Emmanuel Macron nous aura donc tout fait !

Publié par le 22 Juil, 2021 dans Blog | 4 commentaires

Emmanuel Macron nous aura donc tout fait !

Au fur et à mesure où l’on avance dans le mandat d’Emmanuel Macron, on assiste, en creux, à la réhabilitation de tous ses prédécesseurs à l’Elysée.

On se dit que les prédécesseurs de Macron, pour la plupart, avaient résisté à cette « mode » de la repentance, mais que lui n’a pas hésité à parler de la colonisation comme d’un crime contre l’humanité.

On est certain, même, que jamais François Mitterrand ne serait passé en force sur une loi aussi controversée que la loi de bioéthique.

Quant à l’invitation de rappeurs interlopes sur le perron de l’Elysée, on voit que l’on a touché là le fond de l’abaissement de la fonction présidentielle.

Aucun autre président n’aurait osé, même le scootériste Normal 1 er !

Et voilà qu’Emmanuel Macron vient de nommer Jesse Jackson, antisémite notoire, Commandeur de l’ordre national de la Légion d’honneur !

C’est à des actes comme celui-ci qu’on reconnait
qu’Emmanuel Macron est un homme de gauche.

Seuls, Marie d’Armagnac, dans Boulevard Voltaire, et Amaury Brelet, dans Valeurs actuelles se sont élevés contre cet honneur fait à un homme  connu pour son militantisme d’extrême gauche et son antisémitisme.

Florilège de leurs deux articles :

Voilà comment l’Elysée a justifié cette nomination :

Proche compagnon de Martin Luther King, dirigeant d’un important mouvement pour les droits civiques, ancien candidat à l’investiture présidentielle du Parti démocrate, le révérend Jesse Jackson n’a cessé de militer pour la paix, la justice et la fraternité. […] Son action reposant sur la force de l’argument, sur le rejet de toute forme de racisme et d’exclusion, plaçant toujours au centre la citoyenneté et l’aspiration au progrès, a inspiré plusieurs générations d’activistes comme de responsables publics sur tous les continents.

Car derrière son image consensuelle entretenue par les médias, Jesse Jackson est un prêcheur haineux et radical qui tient des propos incendiaires contre son pays, les blancs et les juifs, un menteur pathologique qui pratique le chantage économique au racisme en rackettant des entreprises sous couvert de lutte antiraciste, un militant d’extrême gauche allié au camp démocrate qui soutient des autocrates. Dès ses premières années au sein du mouvement pour les droits civiques et alors qu’il est serveur à l’hôtel Jack Tar dans sa ville natale de Greenville, en Caroline du Sud, Jackson a l’habitude de cracher dans la nourriture de ses clients blancs qui lui refusent un pourboire avant d’apporter leur soupe ou leur salade, « parce que cela m’apportait une satisfaction psychologique », a-t-il expliqué. Il « regardait avec plaisir les blancs manger ses mollards comme si c’était, disons, de l’huile et du vinaigre », décrit le New York Times, en 1972.

Un antisémitisme constant

Jesse Jackson véhicule les pires stéréotypes antisémites :

Je suis malade et fatigué d’entendre parler de l’Holocauste. Concernant la division du pouvoir, nous n’avons pas obtenu des juifs notre part de gâteau méritée, ils ne partagent pas avec nous le contrôle des richesses, des médias et des autres centres de pouvoir.

Et en 1982, il regrette que les démocrates soient :

Pervertis par une réaction […] envers l’élément juif à l’intérieur du parti », représenté par « une forme glorifiée de corruption, de soutien financier et de faillite morale.

Il insiste encore :

La vraie résistance au progrès noir ne vient pas du Ku Klux Klan mais de nos anciens alliés de la communauté juive américaine. L’industrie contrôlée par les juifs a tenu les noirs à l’écart des postes d’autorité.

Il n’a jamais de mots assez durs contre Israël :

Le sionisme est une sorte de mauvaise herbe toxique qui étouffe le judaïsme.Quant au soutien des Afro-américains à l’OLP, il a marqué l’heure de gloire de l’Amérique noire.

Proche du parti démocrate, voici comment il traite le parti républicain :

En Afrique du Sud, on appelle ça l’apartheid. Dans l’Allemagne nazie, on appellerait ça du fascisme. Ici aux États-Unis, on appelle ça le conservatisme.

Voici la conclusion de Marie d’Armagnac dans Boulevard Voltaire :

Quelle est la signification de ce geste, éminemment symbolique, d’Emmanuel Macron ?

Allégeance à la présidence démocrate américaine, volonté d’entériner, comme un fait accompli, la dérive racialiste et indigéniste du camp médiatique et intellectuel français ? Donner des gages à l’extrême gauche mais aussi à tout ce que nos banlieues comptent de militants séparatistes islamistes ? Insigne aveu de faiblesse.

Mais volonté affichée de précipiter la société française dans une « guerre civile des esprits ».

Fracturer pour régner : la responsabilité d’Emmanuel Macron devant l’Histoire est immense.

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4 Réponses à “Emmanuel Macron nous aura donc tout fait !”

  1. Bof, parmi les récipiendaires de la Légion d’Honneur, nous avons Mussolini, Franco, Ceausescu, Noriega (commandeur quand même), Ben Ali, Bachar el-Assad, Poutine, Weinstein et il doit y en avoir d’autres.

    • La legion d’horreur pour des personnalités qui se foutent bien de l’avenir de la France.

      La Légion d’honneur devrait être réservée aux français qui défendent la nation et seulement à ça.

  2. Il y a longtemps que la légion d’honneur ne représente plus rien. Alors la donner un un abruti de plus ça ne change pas grand chose

  3. derrière son image consensuelle entretenue par les médias, Jesse Jackson est un prêcheur haineux et radical qui tient des propos incendiaires contre son pays, les blancs et les juifs, un menteur pathologique qui pratique le chantage économique au racisme en rackettant des entreprises sous couvert de lutte antiraciste, un militant d’extrême gauche allié au camp démocrate qui soutient des autocrates. Dès ses premières années au sein du mouvement pour les droits civiques et alors qu’il est serveur à l’hôtel Jack Tar dans sa ville natale de Greenville, en Caroline du Sud,
    Jackson a l’habitude de cracher dans la nourriture de ses clients blancs
    qui lui refusent un pourboire avant d’apporter leur soupe ou leur salade, « parce que cela m’apportait une satisfaction psychologique », a-t-il expliqué.

    Il « regardait avec plaisir les blancs manger ses mollards comme si c’était, disons, de l’huile et du vinaigre », décrit le New York Times, en 1972.

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