La gauche et les médias, idiots utiles de l’islamisme

Publié par le 21 Mai, 2025 dans Blog | 0 commentaire

La gauche et les médias, idiots utiles de l’islamisme

Quelle hypocrisie médiatique !

Les médias font semblant de découvrir le contenu dramatique du rapport sur l’entrisme des Frères musulmans et sur l’islamisation avancée de la France.

De la pure hypocrisie de la part de médias qui se sont faits les complices de la gauche pour interdire depuis des décennies tout débat sur l’immigration, sur l’insécurité qu’elle entraine et sur l’islamisation de la France.

Les médias, l’extrême gauche mais aussi la gauche de gouvernement portent une lourde responsabilité dans le danger existentiel lié à la progression de l’islam dans notre pays.

Mais on n’exonèrera pas la droite de tout reproche tant elle a manqué de courage et s’est le plus souvent pliée aux diktats de la gauche.

Le rapport qui occupe la presse ces jours-ci n’apporte rien de vraiment nouveau mais a le mérite de documenter et de chiffrer l’avancée de l’islamisation de notre pays, de lui donner un côté officiel et de permettre sa diffusion pour le public.

Mais sur le fond, le rapport n’apporte rien qui n’ait déjà été dénoncé par de nombreux lanceurs d’alerte qui furent stigmatisés, diabolisés par la gauche et les médias.

Je veux ici rendre hommage à quatre lanceurs d’alerte qui ont payé cher leur courage :

  • L’historien Georges Bensoussan,
  • L’homme politique Jean-Marie Le Pen,
  • L’essayiste et journaliste Éric Zemmour,
  • La chercheuse Florence Bergeaud-Blackler.

Georges Bensoussan, Jean-Marie Le Pen, Éric Zemmour et Florence Bergeaud-Blackler

1 – Georges Bensoussan trainé en justice pour un livre

Les travaux de l’historien, né au Maroc,  ont porté sur l’antisémitisme. Il fut l’un des premiers lanceurs d’alerte sur les dangers de l’islamisation.

En 2002, il dirige, sous le pseudonyme d’Emmanuel Brenner, la rédaction d’un ouvrage rassemblant les témoignages de plusieurs enseignants et chefs d’établissements scolaires français, Les Territoires perdus de la République : antisémitisme, racisme et sexisme en milieu scolaire. Il y dépeint principalement une jeunesse issue de l’immigration maghrébine traversée partiellement par l’antisémitisme.

À la suite de ses propos sur France Culture considérés par plusieurs associations comme polémiques, l’historien est poursuivi par ces associations pour incitation à la haine raciale ; il est relaxé en en première instance et en en appel.

2 – Jean-Marie Le Pen diabolisé pour ses déclarations

Le président du Front National a également été un des premiers à s’opposer à l’immigration et à l’islamisation de la France. Son message a été néanmoins brouillé par ses dérapages verbaux qui ont permis à la gauche et aux médias de le diaboliser et d’occulter ses messages d’alerte.

Au micro de Pierre-Luc Séguillon, Jean-Marie Le Pen délivrait un diagnostic visionnaire :

@mattcastyt DERNIÈRES MINUTES LE 21/05/2025 #jmlp #marinelepen #pourtoi #droite #rn #gauche #droite #info #information #media #macron #audition #denoncer #pourtoii #jordanbardella #jordan #musulman #islamic_video #mosque ♬ son original – MattCastYT

Voici aussi une vidéo d’un meeting lors d’une élection européenne où il intervient en compagnie de sa fille Marine :

3 – Éric Zemmour harcelé par la Justice

Le parcours d’Eric Zemmour est bien connu et je pense inutile de le rappeler ici.

Juste pour illustrer son discours, voici, à mon sens, une de ses plus fameuses interventions à la télévision, face à Jacques Attali :

4 – Florence Bergeaud-Blackler mis au ban de la recherche

Florence Bergeaud-Blackler est une anthropologue française, chargée de recherche au CNRS. Ses travaux ont porté sur les questions de la normativité islamique dans les sociétés sécularisées, le marché halal et l’influence qu’elle juge croissante des Frères musulmans en Europe. Son ouvrage Le Frérisme et ses réseaux a suscité des controverses, y compris dans le monde académique, et lui a valu des menaces de mort sur les réseaux sociaux.

La presse s’est déchainée contre la chercheuse, notamment le journal Le Monde qui a commis plusieurs articles tentant de la disqualifier en utilisant des sous-entendus qui transpirent dès leur titre :

Florence Bergeaud-Blackler, la notoriété sur le tard d’une chercheuse au parcours atypique

Les termes de « notoriété sur le tard » et de « parcours atypique » appellent à un suspicion sur la qualité de la chercheuse.

On ne s’étonnera pas que l’article que lui a consacré Mediapart ait été intitulé :

Les fantasmes de l’islamologie sécuritaire

On y lit que :

l’essayiste Rafik Chekkat voit tout simplement dans cet ouvrage l’expression d’un complotisme islamophobe véhément, parallèle à celui qu’Édouard Drumont manifestait à la fin du XIXesiècle dans ses brûlots antijuifs.

Une présentation plus honnête de Florence Bergeaud-Blackler est à lire dans cet article de la Revue des deux mondes.

Pire, la chercheuse n’a pas été soutenue par le CNRS qui a refusé de la soutenir publiquement après qu’elle ait reçue des menaces de mort !

La chercheuse s’était plainte de certaines orientations politiques du CNRS :

Le champ de la recherche dans ce domaine est dominé par le courant décolonialiste. Quand on ne s’en réclame pas, on n’avance pas en matière de carrière, et trouver des financements est très difficile.

En conclusion

Il est malheureusement à craindre que dans la situation politique bloquée d’aujourd’hui – merci à la folle dissolution de l’Assemblée nationale par Macron – ce rapport aille rejoindre tous les autres, dans les armoires poussiéreuses de Matignon !

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