De l’optimisme à la triste réalité …

Publié par le 11 Nov, 2019 dans Blog | 0 commentaire

De l’optimisme à la triste réalité …

Habituellement, quand je reçois un texte de Christian54, un pilier de notre blog, je décide très vite de le publier …

Mais ce matin, j’ai un peu hésité … 

Oh, ce n’est pas la qualité du texte qui était en cause ! Pertinence et qualité d’écriture étaient bien présentes !

C’est sans doute la noirceur du propos qui m’a fait hésiter, tant Christian y dresse un tableau quasi apocalyptique de la situation politique et sociologique en France.

Le pays est en plein doute. La liberté d’expression menacée. Emmanuel Macron est contesté, le PS est mort, les Républicains moribonds et la perspective de voir se rejouer le second tour mortifère de 2017 atteint le moral de tous les démocrates. Alors pourquoi rajouter une couche de pessimisme sur ce sentiment de chute sans fin qui nous démoralise ?

Au final, je publie ! Car la politique de l’autruche, partagée par tant de politiciens, n’est pas dans l’ADN de notre blog ! En espérant que des voix s’élèveront pour trouver des solutions au blocage actuel et faire se lever  quelques espoirs pour l’avenir.

Voici donc le texte de Christian54 :

Étant, par nature, optimiste, j’ai longtemps pensé que les choses allaient pouvoir s’améliorer, mais, depuis plus de trente ans, je déchante !

Chaque semaine, je me disais qu’ayant (enfin) touché le fond, nous ne pouvions qu’entamer la remontée. C’était sans compter sur la fertilité de l’imagination de ceux que je ne nomme plus que les poly-tocards, le mot politicien ayant disparu de mon vocabulaire car n’évoquant pas suffisamment la bassesse de ceux dont je veux parler. Certes, ces beaux messieurs vont se mettre à hurler, à me vouer aux gémonies pour peu qu’ils aient connaissance de mes propos, en parlant de leurs vertus bafouées, mais quel exemple donnent ils ?

La France s’enfonce lentement dans le chaos

Bien entendu, ils ne sont pas les seuls habitants de mon panthéon à l’envers, et je m’en voudrais d’omettre de citer les cohortes innombrables de journaleux de très bas étage, qui n’ont aucun esprit critique et que des pensées sales, par incapacité à avoir une pensée qui leur soit propre. A leur défense, par pure gentillesse, je préciserai que l’exemple vient d’en haut…

Ce qui m’a causé des hauts le cœur, c’est de constater que Sa Munificente Incompétence soi-même, Microminus 1er, s’est fendu de vœux de bonne fête de Toussaint au peuple algérien ! Comme le rappelle Valeurs Actuelles : En ce jour de la Toussaint pour les catholiques, le président français a préféré célébrer la fête de la révolution algérienne. Ce jour, qui marque le début de la « guerre d’indépendance » contre la France, est aussi appelé la « Toussaint rouge », en raison des attentats commis par le FLN (Front de libération nationale) contre les Français, en 1954 ».

Dans la nuit du 31 octobre au 1er Novembre 1954, le F.L.N. revendiqua 70 attentats sur le territoire algérien qui firent 8 morts .Le F.L.N. avait proclamé son but : « indépendance nationale par la restauration d’un état algérien démocratique et social dans le cadre des principes islamiques ».

On aurait pu espérer un chef de l’état plus respectueux de son peuple. Encore aurait-il fallu un minimum d’éducation et de sensibilité. Mais, sans doute, était il primordial de ne pas faire de la peine à ses très chers amis Benalla et Bellatar.

Mais ceci n’est qu’une minuscule péripétie dans l’ensemble de l’œuvre du prince. A l’inverse de tous les souverains français dignes de ce nom, il n’a nullement protégé les frontières de son royaume, bien au contraire. Non, il a préféré, comme d’autres monarques socialistes ou rad soc, chouchouter particulièrement l’ennemi intérieur, le communautarisme sournois.

Aujourd’hui, la France n’appartient plus aux français ! Elle a été offerte comme l’agneau du sacrifice à des hordes barbares sans foi ni loi, sans véritable culture, et ses maîtres l’ont rendue incapable de la moindre réaction. Tout est pourri y compris au sein de la Préfecture de Police ou une politique absurde du padamalgam avait jusqu’à présent empêché que l’on puisse même concevoir que des ennemis de la liberté viennent s’infiltrer. Le politiquement correct impose que l’Autre soit angélique. On a vu !

Je commence à réaliser à quel point nous nous sommes éloignés de la démocratie. Le monde que j’avais connu libre est mort. De nos jours, Camus serait trainé dans la boue. De nos jours un Zola serait interdit, tout comme Jaurès. Pourtant, un J’ACCUSE d’aujourd’hui serait indispensable, que dis-je, vital ! Mais ce n’est pas le film de Polanski qui va arranger les choses.

La loi existe  toujours, mais elle reste lettre morte depuis tant d’années ! La justice est (mal) rendue par des lâches et des pourris. Liberté et égalité n’ont plus droit de cité que sur les frontons de nos bâtiments mais plus personne ne connaît le sens de ces mots. 

