« Le racisme anti-blanc n’existe pas ! » … Ah bon ?

Publié par le 30 Mai, 2025 dans Blog | 0 commentaire

« Le racisme anti-blanc n’existe pas ! » … Ah bon ?

Les propos ouvertement racistes et anti-Blancs d’un humoriste issu de l’immigration, Mustapha El Atrassi, ont défrayé la chronique et insupporté beaucoup de monde !

Quand on connait la susceptibilité de cette multitude d’officines de gauche qui traquent le moindre dérapage de leurs adversaires de droite ou d’extrême droite et les trainent devant la 17 ème chambre correctionnelle de Paris, on peut être aussi tenté de saisir la justice.

Je relaye un article de Breizh-Info qui prend le parti de ne pas copier la gauche dans cette judiciarisation compulsive des propos de ses adversaires politiques.

Je partage cette position tout en déplorant l’usage que les gauchistes font de toutes ces lois qu’ils ont fait voter notamment celle qui condamne « l’incitation à la haine », une notion floue que peuvent exploiter les juges rouges pour condamner leurs adversaires de droite.

Concernant ce soi-disant Mustapha El Atrassi, je préconise qu’on ne le traîne pas en justice mais seulement qu’on le traite de ce qu’il est un vulgaire et très mauvais humoriste !

Il a touché le fond avec ce « sketch » vulgaire et insultant que vous pouvez voir ici.

Voici un extrait d’un sketch de Mustapha El Atrassi et ce qu’en dit un de ses congénères :

Affaire Mustapha El Atrassi.
Liberté d’expression ou camisole politique ?
A droite aussi, le virus du totalitarisme gagne du terrain.

Mustapha El Atrassi balance des vannes moisies sur les « gwers » ? Qu’il continue. Qu’il tourne, qu’il s’affiche, qu’il crache sa haine de la France et des Blancs sur scène, sous les projecteurs, au vu et au su de tous. Non seulement cela ne me choque pas, mais j’y vois même une clarté utile dans l’épaisse brume du mensonge contemporain.

Ce qui me sidère, en revanche, c’est cette énième poussée de fièvre puritaine venue de notre propre camp, cette droite qui singe les réflexes pavloviens de la gauche : dépôt de plainte, demande de déchéance de nationalité, pressions sur les salles, menaces à peine voilées. Le tout pour quoi ? Pour faire taire un comique raté qui aligne trois punchlines communautaires dans une salle parisienne subventionnée ?

On veut quoi, au juste ? Qu’El Atrassi soit censuré, annulé, rééduqué ? Qu’il finisse avec un bracelet électronique, assigné à résidence dans un van de tournée, persécuté judiciairement ou financièrement comme Dieudonné ?

Mais où est passée la droite insoumise, la droite de la liberté ?

Celle qui riait au nez des lois Gayssot et Pleven, (bon c’est vrai qu’ils ne sont plus beaucoup à droite à le faire tant ils sont lâches) celle qui dénonçait le régime d’exception qui frappe les penseurs non conformes, celle qui exigeait une liberté d’expression intégrale ? Aujourd’hui, elle court derrière la gauche et ses outils de répression, espérant appliquer la censure … mais dans l’autre sens. Pathétique retournement.

Soyons honnêtes : cette indignation est sélective. Elle ne vise pas la défense des principes, mais la revanche tribale. Ce que beaucoup veulent, ce n’est pas une société libre. C’est une société où leur camp seul aurait le droit de parler. Où l’on pourrait brûler les autres tout en s’indignant d’être mouillé soi-même. Le mot « liberté » ne veut plus rien dire dans ce cirque.

Or il n’y a que deux choix : la liberté pour tous ou pour personne. Il faut accepter que des gens nous haïssent, nous caricaturent, nous ridiculisent. Et les laisser faire. Ce qui n’empêche pas de leur fixer quelques limites physiques s’ils vont trop loin. C’est le prix de la vérité. Car à force de vouloir interdire tout ce qui nous déplaît, nous créons une société de muselières, de tribunaux, de comités de vigilance. Et nous finirons par tomber dans nos propres pièges.

Alors non, je ne réclamerai pas qu’El Atrassi soit déchu de sa nationalité française (que veut dire d’ailleurs cette nationalité aujourd’hui, puisque le monde entier peut, un jour, prétendre à la posséder ?). Je réclamerai juste qu’on lui offre un billet d’avion. Qu’il aille jouer ses sketches devant les foules joyeuses de Rabat ou d’Alger. Là-bas, loin des « Gwers ». Ici, il peut dégueuler sur les « gwers » sans finir en cellule. Ce privilège-là, c’est encore la France qui le lui offre.

Mais si l’on prétend défendre la civilisation européenne, alors qu’on la défende pour de bon. Avec son lot de chaos, de débats, d’humour féroce, de confrontation frontale. Pas en réclamant des interdictions tous azimuts. La droite qui demande des dissolutions, c’est la gauche qui a changé de drapeau. C’est la même police de la pensée, inversée.

Si El Atrassi insulte les Blancs, rions. Moquons-le. Répondons-lui ou ignorons le. Et surtout, laissons-le parler. Plus il parle, plus il se dévoile. Et plus ceux qui ont encore un gramme de lucidité verront dans ses propos non pas une blague, mais le visage nu d’une haine ethnique banalisée. C’est cela, le vrai scandale. Et c’est aussi notre meilleure arme.

Julien Dir pour Breizh-Info.

Les propos de Mustapha El Atrassi portent aussi le danger de monter les communautés les unes contre les autres comme en témoigne cette manifestation anti Mustapha El Atrassi :

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