Lâchez-nous avec la deuxième vague !

Publié par le 9 Août, 2020 dans Blog | 0 commentaire

Lâchez-nous avec la deuxième vague !

La machine à terroriser est en marche !

Sur les chaines d’infos, ça tourne en boucle !

– La deuxième vague risque d’arriver …
– Elle va arriver vous dit-on !
– On vous aura prévenu !
– Elle est là !

On a l’impression de revivre le scénario catastrophe d’avril dernier ! Sauf qu’alors les chiffres étaient réellement catastrophiques. Sans commune mesure avec la situation sanitaire actuelle !

Aujourd’hui, on peut se poser bien des questions :

  • La psychose ne s’est-elle pas emparée du gouvernement et des médias ?
  • L’augmentation du nombre des positifs au COVID-19 n’est-il pas dû en grande partie à l’augmentation du nombre des tests ?
  • Vue la très faible mortalité de la maladie, ne vaut-il pas mieux laisser la population la contracter et ainsi s’auto-immuniser contre les futures répliques de la maladie ?
  • La priorité ne devrait-elle pas se porter sur le protection des personnes les plus vulnérables et non pas sur l’ensemble de la population ?
  • Avec le préconfinement qui se met en place, ne risque t-on pas d’entrer, pour plusieurs années, dans une vie au ralenti avec un virus qui perdure, faute d’immunisation de la population ?

Il y a aussi le problème de la crédibilité du gouvernement et de ses « experts » en qui les Français n’ont plus du tout confiance !

Quand on se remémore les anciennes affirmations péremptoires du gouvernement et le discours exactement inverse qu’il tient aujourd’hui, on peut nourrir un « certain » doute :

Voici un extrait d’un article paru sur Boulevard Voltaire qui voit les choses un peu comme moi :

À défaut de « deuxième vague »,
la France est au bord du précipice

Chaque jour, il se trouve un média, un préfet, un maire, un épidémiologiste, un médecin pour relancer le spectre sombre de l’arrivée d’une deuxième vague …

Depuis sa nomination, le 3 juillet dernier, le Premier ministre s’agite aux quatre coins de l’Hexagone. Son boniment quotidien, tel un VRP qui nous réciterait ses mantras commerciaux, tient lieu de politique générale pour des Français qui ne l’écoutent ni ne l’entendent pas, tant ils sont épuisés par cinq mois de crise sanitaire.

Autrement dit, aujourd’hui, il nous menace d’être à nouveau séquestrés à nos domiciles et de ne plus pouvoir aller et venir librement. Le reconfinement généralisé comme si les vies économique, sociale et culturelle du pays ne s’étaient pas déjà effondrées. M. Castex, les Français sont adultes et intelligents. Respectez-les. Ils ne vous ont pas attendus pour s’équiper de masques et les porter alors que les services de l’État, que vous dirigez aujourd’hui, nous martelaient de façon tonitruante, en mars, que les masques étaient inutiles.

Chaque jour, il se trouve un média, un préfet, un maire, un épidémiologiste, un médecin pour relancer le spectre sombre de l’arrivée d’une deuxième vague mortelle du Covid-19. Prenons l’exemple des foyers d’infection, les fameux « clusters ». Leur nombre ne cesse d’augmenter, principalement parce que le nombre de personnes testées s’accroît. Entre le 25 et le 31 juillet, 565.000 tests ont été effectués, en France, alors qu’au mois de juin, l’on peinait à en réaliser 200.000 par semaine. Au mois de juillet, les hôpitaux n’ont eu à enregistrer que 10 à 20 décès quotidiens en raison du virus, contre plus de 500, au mois d’avril. Moins de 400 malades étaient en réanimation intensive, le 3 août, soit 13 (!) de plus que depuis vendredi dernier, 31 juillet.

Où est la deuxième vague annoncée depuis deux mois ? On pourrait croire qu’elle est vivement espérée par tous les médias en mal de sensationnel et d’audience. Le 4 août, le président du Conseil scientifique, Jean-François Delfraissy, auréolé manifestement d’un don de voyance et aussi de sa blouse blanche de scientifique, nous l’annonce avec aplomb pour cet automne. Nos gouvernants foutent la trouille aux Français et beaucoup d’entre eux, sans doute, connaissent malheureusement des troubles psychologiques en raison de cette crise qui n’en finit pas de durer.

Lire la suite sur Boulevard Voltaire.

Bertrand Renault pour Boulevard Voltaire.

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