L’épisode calamiteux pour le pouvoir macronien de la labellisation des médias a vu l’Elysée commettre un clip vidéo qui démontrait que pour Macron, tout commentaire qui critique le récit officiel est une fausse information.
Le « premier communiqué du ministère de la vérité »
a commenté avec pertinence David Lisnard !
Et voila que la liberticide Ursula von der Leyen vole la vedette à Macron en infligeant une amende de 120 millions d’euros à Elon Musk, le propriétaire du réseau X (ex-Twitter) !
C’est le premier effet du scélérat Digital Service Act de Thierry Breton – voté par tous les députés européens français, LR et RN inclus, dont les règles ont permis cette amende.
De l’autre côté de l’Atlantique, où l’on a gardé cette volonté farouche de défendre la liberté d’expression, c’est la stupéfaction de voir cette vieille Europe « des Lumières » s’enfoncer dans le renoncement à ses valeurs fondamentales et mériter ce surnom que certains lui ont donné :
l’UeRSS
Le chef de la diplomatie américaine, Marc Rubio, a immédiatement réagi vigoureusement :
L’amende de 140 millions de dollars infligée par la Commission européenne n’est pas seulement une attaque contre X, c’est une attaque contre toutes les plateformes technologiques américaines et contre le peuple américain par des gouvernements étrangers.
Cela annonce des représailles de l’Etat américain que l’UE n’a sans doute pas mesurées !
Voici un article de la Lettre patriote qui fustige une Europe qui oublie d’où elle vient :
Amende conte X :
la dérive autoritaire de l’UE
Il faut parfois un électrochoc pour mesurer la pente sur laquelle nous glissons.
La nouvelle amende infligée à X — ex-Twitter — par la Commission européenne n’a rien d’un simple rappel réglementaire. C’est un signal. Un avertissement. Une démonstration de force bureaucratique qui vise moins une entreprise qu’un principe :
la liberté d’expression hors du contrôle de Bruxelles.
Cent vingt millions d’euros.
Le chiffre donne le vertige, mais il dit surtout la jubilation d’une administration qui a trouvé dans le Digital Services Act l’arme parfaite : un texte flou, extensible, permettant de frapper lourdement quiconque refuse de se plier à la vision du monde de l’eurocratie. Les « pratiques trompeuses », la sacro-sainte « transparence », l’éternel « registre publicitaire » : derrière ces formules technocratiques, une réalité beaucoup plus simple se dessine :
Bruxelles veut trier, filtrer, surveiller, et punir ceux qui refusent d’entrer dans le moule.
Ce qui gêne réellement ? Pas les coches bleues. Pas la publicité. Pas les API pour les chercheurs. Ce qui gêne, c’est qu’avec Musk aux commandes :
X échappe à la vieille logique européenne de domestication des plateformes.
L’idée qu’un réseau social puisse permettre un débat rugueux, imprévisible, non calibré par les commissaires et leurs cabinets, terrifie les rédacteurs de directives mieux que n’importe quel scénario dystopique.
L’indignation américaine, immédiate, en dit long. Washington n’a pas l’habitude de se mêler des susceptibilités numériques européennes, mais la brutalité de la sanction a fait réagir jusqu’au Département d’État, qui y voit une attaque contre l’industrie technologique américaine tout entière. Et pour une fois, ce n’est pas de la paranoïa : l’UE entend bel et bien montrer qu’elle peut frapper les géants américains, quitte à instrumentaliser des textes prétendument conçus pour « protéger les citoyens ».
Le plus inquiétant n’est pas la sanction, mais l’assurance avec laquelle elle est délivrée. Un ton professoral, presque condescendant. Bruxelles donne des « délais », demande des « plans d’action », et se réserve le droit d’alourdir les pénalités si la plateforme ne corrige pas son comportement.
Comme si l’Union européenne était devenue un tribunal moral chargé de rééduquer les mauvais élèves de l’économie numérique mondiale.
