Mitterrand : la source de tous nos maux …

Publié par le 11 Mar, 2020 dans Blog | 0 commentaire

Mitterrand : la source de tous nos maux …

– Qui a institué la retraite à 60 ans, en contradiction totale avec l’augmentation de la durée de vie ?

– Qui a instrumentalisé le Front National pour tuer la droite républicaine ?

– Qui a créé toutes ces associations antiracistes qui victimisent les immigrés et encombrent nos tribunaux ?

– Qui a interdit tout débat sur l’immigration et a ainsi entrainé la montée de l’extrême droite ?

Oui, François Mitterrand est à l’origine du déclin de la France.

Les mesures qu’il prit durant ses deux quinquennats sont aujourd’hui des boulets qui handicapent lourdement la France. Pire, se référant aux congés payés du Front populaire, il instilla l’idée que la gauche au pouvoir devait, à chaque fois, planter un totem.

C’est ainsi qu’il inspira ses successeurs socialistes au pouvoir avec les 35 heures catastrophiques de Lionel Jospin et le choc fiscal sans précédent qu’imposa François Hollande aux classes moyennes et le mariage pour tous qui divisa la France.

Mais le pire est à venir avec les conséquences de l’immigration. Pendant quatre décennies, tout débat sur l’immigration a été interdit par la gauche, soutenue par des médias complaisants. L’assimilation des étrangers qui avait parfaitement fonctionné avec l’immigration européenne a été vilipendée par la gauche et a abouti au séparatisme religieux qui mine aujourd’hui nos banlieues.

Résultats : des enclaves étrangères s’étendent sur le sol français ce qui risque un jour de déboucher, au mieux sur une partition de fait, au pire sur une véritable guerre civile.

Bruno Fourcade vient de publier Une jeunesse, les dents serrées, un brûlot qui calcine l’image de François Mitterrand.

Causeur a présenté cet ouvrage dans un article dont voici quelques extraits :

Bruno Lafourcade: un écrivain de salubrité publique

Contre la génération Mitterrand, il ne retient pas ses coups

Un merlin est un outil qui est d’un côté une masse permettant de fracasser, de l’autre une hache permettant de fendre. Dans son livre, Une jeunesse les dents serrées (Éditions Pierre Guillaume De Roux), Bruno Lafourcade écrit à coups de merlin. Si l’on en ressort tout ensanglanté et meurtri, c’est que l’auteur nous rappelle, sans prendre de gants, ce qu’ont été les « années Mitterrand » :

le début

  • de la terreur progressiste,
  • de l’antiracisme dévoyé,
  • de la promotion du manager et des « artistes » engagés (Tapie et Séguela en bêtes de scène, et Yves Montand en monsieur Loyal du cirque patronal),
  • de la radio nationale devenant tract propagandiste,
  • des radios dites libres (NRJ) comme agents propagateurs des plus misérables bruits anglo-saxons,
  • et des émissions sur la sexualité javellisée destinées aux jeunes.  

Ravivant les débuts de la destruction programmée de l’Éducation nationale, Lafourcade gifle et dénonce ces profs, « syndicalistes doctrinaires et vaniteux » qui nous « apprenaient à nous haïr, et à mépriser notre pays et son histoire », et qui, sous l’impulsion des ministres socialistes, firent de l’école un lieu dogmatique, égalitariste et grand pourvoyeur de jeunes gens incultes, bruyants, incapables d’admirer, d’avoir des héros , ou même de concevoir ce qu’avait pu être « l’héroïsme » de certains hommes d’antan dont ils n’avaient aucun souvenir puisqu’ils n’en avaient eu aucune connaissance.

« Vous avez toujours pensé par slogans, votre vie a toujours été publicitaire ; vous nous avez pris Le Monde, vous nous avez pris France Culture – vous en avez fait des tracts. […] Vous nous avez pris la presse, vous nous avez pris l’école, vous nous avez pris l’art – et vous nous avez pris les mots. » Rien n’a changé, au contraire. Pour qui n’est pas sourd, il est aisé d’entendre l’endoctrinement et la propagande actuels sur les ondes de nos radios nationales, dans les couloirs du ministère de l’Éducation nationale, dans ceux de nombre d’universités devenues, à la place des lieux du savoir, les tribunes militantes des thèses sur le genre, sur le supposé « racisme d’État », sur le « décolonialisme » et sur « l’indigénisme ».

Notre faiblesse, Lafourcade la décrit et la décortique. Elle est celle de quinquagénaires à qui, jeunes, on a laissé accroire que Lang était un homme cultivé qui allait sauver la culture ; que Duras était une enquêtrice de haut vol capable de reconnaître un infanticide à la seule lueur de ses fantasmes ; que l’idéologue July n’était pas une boule de bêtise hargneuse lorsqu’il écrivait dans sa feuille de chou : « Il fait partie des bourgeois, il ne peut qu’être l’auteur de ce crime », à propos du notaire Pierre Leroy dans l’affaire de Bruay-en-Artois ; que BHL était un philosophe ; que Mesrine était le Mandrin de l’époque ; que l’école nous apprenait autre chose que l’idéologie égalitariste dominante.

Suite à lire ici.

Didier Desrimais pour Causeur.

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