Macron signe le traité pandémie de l’OMS … pas Trump !

Publié par le 23 Mai, 2025 dans Blog | 0 commentaire

Macron signe le traité pandémie de l’OMS … pas Trump !

Le traité de l’OMS sur les pandémies a été adopté !

Ce traité donnera à l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) une autorité renforcée dans la gestion des prochaines pandémies.

Cette organisation corrompue car financée en grande partie par les laboratoires pharmaceutiques et par la fondation Bill Gates, le vaccinateur compulsif, va désormais décider s’il y a pandémie ou pas, s’il faut, masquer, confiner et évidemment vacciner.

La gestion de la pseudo-pandémie du covid-19 par l’OMS a été calamiteuse et à défaut de la réformer il fallait lui enlever des prérogatives plutôt que lui en donner d’autres !

Personne ne s’étonnera que Macron ait signé ce traité, lui qui, durant la crise covid, avait suivi à la lettre les mesures préconisées par cette organisation corrompue !

Voici un article de la Gazette du Tocsin qui a interviewé l’anthropologue et spécialiste de la Santé Jean-Dominique Michel qui dit tout le mal qu’il pense de la signature de ce traité :

L’OMS veut le retour de la dictature sanitaire

Ne croyez pas-là que l’anthropologue favori des Tocsinautes ne pèche par sous-estimation de l’adversaire. Il a parfaitement intégré le danger immédiat que représente ce traité pandémie de l’OMS, qui vise à instaurer une santé unitaire globale. Autrement dit, à asservir les Etats dès la prochaine vraie-fausse pandémie survenue.

Car oui, tout cela fait diantrement penser à l’épisode du Covid. D’ailleurs, les acteurs à l’initiative du projet sont quasiment les mêmes. Derrière l’OMS, Bill Gates et l’État chinois ne sont jamais loin. Mais là où la situation a radicalement changé depuis cinq ans, c’est au niveau de l’administration américaine. Robert Kennedy Jr., Jay Bhattacharya et consorts, ne semblent pas très décidés à laisser se remettre en place une pareille dictature sanitaire.

C’est ce qui rend Jean-Dominique Michel optimiste pour la suite des événements. Le réel a beau changer plus lentement que nous le voulons, il reste que le vent souffle désormais dans notre dos.

Voici la vidéo de son interview :

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