Dealer arrêté puis relâché … parce qu’il était noir !

Publié par le 26 Juin, 2020 dans Blog | 0 commentaire

Dealer arrêté puis relâché … parce qu’il était noir !

 « Calomniez, calomniez !
il en restera toujours quelque chose ! »

C ‘est sans doute la devise d’Assa Traoré qui martèle que la police est raciste.

Et, effectivement, il semble bien qu’il en reste quelque chose, notamment dans la tête de certains magistrats …

Je relaye un fait divers qu’on ne retrouvera sans doute pas dans les médias généralistes mais qu’on trouve sur plusieurs sites de la fachosphère, dont votre serviteur se réclame.

Voici la version relatée par Valeurs actuelles :

Un dealer arrêté puis libéré par la justice car il est noir

Après avoir été contrôlé à Créteil avec du cannabis et de la cocaïne, un dealer a été remis en liberté par le parquet, lequel estime que l’interpellation s’est faite sur fond de racisme. La décision ne passe pas auprès des policiers, d’autant que l’un d’eux est Noir.

Les paradoxes de l’antiracisme. Mardi 23 juin, un dealer a été interpellé par une patrouille de la brigade anticriminalité (BAC) avec du cannabis et de la cocaïne sur lui. Seulement, il a été remis en liberté dans la foulée, sur décision du parquet. En effet, la justice a estimé que le trafiquant avait été « contrôlé parce qu’il est noir ». Pourtant, le policier qui l’a arrêté était lui-même noir, rapporte Le Parisien. Du côté du parquet on plaide une « maladresse », mais l’équipage de la BAC impliqué dans l’interpellation « n’encaisse pas du tout » cette décision basée, selon lui, sur « le contexte sur le racisme ».

Un contrôle qui « s’est très bien passé »

Tout a commencé mardi 23 juin, aux alentours de 20 heures. Ce soir-là, les policiers en civil patrouillaient dans un quartier de Créteil, non loin d’un point de deal. Ils ont aperçu « un individu de type africain de 20 ans environ, coiffé d’un casque noir, qui [sortait] d’un immeuble ». Alors que l’individu s’apprêtait à démarrer, les « bacqueux » ont suspecté un livreur de stupéfiants et décidé de procéder à un contrôle. « Cela s’appelle du flair. Les types sont payés pour en avoir », justifie un de leurs collègues auprès du Parisien. Les fonctionnaires se sont rapidement rendus compte qu’ils avaient raison, quand ils ont découvert de la résine de cannabis et des pochons de cocaïne et l’ont emmené au poste. « Le contrôle s’est très bien passé. Le gars était correct », témoigne le même collègue.

« En fait, vous l’avez contrôlé parce qu’il est noir »

Seulement, selon les informations du Parisien, la magistrate en charge de l’affaire a tiqué sur la motivation du contrôle. « En fait, vous l’avez contrôlé parce qu’il est noir », aurait-elle directement déclaré aux policiers responsables de l’interpellation. Après avoir demandé à ce qu’on lui envoie le procès-verbal, elle a estimé qu’il fallait remettre en liberté le dealer pourtant attrapé en flagrant délit. « Elle nous a dit que vu le contexte sur le racisme, c’était compliqué », s’indigne un policier auprès du Parisien. « Mais dire que la raison du contrôle, c’était la couleur de peau du suspect, ça, on ne l’encaisse pas du tout », ajoute-t-il.

L’un des policiers le vit particulièrement mal : celui qui avait la même couleur de peau que le suspect.

En conclusion …

Pour conclure, je laisse la parole à un contributeur de Valeurs actuelles qui a laissé ce commentaire :

Confortée dans ses positions par le « très sévère » jugement de l’affaire dite « du mur des cons« , l’institution judiciaire aurait bien tort de ne pas poursuivre sa marche en avant dans la voie du progressisme …

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