Sur le plan sanitaire, une formidable bataille est lancée.
Une bataille à mort pour la vérité sur le covid !
Le champ de bataille est mondial et presque tous les pays, au moins les pays occidentaux, sont impliqués.
D’un côté, on voit une formidable armada dont l’objectif principal et vital est :
que cette vérité n’atteigne jamais le grand public !
On trouve dans cette coalition :
- tous les pouvoirs politiques responsables de la gestion de la crise du covid,
- tous les pouvoirs sanitaires complices des politiques,
- l’Union européenne et Ursula Von der Leyen en tête,
- tous les organismes qui ont soutenu les pouvoirs précédents :
- les Etats profonds associés à ces pouvoirs,
- la Justice qui a laissé ces pouvoirs piétiner les libertés individuelles,
- les grands médias qui ont servi de relais à la propagande des gouvernements.
En face de ces forces liguées pour éviter que soient rendus publiques leurs fautes et leurs mensonges, on trouve des consciences et des révoltés avançant en ordre dispersé.
On trouve parmi eux :
- des scientifiques de la médecine non inféodés au pouvoir comme par exemple les professeurs Raoult et Perronne, les docteurs Fouché et Toubiana, et bien d’autres,
- des initiatives privées se battant pour informer le public tel Pierre Chaillot le statisticien qui a fourni toutes les preuves chiffrées du désastre sanitaire du covid,
- une partie de la presse de ré-information qui se substitue aux journalistes de la presse officielle qui ont perdu toute éthique et toute déontologie,
- les réseaux sociaux qui restent aujourd’hui pratiquement le seul espace de liberté qui nous reste et où les acteurs précédents, boycottés par les grands médias, peuvent encore s’exprimer librement !
Le grand public sera difficile à convaincre car il a été marqué par des années de propagande et de manipulation par la peur.
Une partie de ce public sera victime d’une forme de déni qui lui fera refuser la vérité.
Le déni est le refus inconscient de prendre en compte une partie de la réalité, vécue comme inacceptable par l’individu. En psychanalyse, c’est un mécanisme de défense, par lequel le sujet refuse de reconnaître la réalité d’une perception ressentie comme menaçante et/ou traumatisante.
Les personnes auront une grande difficulté à admettre que leurs dirigeants ont joué avec leur santé et avec la santé de leurs enfants. C’est trop impensable ! Cela remet en cause trop de certitudes et peut entrainer un sentiment de vertige avec l’écroulement de la Société et de ce en quoi elles croyaient.
Et pourtant il y a urgence que la vérité éclate !
Car, même si personne ne peut plus ignorer la dangerosité et la non-maitrise actuelle de la technologie ARN Messager, certains veulent continuer, de façon indirecte, à l’utiliser massivement contre la population.
Voici l’interview d’un chercheur au CNRS par la Gazette du Tocsin qui alerte sur ce qui se trame en ce moment-même :
« Ils s’apprêtent à vacciner les plantes
et les animaux avec de l’ARN. »
Le chercheur au CNRS Jean-Marc Sabatier, attaqué pour ses positions sur la Covid-19 et les vaccins, livre ses dernières analyses glaçantes sur Tocsin.
Jean-Marc Sabatier fait lui aussi partie de cette catégorie de scientifiques unanimement reconnus pour leurs travaux, publiés dans les plus prestigieuses revues, jusqu’à ce que la crise sanitaire déclenche contre eux un feu médiatique, pour avoir émis des analyses peu favorables au narratif ambiant. Pour l’une de ses déclarations sur Tocsin, au sujet des vaccins infantiles, il a fait l’objet d’un signalement par un assistant-professeur du CNRS, dont la spécialité est … l’odorat des poissons. Rappelons que Jean-Marc Sabatier, lui, est entré au CNRS pour un travail sur les vaccins. Notre invité explique :
Ce signalement a pour but de faire en sorte que les revues scientifiques dans lesquelles je publie, à titre bénévole, s’éloignent de moi.
Autre élément probant : aucune attaque contre M. Sabatier ne s’est aventurée sur le terrain scientifique.
On peut voir, avec cinq ans de recul, que tout ce que j’ai publié s’est révélé exact. Scientifiquement, ils sont coincés.
Citons, entre autres, l’origine non naturelle du Covid (sur laquelle Jean-Marc Sabatier s’oppose à ce que disait Didier Raoult sur nos ondes quelques mois plus tôt), et la dangerosité des vaccins utilisant la technologie à ARN messager. À propos des vaccins, justement, il donne une information vertigineuse :
Il y a eu plus de déclarations d’effets secondaires pour le vaccin à ARN messager contre le Covid que pour tous les autres vaccins connus sur une période de trente ans. Tout en sachant que ces déclarations sont largement sous-estimées.
Là où cette émission devient fondamentale, c’est qu’elle ne se contente pas de livrer un énième retour sur la crise sanitaire et ses traumatismes.
Elle s’intéresse aussi à l’après, car il semble qu’aucune leçon n’ait été tirée de ces quatre terribles années.
Les vaccins à ARN s’apprêtent désormais à être utilisés sur les plantes et les animaux, à travers lesquels leurs protéines pourraient avoir un effet sur l’homme. Pire : une technologie encore plus agressive et non maîtrisée — les vaccins à ARN messager auto-amplifiants — est déjà en préparation.
Pour résumer, c’est ce qu’il y a de pire !
avertit Jean-Marc Sabatier, avant de se lancer dans une explication scientifique que nous préférons ne pas reproduire ici, de peur de trahir ses paroles.
En fin de compte : les vaccins à ARN messager étendent leur ombre sur une part croissante de la société, et il pourrait devenir de plus en plus difficile d’y échapper.
La Gazette du Tocsin.
Voici la vidéo de l’interview de Jean-Marc Sabatier :
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