La loi scélérate sur les services numériques (Digital Services Act ou DSA) concoctée par le commissaire politique Thierry Breton, commence à entrer en vigueur.
A l’approche des futures élections en Allemagne et en France – avec les élections municipales en 2026 et présidentielles en 2027 – on ne peut que s’inquiéter d’un tel contrôle de la liberté d’expression.
Evidemment, l’Union européenne se drape dans des intentions louables comme la lutte contre la pédophilie, mais n’a en tête qu’un seul objectif :
Faire taire la pensée de droite et surtout empêcher l’arrivée au pouvoir de partis populistes.
Thierry Breton avait même publiquement avoué que l’Union européenne était intervenue dans les élections roumaines et qu’elle était prête à le refaire, si nécessaire, en Allemagne :
A (re-)diffuser massivement ! (cf vidéo ⤵️)
On se rappelle qu’il y a moins d’un an, Saint Breton, défendu par toute la Caste aujourd’hui, demandait l’annulation des élections législatives allemandes en cas de victoire de l’AFD !
« On l’a fait en Roumanie, il faudra évidemment… pic.twitter.com/ffqrwNCzVV
— Florian Philippot (@f_philippot) December 26, 2025
L’UE se donne comme objectif de lutter contre la haine en ligne et la désinformation mais le flou total de ces deux notions va lui permettre de censurer ou d’invisibiliser toute pensée déviante.
Ceci est d’autant plus vrai que l’UE va confier la surveillance des réseaux sociaux à des organismes « de son camp » c’est à dire du camp progressiste.
C’est ce que révèle ce tweet de Silvano Trotta qui dénonce le choix d’associations d’extrême gauche pour tenir le rôle de signaleurs de confiance :
Loi sur les services numériques (UE)
Voici la liste officielle des « signaleurs de confiance » autorisés par l’UE à exiger des réseaux de type X qu’ils suppriment les publications et les profils : https://digital-strategy.ec.europa.eu/en/policies/trusted-flaggers-under-dsa
La plupart de ces « signaleurs de confiance » sont des organisations d’extrême gauche.
On peut citer HateAID en Allemagne et UNIA en Belgique – cette dernière étant si radicale, extrémiste et partiale que le gouvernement flamand lui a retiré son financement.
Ces « signaleurs de confiance » exigent des millions de suppressions au nom de la « haine » – un terme jamais défini – et de la « désinformation », elle aussi impossible à définir. En pratique, cela signifie toute opinion qui n’est pas de gauche.
Nous assistons donc à une industrialisation mondiale de la censure haineuse et arbitraire par l’UE. L’interdiction territoriale imposée aux censeurs et à certains acteurs de cette bureaucratie effroyable de la censure haineuse – Thierry Breton (ancien commissaire européen, principal architecte de la DSA), Imran Ahmed (Center for Countering Digital Hate, Royaume-Uni), Clare Melford (Global Disinformation Index, Royaume-Uni), Anna-Lena von Hodenberg et Josephine Ballon (HateAID, Allemagne) – est non seulement légitime, mais totalement insuffisante.
La DSA bafoue les libertés constitutionnelles les plus fondamentales des citoyens européens et, bien sûr, américains — ces droits qui distinguent les humains des animaux, les citoyens libres des bêtes de somme.
Ce texte est la traduction d’un tweet de Drieu Godefridi :




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