
Oui, c’est une tragédie, car des réalisateurs de films sur « les migrants-richesse pour la France » et la « diversité heureuse » ne seront plus financés !
Oui, c’est une tragédie car le lobby LGBTQIA+ ne pourra plus voir de films à la gloire du transgenrisme, des hommes enceints et des créatures improbables non-binaires !
Oui, c’est une tragédie car les islamogauchistes de la France insoumise ne se régaleront plus de films saluant Fatima si heureuse d’arborer son voile islamique !
Et tout cela de la faute de l’Arcom qui a supprimé la chaine C8 !
En représailles à la fermeture de l’une de ses chaines de télévision, Vincent Bolloré a retiré toutes les chaines du groupe Canal+ de la TNT ce qui le libère de l’obligation de financer le cinéma français. Et Macron de jouer le rôle de l’arroseur arrosé !
Breizh-Info, dans cet article, décrit les conséquences de la censure de l’Arcom :
Cinéma français : la chute programmée (et méritée ?)
des « films d’auteur » après le désengagement de Canal+
Canal+, longtemps vache à lait d’un certain cinéma d’auteur subventionné, va réduire drastiquement ses investissements dans la production cinématographique française. Une annonce qui provoque des larmes chez les producteurs parisiens, mais pourrait, en réalité, soulager bien des contribuables et des téléspectateurs.
De plus de 600 millions d’euros sur la période 2022-2024, l’investissement passera à 480 millions d’euros sur les trois prochaines années. Résultat annoncé : entre 30 et 40 films en moins chaque année. Un drame, selon les professionnels du secteur. « C’est une tragédie car des cinéastes ne naîtront pas », ose même un producteur parisien. En réalité, ce sont surtout les films déconnectés du public, issus du microcosme parisien militant, qui vont en pâtir.
Ces fameux « films de la diversité », terme pudique pour désigner des œuvres souvent très idéologiques, où le militantisme racialiste, féministe, ou LGBTQIA+ l’emporte sur la qualité artistique ou narrative. Des films qui ne trouvent quasiment jamais leur public en salles mais continuent d’être produits grâce à l’argent du contribuable et aux chaînes soumises à des obligations de financement.
Julie Billy, productrice, s’inquiète ainsi de voir ces œuvres « sans têtes d’affiche » ou « à la vision audacieuse » abandonnées. Comprendre : des films invendables à l’étranger, sans intérêt commercial, mais soutenus pour cocher des cases.
Il ne s’agit pas ici de remettre en question la nécessité de soutenir le 7e art, mais plutôt de poser une question simple :
à quoi bon financer à coups de millions des films que personne ne regarde, qui ne rapportent rien, et dont le principal objectif semble être de flatter les cercles parisiens bien-pensants ?
Combien de fois a-t-on vu des œuvres encensées dans Télérama, primées à Cannes, faire des bides monumentaux dès leur sortie ?
La réduction de l’enveloppe Canal+ pourrait être une aubaine.
Une occasion de revenir à un cinéma populaire, enraciné, qui parle aux Français plutôt que de les mépriser. Un cinéma qui ne soit pas qu’un prétexte à subventionner les obsessions d’une poignée de réalisateurs hors-sol.
Breizh-Info.




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Une réponse à “« C’est une tragédie car des cinéastes ne naîtront pas ! »”
Il n’y a pas que les films d’auteurs inclusifs et subventionnés fabriqués à la chaîne qui font des bides, il semblerait que l’essai littéraire de Louis Sarkozy, le fils de qui vous savez, n’ait pas trouvé son public, lui non plus..