en moyenne, beaucoup plus avantageux que le prix SPOT auquel sont soumis les autres acteurs du marché de l’électricité.

Les promoteurs éoliens sur terre bénéficient d’un tarif de rachat fixé en moyenne au double du prix de marché,

précise ainsi Fabien Bouglé.

Ce tarif de rachat se trouve d’ailleurs encore plus avantageux pour les promoteurs éoliens en mer, comme l’explique le spécialiste des politiques énergétiques en prenant l’exemple des projets éoliens entre les îles d’Yeu et de Noirmoutier, et entre Dieppe et Le Tréport.

Initialement fixé à 220 euros le Mégawattheure (Mwh), le tarif préférentiel garanti aux exploitants de ces parcs offshore a finalement été ramené à environ 150 euros le Mwh, hors coûts de raccordement.

Or, la moyenne du prix SPOT en 2024 s’est établie à 58 euros le Mwh sur le marché européen de l’électricité.

350 milliards d’investissements sur vingt ans

Si ce sont les pouvoirs publics qui déterminent le tarif préférentiel accordé aux exploitants d’éoliennes pour une durée de quinze ans, ce sont bien les consommateurs d’électricité et les contribuables qui payent la différence entre le tarif subventionné et le prix SPOT établi sur le marché de l’électricité.

Fabien Bouglé souligne :

Ce racket à l’échelle planétaire fait que dans un premier temps les consommateurs et les contribuables vont, par petites touches, être prélevés par des impôts indirects. Au début indolores – ils concernent la facture d’électricité ou d’essence –, ces impôts vont augmenter progressivement, jusqu’à devenir insupportables.

En 2023 et 2024, les augmentations des factures d’électricité des Français étaient liées à ces hausses de taxe, nécessaires pour subventionner et raccorder les éoliennes aux réseaux.

Alors que la prochaine Programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) devrait acter le développement massif des énergies renouvelables,

Fabien Bouglé alerte sur le risque de voir les factures d’électricité des Français exploser.

Si on additionne les engagements pris en France dans l’éolien sur terre et en mer pour les vingt prochaines années, le coût a minima de ces dernières pour la France sera donc d’environ 150 milliards d’euros. À cette somme, qui prend en compte le coût des subventions liées à la production de l’électricité, il faut ajouter le coût du raccordement de ces éoliennes au réseau.

Des coûts de raccordement évalués à environ 200 milliards d’euros par RTE et Enedis, ce qui porterait les engagements totaux pris par l’État pour renforcer la production d’électricité issue des énergies renouvelables à près de 350 milliards d’euros sur vingt ans.

Une somme qui pourrait conduire à un doublement de la facture d’électricité des Français, selon Fabien Bouglé :

La question aujourd’hui n’est plus de savoir s’il faut ou non continuer cette politique massive d’installation d’éoliennes, mais elle est plutôt de savoir quand elles seront intégralement démantelées.

Voici l’interview complète de Fabien Bouglé par The Epoch Times :

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