Certains territoires de la République ne connaissent plus le droit.

La tolérance pour les comportements des racailles est à son comble, les rodéos à moto ou scooter sont monnaie courante et les policiers qui tentent de faire respecter la loi sont attaqués, vilipendés, lâchés par leur hiérarchie. 

La nationalité française est bafouée tous les jours par ceux-là mêmes qui ont la charge et le devoir de la défendre. Je me souviens qu’en 1970, désirant épouser une jeune fille tchèque et lui conférer la nationalité française, j’ai dû batailler avec le Tribunal d’Instance du 6ème arrondissement. De père français et résistant, mais né à Haïphong (Tonkin), de mère française il me fallait justifier de ma qualité de français ! Droit du sol ou droit du sang, rien ne suffisait. Ce n’est qu’en exigeant d’être donc reconnu comme apatride que j’ai obtenu un jugement me reconnaissant la qualité de français.

Aujourd’hui on trouve la nationalité dans le kit du petit migrant.

La langue est abâtardie par des gens qui n’ont d’autre « culture » que celle de la rue, de la violence et de la haine. Des rappeurs immondes appellent à tuer les policiers sans que le gouvernement n’y trouve rien à redire et surtout sans qu’il ne réagisse.

La culture française est niée à tour de bras, mais le gamin qui nous gouverne ne trouve rien de mieux que de se faire papouiller par les racailles qu’il adore.

Tous les politiques veulent instaurer avec le peuple un dialogue sain et dépassionné mais aucun n’écoutera ce que nous avons à crier.

30 années de socialisme …

En 30 années de socialisme ou avoisinant, le pays a été totalement détruit, avili, et ce sciemment, méthodiquement. La morale n’existe plus, elle a été ringardisée et brisée. Tout ce qui était point de repère est broyé et le ministre de l’Intérieur ne fait rien. Les préfets ne font rien. Les hauts gradés de la Police n’ont pour seule occupation que de ne pas faire de vagues et s’occuper de leur avancement au détriment de leurs hommes. Vont-ils le supporter éternellement ?

L’école en faillite

L’une des pires dérives à été celle de l’éducation. Qu’elle soit sociale, scolaire ou familiale, la faillite est absolue. Et, pis encore, ce sont les maîtres qui sont les premiers à démissionner, à politiser sans vergogne des jeunes qu’ils laissent incultes et ignares, vu que leur seul but est de saboter la société et qu’ils ne savent pas enseigner ! Les examens, donnés à tous, sans qu’ils aient besoin du moindre effort, ne sanctionnent plus ces efforts : ils encouragent une méconnaissance de la réalité et récompensent la paresse. Excellence est devenu un mot obscène. 

La lâcheté commence par les mots

Un premier ministre débile se permet même de qualifier de petite bande d’imbéciles et d’irresponsables ceux qui commettent des actes criminels, où va le pays ? C’est à l’Elysée et à Matignon que se trouve la petite bande en question. Plus grave encore :si on analyse les propos du barbu, il dit donc en filigrane que l’Etat est incapable de contenir une petite bande d’imbéciles. Que serait-ce alors s’il y en avait tout un troupeau ?

Autre symptôme de la déliquescence absolue : un certain premier ministre qui veut améliorer la sécurité routière a trouvé génial de diminuer la vitesse sur les routes. Mais allez jeter un œil sur la RN 4 avant d’arriver à Meaux en venant de Paris : c’est effrayant ! La chaussée est défoncée et tout ce que l’on fait est d’apposer des panneaux « trous en formation ». Il est certain que cela revient moins cher que d’effectuer les travaux qu’il faudra néanmoins réaliser !

Et Castaner, confortablement installé à l’intérieur, qui prétend vouloir reprendre mètre après mètre les territoires perdus alors qu’il ne fait rien…

Et tout se délite : la SNCF est en cours d’effondrement : réseau obsolète, non entretenu, matériel vétuste et vandalisé, sécurité nulle à bord des trains, disparition des guichets, une catastrophe ! Le métro et le RER vont eux aussi passer à la trappe sous peu. La notion de Service Public, si souvent mise en avant par nos zénarques, est systématiquement remplacée par celle de Sévices Publics.

L’islam radical a pignon sur rue

Cerise sur le gâteau : la manif anti islamophobie d’hier et les déchets humains qui y ont participé : je précise que je fais référence à ces détritus comme tous les non-musulmans présents dans cette manifestation de la honte. En plus, ils osent l’étoile pour musulmans. Que leur mémoire est courte :

Cette photo montre le grand Mufti de Jérusalem (grand admirateur des nazis, qu’il a soutenus, qui a aidé à la création d’unités musulmanes dans la SS et qui a passé la guerre à Berlin, voir Wikipedia) et des soldats musulmans alliés des nazis. On peut en trouver bien d’autres  ! Nous marchons de plus en plus sur la tête.

Je rêve maintenant que les droits ne soient plus octroyés qu’à l’aune des devoirs respectés.

Voilà pourquoi, aujourd’hui, je n’ai plus aucune confiance dans mon pays dont autrefois j’ai tant aimé la culture.

Christian54 pour A droite, fièrement !

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