Le Système a confisqué la démocratie !

Publié par le 13 Mar, 2019 dans Blog | 0 commentaire

Le Système a confisqué la démocratie !

De plus en plus d’instances non élues viennent interférer dans le droit, voire l’imposer aux représentants du peuple, au mépris de sa volonté.

– C’est le Conseil d’Etat, répère de copains recasés ici par leurs amis politiques,
– C’est le Conseil constitutionnel qui a, de lui-même, considérablement augmenté son champ de compétence et qui se permet aujourd’hui d’interpréter abusivement les termes de la Constitution pour intervenir à un niveau de détail très loin de l’esprit de la V ème République.
– C’est le défenseur des droits, Jacques Toulon, qui se permet de nous faire la leçon sur l’immigration et qui veut désarmer les forces de l’ordre.
– Ce sont aussi les instances européennes (Cour Européenne des Droits de l’Homme) et internationales (ONU) qui se permettent de nous imposer des règles qui parfois bafouent nos valeurs (cf GPA).

Tous les membres de ces instances n’ont aucune légitimité démocratique. Ils n’ont pas été élus mais nommés, bien souvent par le pouvoir exécutif, ce qui viole directement la séparation des pouvoirs. En résumé, le pouvoir des juges remplace, dans de nombreux domaines, l’autorité des élus de la Nation.

Bien souvent, ce pouvoir des juges s’exerce au bénéfice des minorités et au détriment de l’intérêt général. C’est ce que dénonce le Think tank LIGNE ¦ DROITE dans un article titré :

Mettre un terme à la dictature des minorités

En se référant au concept d’état de droit, le Système a fait du principe de non-discrimination une pièce maîtresse de son action. C’est en effet en son nom qu’il s’attaque à toutes les différences au sein de la société, permettant aux groupes minoritaires prétendument victimes d’une discrimination de tenir le haut du pavé. Une situation qui transforme la nation en un conglomérat de minorités revendicatives, lesquelles imposent leurs prétendues valeurs à une majorité culpabilisée et muselée. Ligne droite considère en conséquence qu’il est urgent de mettre un terme à cette dictature des minorités.

L’état de droit contre la démocratie

La France est en effet censée vivre en démocratie et à ce titre elle a recours au vote, un mode d’élection qui donne à la majorité le droit de décider. Normalement, c’est donc la majorité du peuple qui devrait exercer le pouvoir et sa volonté qui devrait prévaloir. Mais les tenants de la pensée unique n’aiment pas le processus majoritaire qui confère la primauté au peuple et promeut des idées qui ne sont pas les leurs. Aussi ont-ils mis en place un dispositif qui permet de contourner la majorité. En faisant référence à l’état de droit et aux valeurs de la République, ils ont instauré le gouvernement des juges, lesquels l’emportent sur les députés et sénateurs pourtant élus. Mais surtout, ils peuvent s’appuyer sur des principes qui, supposés immuables, ne sont donc pas susceptibles d’être mis en débat et encore moins soumis aux suffrages des Français.

L’impératif de non-discrimination

Et parmi tous ceux qu’invoquent régulièrement les porte-parole de l’oligarchie, le principe le plus systématiquement repris est sans conteste l’impératif de non-discrimination. En son nom, les adeptes du politiquement correct font la chasse à toutes les différences qu’ils peuvent trouver entre deux catégories de personnes, pour ensuite les dénoncer et les corriger. Les couples homosexuels ne peuvent pas avoir d’enfants contrairement aux couples hétérosexuels, il faudrait donc selon eux corriger cette discrimination d’ordre pourtant naturel par le recours à la PMA et à la GPA. Les statistiques révéleraient des différences entre hommes et femmes s’agissant de leur place dans la société, il faudrait dès lors prendre des mesures autoritaires pour obtenir partout un ratio de 50 % – 50 %. Les immigrés seraient injustement marginalisés par rapport aux nationaux, il faudrait donc supprimer cette discrimination en leur accordant les mêmes droits qu’aux Français. Le principe de non-discrimination est ainsi le point central de l’idéologie du Système qui présente même comme des discriminations au principe de libre-circulation, les règlementations protectrices des État.

La communauté nationale réduite à des minorités

Cette obsession anti-discriminatoire crée une situation particulièrement malsaine. D’abord, elle conduit le Système à se préoccuper prioritairement des groupes prétendument victimes de discrimination. Autant de minorités qui bénéficient ainsi d’une valorisation médiatique aussi insistante qu’incessante. Et, à force de multiplier dans les médias des reportages ou des messages sur les migrants qui ne seraient pas accueillis correctement, sur les femmes qui ne seraient pas respectées par les hommes, sur les handicapés pour lesquels les équipements appropriés ne seraient toujours pas réalisés, on finit par donner le sentiment que la communauté nationale n’est que l’agrégat de ces différentes minorités revendicatives.

Des minorités victimes, une majorité coupable

Plus grave encore, celles-ci sont systématiquement présentées comme des victimes sans, il est vrai, qu’on désigne clairement leur oppresseur. Pourtant, chacun comprend bien que le coupable n’est autre que notre nation, à travers la majorité de son peuple. C’est elle qui, par égoïsme, par archaïsme, par un attachement suranné aux traditions, serait responsable de la situation des malheureuses minorités.

Aussi le Système considère-t-il comme légitime d’imposer à la majorité, telle une sanction, des mesures correctrices autoritaires en faveur des minorités. Des mesures auxquelles la majorité, sidérée par la propagande culpabilisante du Système, n’ose que très rarement s’opposer alors qu’elles sont presque toutes prises à ses dépens.

Des minorités dominantes

Ainsi en a-t-il été pour le mariage homosexuel. Traditionnellement, depuis plus de quatre mille ans, le mariage est défini comme l’union d’un homme et d’une femme pour procréer et fonder une famille. Avec le mariage pour tous exigé par une minorité, on a dénaturé cette institution immémoriale à laquelle la majorité des Français étaient attachés pour la transformer en un super Pacs. De même, afin de satisfaire la minorité immigrée, le Système a créé l’AME qui offre la gratuité intégrale des soins à tous les clandestins. Un dispositif qui coûte fort cher à la majorité des Français, lesquels doivent par ailleurs cotiser pour obtenir une protection sociale moins généreuse que l’AME.

Ainsi, sommes-nous aujourd’hui dans un pays où les minorités tiennent le haut du pavé. Non seulement elles font l’objet de toutes les sollicitudes du pouvoir et des médias, mais elles imposent leurs prétendues valeurs et obtiennent des avantages dérogatoires que la majorité se doit d’accepter et de financer.

Rendre le pouvoir au peuple et à sa majorité

Aussi Ligne droite considère-t-elle indispensable de mettre un terme à cette dictature des minorités. La France n’est pas constituée du rassemblement de ces groupes plus au moins légitimes, elle est la nation du peuple français et c’est ce peuple qu’il faut libérer et privilégier. Pour ce faire, il convient de rétablir le fonctionnement normal des institutions en remettant à leur place tous ceux qui s’en sont emparés indument. Les médias doivent retrouver une nécessaire pluralité des opinions, le gouvernement des juges doit être démantelé. De même, les lois coercitives doivent être abolies. Celles qui encadrent la liberté d’expression comme celles qui introduisent une discrimination positive. Plus globalement, c’est tout le projet de Ligne droite qui doit être mis en œuvre.

La France n’est pas un conglomérat de minorités, elle est un peuple qui s’exprime à travers sa majorité.

LIGNE ¦ DROITE

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