Immigration : Giorgia Meloni à l’opposé de Macron !

Publié par le 2 Sep, 2025 dans Blog | 0 commentaire

Immigration : Giorgia Meloni à l’opposé de Macron !

Ces deux-là ne partiront pas en vacances ensemble !

J’ai nommé Giorgia Meloni et Emmanuel Macron.

Quand l’un se réclame d’un « En même temps » sclérosant, l’autre pratique un activisme efficace !

Quand l’un pense que l’immigration est une chance, l’autre comprend qu’aujourd’hui, elle est un danger mortel !

Macron choisit un premier ministre mou qui, pour redresser les finances de la France, ne croit qu’aux impôts, et refusent de toucher aux dépenses pharaoniques liées à l’immigration. Meloni, elle, prend à bras le corps le problème de l’immigration et agit en conséquence !

Voici un article de la Lettre patriote qui rapporte l’exemple de volonté politique que représente Giorgia Meloni.

Au préalable, je rappelle un événement qui a eu lieu au large des côtes libyennes et auquel fait allusion la Lettre patriote :

L’Ocean Viking, navire ambulance affrété par SOS Méditerranée, a été la cible dimanche 24 août d’une « attaque sans précédent » menée par des garde-côtes libyens alors que le bateau réalisait une opération de sauvetage en eaux internationales,

a dénoncé l’ONG basée à Marseille alors que personne n’a été blessé durant cet incident !

Meloni face aux ONG : la Méditerranée n’est pas un supermarché humanitaire

En lisant Le Monde, on croirait que les navires des ONG sont des saints bateaux surgis des Évangiles, apportant secours et compassion à une mer cruelle. La réalité est tout autre. L’Ocean-Viking, tiré comme une passoire par les gardes-côtes libyens puis confiné plusieurs jours en Italie, n’est pas victime d’un caprice : il incarne un système parallèle, qui se substitue aux États dans la gestion de l’immigration.

Rome, sous l’impulsion de Giorgia Meloni, a décidé de mettre le holà. Les ONG s’autoproclament maîtres du sauvetage maritime, mais ce sont bel et bien les États qui en portent la responsabilité. Le ministre de l’Intérieur italien l’a rappelé sans détour : ce n’est pas à SOS Méditerranée, ni à Sea-Watch, de dicter leur loi, mais à l’État italien, soutenu par Frontex et mandaté par ses citoyens.

On comprend l’émotion que suscitent les tirs libyens. Mais à force de fermer les yeux sur la véritable nature de ces milices — trafiquants, tortionnaires et passeurs —, l’Union européenne en est arrivée à un paradoxe : financer des structures ambiguës tout en laissant prospérer un business de l’humanitaire qui attire toujours plus de départs clandestins. Le cercle vicieux est bien connu : plus les ONG patrouillent, plus les passeurs envoient leurs cargaisons humaines sur des rafiots, sachant qu’un « sauvetage » les attend à quelques milles.

Meloni, elle, refuse d’être complice. D’où le choix d’imposer des débarquements dans des ports éloignés, d’où la fermeté face aux navires qui prétendent décider eux-mêmes de leur destination. La gauche crie au scandale, les ONG se posent en martyrs, mais l’opinion italienne sait une chose : sans une politique ferme, Lampedusa, la Sicile et demain toute l’Europe seront englouties sous des flux incontrôlés.

Le Monde préfère s’émouvoir d’une quarantaine imposée à un équipage militant. Mais les véritables quarantaines sont ailleurs : dans les banlieues saturées, les centres d’accueil débordés, les quartiers où se concentrent des populations déracinées sans intégration possible. Là est la bombe à retardement.

Giorgia Meloni a compris que la Méditerranée n’est pas un champ de foire pour associations subventionnées, mais une frontière stratégique. Et elle agit comme un chef d’État. Au grand désarroi de ceux qui rêvent encore d’une Europe ouverte à tous les vents, quitte à la précipiter dans le chaos.

Didier Dewitte pour la Lettre patriote.

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