Le refus du pouvoir de dénoncer l’islam

Publié par le 26 Fév, 2019 dans Blog | 0 commentaire

Le refus du pouvoir de dénoncer l’islam

A gauche, l’islam est intouchable !

Et même l’islamisme radical porté par le salafisme !

On en a eu encore la preuve avec la violente agression verbale dont a été victime Alain Finkielkraut en marge du dernier « acte » des Gilets jaunes.

Que ce soit le pouvoir ou les médias, on a préféré montrer du doigt l’extrême droite que de s’en prendre au salafisme auquel appartenait notoirement l’agresseur du philosophe.

Le pouvoir en a profité pour dissoudre deux groupuscules de l’ultra-droite alors que sur les 100 mosquées salafistes répertoriées, seules 7 ont été fermées !

Voici un article extrait du dernier Bulletin d’André Noël qui dénonce cette complaisance criminelle du pouvoir et des médias avec les débordements de l’islam.

C’est une regrettable agression verbale dont a été victime Alain Finkielkraut l’autre samedi, insulté par un « gilet jaune » un peu spécial comme nous allons le voir : « Barre-toi, sale sioniste de m… », « grosse m… sioniste », « nous sommes le peuple », « la France est à nous ». C’est ce qu’ont crié aussi d’autres individus en apercevant l’académicien. C’est évidemment scandaleux et condamnable mais la victime n’en a pas fait un drame, refusant de porter plainte. « Il ne faut pas trop en faire non plus, a-t-il déclaré, j’ai l’impression que beaucoup de gens ont été plus traumatisés que moi et que les images leur ont fait plus peur qu’à moi. »

Et pourtant, plus royalistes que le roi, le gouvernement, la classe politique, les media en ont fait trop. Procession de tous les leaders politiques – sauf Marine Le Pen interdite de manifester contre l’antisémitisme – avec le premier ministre en tête, alors qu’il n’y a pas eu mort d’homme, comme récemment à Strasbourg. D’ailleurs, y aurait-il eu mort d’homme que l’on n’aurait pas fait mieux. Mais dès qu’il s’agit de montrer que l’on est résolument contre l’antisémitisme – comme s’il s’agissait d’un acte de résistance d’un héroïsme inouï dans notre société ! – on se bouscule pour être sur la photo. Il y avait tout le monde sauf Alain Finkielkraut lui-même sans lequel il n’y aurait rien eu. Serait-il donc un « mauvais » juif à l’instar d’Eric Zemmour ?

Et, comme à chaque fois, quel que soit le gouvernement, pour répondre à l’émotion artificiellement excitée, on propose dans la foulée une loi ou l’aggravation de celle existante. La France est l’un des pays où les lois contre le racisme et l’antisémitisme sont les plus sévères, mais on trouve toujours le moyen d’en rajouter une couche. Cette fois il s’agissait, à la demande d’un député LREM, d’inscrire dans le code pénal que l’antisionisme et l’antisémitisme sont une seule et même chose et qu’ils doivent être réprimés de la même manière.

Rappelons qu’il y a des juifs antisionistes, pour des raisons politiques ou religieuses, mais aussi des antisémites sionistes, ceux qui disent : « Puisqu’ils ont un Etat, qu’ils y aillent et nous débarrassent ! » Emmanuel Macron n’a pas voulu modifier la loi mais il a annoncé qu’il durcirait l’actuelle en demandant que la justice considère de façon extensive la notion d’antisémitisme en y intégrant l’antisionisme. Il est vrai que quelques jours plus tard il devait discourir devant le CRIF (Conseil représentatif des institutions juives), pure coïncidence …

Celui qui a insulté Finkielkraut a été interpellé, c’est un salafiste connu des services de police. C’est pourquoi il faut comprendre, « Nous sommes le peuple », « la France est à nous » comme la proclamation d’un homme qui considère que la France est terre d’islam, qu’elle sera bientôt totalement à eux, les salafistes ; après avoir conquis les quartiers de banlieue, ils entendent bien achever la conquête du reste du territoire.

C’est cela qui est le plus inquiétant et dont le pouvoir ne veut pas tenir compte, trop occupé à sa croisade contre « l’extrême droite. » Car, pour répliquer à l’agression verbale contre le philosophe, Macron a annoncé la dissolution de … trois mouvements « identitaires » « d’ultra-droite » qui ne sont évidemment pour rien dans l’affaire Finkielkraut !

Et contre les salafistes ? Rien !

Or les services de renseignements ont recensé par moins de cent mosquées ou lieux de prière salafistes et, à ce jour, sept seulement d’entre eux ont été dissous !

Mais s’en prendre ainsi à « l’extrême droite » permet à Macron de se présenter comme le champion de la lutte contre l’antisémitisme au moment des prochaines élections sans encourir l’accusation d’islamophobie, s’il dénonçait l’islam … qui est pourtant, à l’évidence, le principal propagateur de la haine antisémite il perdrait certainement beaucoup de voix dans les quartiers.

Le Bulletin hebdomadaire d’André Noël.

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