Le progressisme, forme douce du fascisme !

Publié par le 2 Août, 2025 dans Blog | 0 commentaire

Le progressisme, forme douce du fascisme !

Ce qui est insupportable avec les progressistes, c’est qu’ils ne se contentent pas de vivre conformément à leur idéologie, mais qu’ils entendent l’imposer à tout le monde.

Convaincus d’être le Camp du Bien, ils s’estiment légitimes à imposer leur conception du Bien à tous les autres, puisqu’ils représentent le « Camp du Mal » !

Quand leurs avancées « sociétales » heurtent trop de front la société française, ils avancent hypocritement masqués.

Rappelons de nous de la stratégie qu’ils ont développée depuis des décennies pour aboutir un jour à la légalisation de la gestation pour autrui (GPA) et demain peut-être à l’eugénisme :

Au moment du vote pour le PACS, Elisabeth Guiguou, garde des sceaux, avait promis qu’il n’y aurait jamais de mariage pour les homosexuels. Quand ils ont commencé à parler du mariage pour tous, ils ont juré qu’il n’y aurait jamais d’adoption pour les couple gay !

Et puis il y a eu le droit à priver les enfants d’un père ou d’une mère avec l’adoption pour tous, la Procréation médicalement assistée (PMA) pour les lesbiennes en attendant la GPA.

Il y a encore plus grave !

Ce qui se prépare actuellement pour l’avortement est encore plus scandaleux avec une attaque frontale contre la clause de conscience qui permet aux soignants et aux médecins de refuser de pratiquer l’avortement.

L’autorisation de l’avortement n’a été possible « moralement » qu’en posant comme principe que le foetus n’était pas un être vivant. Ce principe est-il encore soutenable quand on recule sans arrêt le délai maximum d’avancée de la grossesse ?

Même si je suis favorable au droit à l’avortement, je conteste formellement ce dernier principe qui permet, à bon compte, d’éviter tout débat philosophique sur le respect de la vie.

On a même autorisé l’avortement à la veille de l’accouchement après un diagnostic médical. Pour éviter les amalgames, on a créé un nouveau terme l’Interruption Médicale de Grossesse (IMG) que vous êtes priés de ne pas confondre avec l’IVG !

C’est là où j’avance le qualificatif de fasciste pour le progressisme quand je vois que les progressistes veulent interdire de penser autrement qu’eux ! C’est du pur totalitarisme !

Selon moi, l’homme politique qui incarne le mieux le côté fasciste du progressisme, c’est Jean-Louis Touraine qui fut de tous les combats sociétaux de la gauche :

Supprimer la clause de conscience sur l’avortement est une atteinte à la liberté de pensée.

Voici un article de Boulevard Voltaire qui dénonce ce futur viol des consciences :

Clause de conscience relative à l’IVG : ce droit bientôt sacrifié ?

L’IVG étant inscrite dans la Constitution, la clause de conscience pourrait être considérée comme « stigmatisante ».

Crédit image © Pexels

Lorsqu’il fut question d’inscrire dans la Constitution la liberté d’avoir recours à l’IVG, on jura que cela ne remettrait nullement en cause la clause de conscience des professionnels de santé. Droit fondamental pour certains, ultime barrière éthique pour d’autres, ce dispositif permet encore aujourd’hui à un médecin, une sage-femme ou un soignant de refuser de pratiquer un avortement. Mais à peine plus d’un an après la réforme constitutionnelle, l’avis rendu par le Collège national des gynécologues et obstétriciens français (CNGOF), favorable à la suppression de cette clause, sonne les prémices d’une bataille qui s’annonçait évidente.

Un droit redondant … ou dérangeant ?

Le 20 juin dernier, le CNGOF prenait position « à l’unanimité » pour la suppression de cette clause de conscience spécifique. En invoquant les « évolutions sociétales », dans un communiqué rendu public le 18 juillet dernier, le Collège amorce une offensive que certains redoutaient.

C’est en invoquant la « stigmatisation » que serait cette clause pour les femmes qui souhaitent avorter que le CNGOF exige sa suppression. Elle n’aurait pour effet que de « rappeler à la société que recourir à cet acte n’est pas anodin, qu’il s’agit d’une décision grave ». Un rappel de trop, selon ses auteurs, dans un contexte où l’avortement est censé devenir un soin comme un autre.

Derrière l’argumentaire juridique, le glissement s’opère insidieusement. Le Collège affirme que cette clause est « redondante », puisque le Code de déontologie médicale autorise déjà tout médecin à refuser un acte, sauf en cas d’urgence ou de manquement à ses devoirs d’humanité. Pourquoi donc maintenir une clause spécifique à l’IVG, si le droit commun suffit ? Justement parce que ce droit, s’il est théoriquement garanti, reste en pratique fragile. Supprimer la clause spécifique, c’est effacer l’expression explicite d’un refus moral, et politiquement incorrect.

Vers un droit à soigner sans conscience ?

« Cela soulagera sûrement de la culpabilité que l’on observe beaucoup chez les femmes qui sont en demande d’avortement », déclarait Sarah Durocher, présidente du Planning familial, sur France Info. Et d’ajouter : « L’avortement devient un acte comme les autres. » Mais si l’IVG devient un acte banal (ce qu’il est déjà largement), que restera-t-il de la liberté pour ceux qui, précisément, le jugent grave ?

Car c’est bien là tout l’enjeu : pourra-t-on encore affirmer librement son refus de pratiquer une IVG sans devoir s’en excuser, sans être sommé de le taire ou de le camoufler derrière des contorsions juridiques ? Pourra-t-on encore dire non sans être accusé d’hostilité envers la loi ou accusé de réaction religieuse ?

Du droit à l’IVG à l’obligation de le pratiquer

Certes, le droit commun permet encore à un praticien de décliner un acte médical. Mais demain ? Dans une France où les déserts médicaux s’étendent, que pèsera ce droit face aux exigences de l’administration ou des associations militantes ? Et si une patiente se trouve proche de la limite légale, la simple évocation d’un transfert vers un confrère sera-t-elle seulement possible, ou interprétée comme un refus illégitime ?

Inscrire l’IVG dans la Constitution ne suffisait donc pas. Il faut désormais taire tout ce qui pourrait troubler sa célébration. Interdire, à terme, qu’un professionnel puisse simplement dire : « Je ne veux pas. » Et substituer à la conscience un devoir d’exécution. Et alors que l’inscription de l’IVG dans la Constitution n’a suscité que 72 oppositions sur 780 votants, faut-il vraiment s’attendre à un sursaut pour défendre le droit d’y être réticent ?

Alienor de Pompignan pour Boulevard Voltaire.

Qu’il me soit permis de me scandaliser du fait que la proposition de suppression de la clause de conscience vienne d’une association de médecins, le Collège national des gynécologues et obstétriciens français (CNGOF).

Comment les représentants des médecins peuvent-ils proposer de supprimer un droit fondamental de leurs mandants ?

Cela me rappelle furieusement l’attitude du Conseil de l’ordre des médecins qui, durant la crise du covid, s’était scandaleusement rendu complice de la politique liberticide du pouvoir macronien.

En totale violation du Serment d’Hippocrate, le Conseil de l’ordre des médecins ne s’était pas opposé à l’interdiction faite aux médecins … de soigner leurs patients avec des médicaments qui, prescrits au début de la maladie, étaient efficaces comme l’hydroxychloroquine et l’ivermectine.

Tout cela est à vomir !

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