« Emmanuel Macron a choisi de me sacrifier » !

Publié par le 1 Juil, 2025 dans Blog | 0 commentaire

« Emmanuel Macron a choisi de me sacrifier » !

Jamais un président de la V ème République n’aura fait autant de dégâts, de dégâts matériels … et humains !

Inutile de revenir sur les conséquences calamiteuses pour la France et les entreprises françaises des politiques économique et surtout énergétique de Macron.

Je veux me consacrer aujourd’hui sur les dégâts humains !

En me concentrant sur deux personnes – et sans doute bientôt trois, avec ce journaliste condamné à 7 ans de prison – que Macron a sacrifiées pour des intérêts inavouables !

A cause de la terreur que lui inspire la « rue arabe » française !

Je veux parler du policier Florian M. qui a stoppé le jeune Nahel et de Boualem Sansal, écrivain franco-algérien, retenu dans les geôles algériennes pour de simples écrits.

Concernant Boualem Sansal, on attend aujourd’hui le verdict du jugement en appel qui, malheureusement devrait reconduire la condamnation en première instance à 5 ans de prison – ou éventuellement l’aggraver !

Macron et Jean-Noël Barrot, la falot ministre des affaires étrangères, en sont probablement à mettre des cierges à Notre-Dame du Touquet pour que le président algérien gracie l’écrivain !

L’affaire Boualem Sansal restera à jamais une tâche honteuse dans les mandats de Macron.

Quand on pense aux énormes moyens de pression dont dispose la France contre l’Algérie (visas pour particuliers et officiels, transferts de fonds), on doit se poser cette question :

Quel dossier détient le président Tebboune contre Macron pour lui imposer cet immobilisme ?

Certains avancent une hypothèse :

On sait que l’affaire Brigitte Trogneux passe par Alger puisque Brigitte Macron a indiqué qu’elle avait fait ses études en partie à Alger. Des enquêtes ont montré qu’on ne trouve aucune trace d’elle dans les universités algériennes …

… mais celle d’un certain Jean-Michel Trogneux !

Mais revenons sur le cas du policier Florian M.

Cette affaire enchaine scandale sur scandale !

L’incarcération en détention provisoire du policier après le décès de Nahel n’avait aucune justification que celle de donner un gage à la rue arabe. Un gage qui n’a pas suffi puisque des émeutes ont fait pour un milliard d’euros de dégâts !

Son inculpation pour meurtre fut une autre provocation, cette fois-ci, de la justice. On ne peut qu’espérer que la Cour d’assise, composée de citoyens français, saura innocenter ce policier.

Sur la toile, les soutiens au policier s’affichaient sans retenue :

Florian M. durant sa longue détention, s’est exprimé et c’est l’objet de cet article de The Epoch Times :

« Emmanuel Macron a choisi de me sacrifier » :
les écrits du policier mis en cause dans la mort de Nahel

Pendant sa détention provisoire, Florian M. a exprimé, dans des écrits, son profond sentiment d’injustice face au traitement de l’affaire Nahel Merzouk, le jeune homme qu’il a tué lors d’un refus d’obtempérer le 27 juin 2023 à Nanterre (Hauts-de-Seine).

Florian M. sera jugé pour meurtre aux assises, ont annoncé le 3 juin dernier le procureur et le président du tribunal de Nanterre. Dès le deuxième jour des émeutes, qui ont explosé dans cette ville après la mort de Nahel Merzouk, le policier mis en cause a consigné ses réflexions et sa version des faits dans un carnet d’une trentaine de pages que Libération a pu consulter. Il y explique notamment avoir été sacrifié par Emmanuel Macron, qui souhaitait alors apaiser les émeutiers.

« Trahi pour acheter la paix sociale »

Je me dis que je vais finir en détention provisoire pour calmer ces pauvres jeunes en colère,

a écrit le fonctionnaire juste après les faits, angoissé à cette idée. À l’issue de sa garde à vue, il a été incarcéré en détention provisoire au centre pénitentiaire de Paris-La Santé, situé dans le 14ᵉ arrondissement de Paris.

Le policier de 40 ans, qui a rédigé ce texte dans ce qu’il appelle sa « grotte » ou sa « chambre d’hôtel », révèle avoir reçu de nombreux soutiens parmi les agents des forces de l’ordre rencontrés avant d’être placé en détention.

Tous les fonctionnaires de police que je croise jusqu’au dépôt sont dépités, ils se sentent trahis, abandonnés, livrés en pâture aux émeutiers,

confie-t-il. Et d’ajouter :

La colère d’une minorité de la rue l’a emporté, et un message d’impunité est envoyé aux délinquants.

« Emmanuel Macron s’est positionné »

Le policier assure en outre n’avoir fait que son métier, ce 27 juin 2023.

Je suis en détention pour avoir voulu faire mon travail,

affirme-t-il, précisant n’avoir pas eu d’autre choix que de tirer face à la dangerosité du comportement de Nahel Merzouk, qui refusait alors d’obtempérer. Au volant d’une Mercedes, le jeune conducteur de 17 ans – connu par la justice pour quinze faits différents – avait en effet failli renverser un cycliste et un piéton, comme l’ont confirmé les images de vidéosurveillance.

Florian M., qui accuse l’État d’avoir choisi de soutenir « un jeune délinquant multirécidiviste », a encore indiqué :

Le président de la République Emmanuel Macron s’est positionné, il a choisi de me sacrifier et donner raison aux émeutiers, en qualifiant mon geste d’inexcusable. J’ai pourtant sacrifié une partie de ces dernières années à protéger ses institutions, lors des mouvements sociaux,

assure-t-il par ailleurs.

Ma tête sera servie sur un plateau aux médias pour calmer les esprits,

pointe encore le policier dans son texte, transmis par l’administration pénitentiaire aux magistrats en charge de l’instruction, constituant ainsi l’un des éléments du dossier d’enquête.

« Panne de stylo »

Florian M. admet néanmoins avoir été soutenu par Gérald Darmanin, alors ministre de l’Intérieur. En décidant de sa suspension, il lui a permis de conserver sa rémunération durant sa détention provisoire.

Mais « cette suspension avec maintien de traitement » suscite l’interrogation de Florian M., qui se demande :

si même à la tête de la préfecture de police, on ne partagerait pas l’idée que [son] tir pourrait être considéré comme légitime. Sinon, pourquoi continuer à me verser mon salaire ?

Ces écrits, qui révèlent en outre la personnalité de Florian M., ont subitement pris fin au bout de quatre jours – bien que le policier soit resté en détention provisoire cinq mois – en raison d’une « panne de stylo ».

Emmanuelle Bourdy pour The Epoch Times.

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