Il n’est de bons milliardaires …
que ceux qui financent la gauche !

Publié par le 28 Juin, 2025 dans Blog | 0 commentaire

Il n’est de bons milliardaires …que ceux qui financent la gauche !

Que George Soros finance une multitude d’associations et d’ONG qui promeuvent l’invasion migratoire de l’Europe ne gêne personne, et surtout pas la gauche !

Qu’un grand nombre de médias de gauche soient financés par des milliardaires tels que Xavier Niel, Rodolphe Saadé ou Daniel Kretinsky, est considéré comm normal.

Mais qu’un milliardaire comme Pierre-Edouard Stérin finance la droite et fasse la promotion de l’union des droites met en émoi la gauche et le service public de l’audiovisuel !

A les en croire, seul le Camp du Bien est habilité à recevoir des subsides des milliardaires !

En outre, comme Vincent Bolloré, Pierre-Edouard Stérin présente aux yeux de la gauche une tare impardonnable … Il est catholique !

Voici un article de l’Observatoire du journalisme qui décrit cette cabale de gauche contre Pierre-Edouard Stérin :

Les médias publics lancent une offensive
contre Pierre-Édouard Stérin

Pierre-Édouard Stérin, homme d’affaire et mécène, est dans le viseur des médias publics.

De l’AFP à France 2, en passant par Public Sénat, une série de reportages questionne son projet Périclès et son influence supposée sur la droite. Une couverture médiatique partiale au frais du contribuable.

Pericles au microscope

Depuis plusieurs mois, Pierre-Édouard Stérin, homme d’affaire ayant bâti sa fortune avec Smartbox, fait l’objet d’une attention particulière de la part des médias publics français. L’AFP a consacré une vidéo de 13 minutes dans son podcast Sur le Fil, analysant le projet Périclès, un plan visant à fédérer les droites conservatrices, libérales et populaires. Ce programme, révélé par L’Humanité en 2024, prévoirait un investissement de 150 millions d’euros pour soutenir des initiatives médiatiques, éducatives et politiques.

Superstar du 20h de France 2

Public Sénat, de son côté, a diffusé un reportage de 40 minutes, explorant les ramifications de ce projet et les ambitions de Stérin, présenté comme un acteur clé dans la recomposition de la droite française. Le reportage a été intitulé sans autre forme de nuance :

Pierre-Édouard Stérin : un milliardaire au service de l’extrême-droite.

France 2, dans son émission Cash Investigation du 24 juin 2025, s’est penchée sur les liens supposés entre Stérin et Éric Ciotti, président des Républicains, lors des législatives de 2024. Selon une source, anonyme, Pierre-Édouard Stérin aurait joué un rôle de « facilitateur », conseillant des entreprises de communication et d’analyse de données, comme Data Realis Conseil, financée par Périclès.

Le journal de 20 heures de France 2 du 23 juin et France Info ont également abordé l’influence de Stérin sur les réseaux sociaux, notamment via le rachat du compte X Cerfia et son soutien à des influenceurs valorisant le terroir français, comme Le Canon français. Ces reportages mettent en lumière une stratégie métapolitique visant à diffuser des idées considérées comme conservatrices (le vin, la charcuterie …), tout en questionnant la transparence de ces démarches.

Une vague médiatique dans la presse écrite

Au-delà des médias publics, d’autres titres de presse se sont emparés du sujet. L’Humanité a été le premier à révéler les contours du projet Périclès, qualifié de tentative de « hold-up » idéologique par certains commentateurs. Le quotidien qui est parti en croisade contre l’homme d’affaire, a également couvert le « Sommet des libertés » du 24 juin 2025, coorganisé avec Vincent Bolloré, où des figures de droite se sont réunies. Sud Ouest s’est intéressé au rachat de Cerfia, un compte d’information présent sur X, soulignant son potentiel comme « cheval de Troie » pour diffuser des idées conservatrices auprès d’un public jeune. En Bourgogne, c’est le journal Le Bien public qui s’est ému de l’organisation de La Nuit du bien commun, une soirée caritative qui est à l’origine de cet événement faisant la promotion de projets sociaux et culturels dans diverses villes de France.

RTL de son a côté retracé le parcours de Stérin, de sa fortune à ses ambitions politiques, tout en mentionnant les menaces dont il fait l’objet, dénoncées par son avocat.

Un traitement médiatique sous tension

Si ces enquêtes soulignent l’influence potentielle de la démarche de Stérin, elles posent aussi la question de la neutralité des médias publics, financés par le contribuable, face à un homme d’affaires qui agit avec ses fonds propres. Stérin, exilé fiscal en Belgique, ne coûte rien à l’État français, contrairement aux rédactions publiques. Ses détracteurs dénoncent un agenda idéologique quand ses soutiens y voient une démarche philanthropique pour revitaliser des valeurs conservatrices.

Déjà bien agacés par l’implication médiatique de Vincent Bolloré, les médias publics et la presse écrite entendent mener la vie dure à celui qui met sa fortune au service de son idéal plutôt que de se perdre dans une course à l’enrichissement personnel ou dans l’achat de yachts de 100 mètres.

On a connu la presse de gauche moins gênée contre les riches financiers pourvu que ceux-ci tirent dans son sens à l’image de feu Pierre Bergé, auprès notamment du journal Le Monde. Ou encore Xavier Niel, Matthieu Pigasse ou Olivier Legrain.

L’Observatoire du journalisme.

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