Dans ce climat, que Musk réponde en estimant que l’Union européenne devrait être dissoute n’a rien de surprenant. Ce n’est pas tant une provocation qu’un constat : une structure politique incapable d’assumer son propre déclin fabrique des normes pour masquer son impuissance. Et comme toute institution en perte de repères, elle multiplie les sanctions pour donner l’illusion de la maîtrise.
Derrière cette affaire, il y a une vérité que beaucoup préfèrent éviter :
l’UE ne protège plus. Elle surveille. Elle ne libère plus. Elle encadre. Elle ne régule plus. Elle discipline.
Le Vieux Continent s’enfonce ainsi dans une forme de gouvernance punitive où la priorité n’est plus la liberté des peuples, mais la conformité des outils qu’ils utilisent. Musk n’est que la cible du moment. Demain, ce sera un autre. Et après-demain, peut-être les citoyens eux-mêmes.
La hache de guerre est levée, dit-on. En réalité, elle l’était déjà. Bruxelles vient simplement d’admettre qu’elle avait choisi son camp :
celui du contrôle. Celui de la peur du débat libre. Celui d’une Europe qui oublie qu’elle fut un jour un phare de liberté intellectuelle.
Aujourd’hui, elle n’est plus qu’un phare éteint, mais extrêmement pointilleux sur les procédures.
Robin de La Roche pour la Lettre patriote.
Elon Musk lui-même a été le premier à réagir en demandant … l’abolition de l’UE et le retour à la souveraineté des pays européens :
The EU should be abolished and sovereignty returned to individual countries, so that governments can better represent their people
— Elon Musk (@elonmusk) December 6, 2025
Le tweet vengeur d’Elon Musk a inspiré de nombreuses réactions chez les Patriotes :
– Viktor Orbán, @PM_ViktorOrban » (Premier ministre hongrois) :
L’attaque de la Commission contre X en dit long. Quand les seigneurs de Bruxelles ne peuvent pas gagner le débat, ils se tournent vers les amendes. L’Europe a besoin de liberté d’expression, et non de bureaucrates non élus décidant de ce que nous pouvons lire ou dire. Chapeau à Elon Musk de tenir bon.
– Pavel Durov « @durov » :
L’UE impose des règles impossibles afin de pouvoir punir les entreprises technologiques qui refusent de censurer silencieusement la liberté d’expression. Nous avons vu la même chose en France : une « enquête pénale » sans fondement, puis des services de renseignement proposant leur aide pour celle-ci, si Telegram censurait discrètement les discours en Roumanie et en Moldavie.
– Dmitry Medvedev « @MedvedevRussiaE« :
Soutien clair et direct : « Exactement », en commentant le post de Musk sur X. Il approuve l’appel à abolir l’UE pour restaurer la souveraineté nationale, relayé par TASS et Pravda. Ça a fait le tour des médias russes comme un alignement géopolitique.
– Geert Wilders « @geertwilderspvv » (Membre de la Seconde chambre des États-Généraux des Pays-Bas) à propos du tweet d’Elon Musk :
Personne ne vous a élu [NDLR : Ursula von der Leyen et à la Commission européenne]. Vous ne représentez personne. Vous êtes une institution totalitaire et vous ne savez même pas épeler les mots « liberté d’expression ». Nous ne devrions pas accepter l’amende contre X, mais abolir la Commission européenne.
– Alice Weidel « @Alice_Weidel » (Co-leader AfD, Allemagne) :
Post direct en réponse au tweet :
Sous la direction d’Ursula von der Leyen, une dictature numérique s’établit – la Stasi n’aurait pu rêver d’un tel pouvoir. Musk a raison : abolissons cette UE totalitaire !
– François Asselineau « @f_asselineau » et son parti, qui prônent le Frexit depuis 18 ans, profitent d’un regain d’intérêt :
Musk propose la destruction de l’UE et le retour de chaque État à sa souveraineté nationale. Ce tweet est un tournant mondial. Écrivez à Musk pour le remercier !
– Florian Philippot « @f_philippot » (Président des Patriotes) réagit :
Extraordinaire ! Un soutien de poids pour le FREXIT ! À bas l’UE ! Vive la France libre !




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