Alain Juppé très à l’aise parmi les siens !

Publié par le 21 Oct, 2025 dans Blog | 0 commentaire

Alain Juppé très à l’aise parmi les siens !

Alain Juppé porte, avec Jacques Chirac, les plus lourdes responsabilités dans la descente aux enfers de la droite dite de gouvernement. Et en conséquences, du retour de la gauche au pouvoir avec Hollande puis Macron.

Tout a commencé en 2002 avec la décision prises par les deux hommes de créer l’UMP par fusion de la droite RPR avec les centristes de l’UDF.

A partir de là, l’UMP ne cessera de glisser vers un centre droit des plus mous et de plus en plus soumis aux diktats de la gauche et des médias.

A cet égard, Alain Juppé est l’archétype de ces anciens issus du gaullisme qui se sont perdus dans les sables mous du centrisme.

Pour s’en convaincre, il suffit de relire les conclusions des Etats généraux de l’immigration tenus en 1990 et qui rassemblaient tous les ténors de la droite et du centre droit. Etaient présents alors Valery Giscard d’Estaing, Jacques Chirac, Alain Juppé, François Bayrou, François Léotard, Nicolas Sarkozy, Alain Madelin et bien d’autres.

Une vidéo de l’événement est disponible ici où l’on voit que les centristes rechignaient déjà à agir contre l’immigration.

Mais les conclusions sont très claires :

Non ! Il n’y a pas d’erreurs, ce n’est pas un tract du Front ou du Rassemblement national mais les conclusions co-signées par le RPR et l’UDF de l’époque !

On mesure la trahison de tous ces politiciens qui renièrent leurs convictions de droite et furent responsables du départ massif de leurs électeurs vers le Rassemblement national.

Alain Juppé est bien représentatif de ces traitres à la droite notamment quand il s’est déclaré favorable à :

des accommodements raisonnables avec l’islam !

Ce qui lui valu son surnom de Ali Juppé !

Aujourd’hui, Alain Juppé termine son travail de destruction de la droite en participant, au sein du Conseil constitutionnel, à la censure répétée de toute loi tentant de contrôler l’immigration.

La trahison de cet homme vient d’être illustrée avec éclat par sa participation à l’émission gaucho-bobo du service public, la belle époque.

On y voit Alain Juppé, violant son devoir de réserve de « sages » du Conseil constitutionnel, se moquer avec mépris de Bruno Retailleau devant une assemblée de gauchistes hilares :

Voici l’excellent édito de Thomas Bonnet sur CNews qui décrit bien ce que fut la carrière politique d’Alain Juppé :

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