On comptait les morts quand on n’avait pas de masques.
On compte les masques quand il n’y a plus de morts !

Publié par le 24 Août, 2020 dans Blog | 0 commentaire

On comptait les morts quand on n’avait pas de masques. On compte les masques quand il n’y a plus de morts !

De plus en plus de voix s’élèvent pour contester la réalité de cette seconde vague qu’on nous promet depuis la fin du confinement, en mai dernier.

Le principe de précaution est roi !

C’est la surenchère entre les grandes villes. On impose le masque dedans, dehors, dans certaines rues, dans toutes les rues, sur la plage, à pied, à vélo …

Olivier Véran se répand partout, Jean Castex tonne et le président nous sermonne quand il ne sauve pas le monde sur son jet ski !

Mais un énorme doute  se répand parmi les Français, notamment chez les jeunes.

Par ailleurs, de grands professeurs comme Didier Raoult, Jean-François Toussaint, Christian Perronne font entendre une voix différente de l’officielle.

J’ai retenu le billet, pertinent et extrêmement bien écrit, du docteur André Orluc paru sur Boulevard Voltaire :

Réflexions d’un médecin dans la torpeur
d’un été masqué, distancié, hébété.

Nous sommes bien au-delà de la réalité médico-sanitaire de la pandémie de Covid-19 qui se termine : on comptait les morts quand on n’avait pas de masque, on compte les masques quand il n’y a plus de morts ! On constate une confusion entre « nouveaux clusters/foyers de malades » et dépistage de masse avec des positifs, bien sûr, plus nombreux !

Quiconque essaie de comprendre ce que nous vivons ici, et bien au-delà de nos frontière, voit qu’il se passe un phénomène mondial totalement fou et incompréhensible. Tout le monde subit cet événement planétaire dingue, complètement inattendu, qui échappe à toute logique et va bouleverser et modifier sans aucun doute notre civilisation.

On ne pouvait trouver mieux que la santé pour imposer ce changement de civilisation : le Covid-19 est ce cheval de Troie qui a offert la clef, le sésame donnant accès à un monde nouveau plein de promesses.

André Orluc

En effet, ce thème de la santé mis en avant est génial car il concerne chaque être humain dans son intimité, il fait le lit du délire idéologique prométhéen du transhumanisme (lien homme – machine mêlant médecine, biologie, génétique et technologies) de ces géants aux pieds d’argile, qui nient la réalité, le naturel à travers leurs idéologies souvent folles mais sans perdre le sens des affaires avec des marchés gigantesques.

Le combat sera désormais d’empêcher que la porte ne se referme définitivement sur une humanité l’ayant franchie et qui serait prisonnière de ce monde « orwellien ». On ne pourrait plus revenir en arrière vivre notre humanité pleine de vie et de libertés.

Avec le développement des géants numériques, ces dernières années (GAFAM), la gestion de la crise sanitaire permet d’accélérer une révolution numérique, le contrôle des individus, la numérisation de chaque Terrien, 5G et micro-nano-puces, carnet de santé et vaccins, mais aussi suivi de tous contacts (messages, transactions, déplacements, reconnaissance), le changement des bases monétaires – monnaie universelle numérique – et, bien sûr, l’émergence d’une forme de gouvernance supranationale.

Ce n’est qu’une question de temps … combien ?

Aujourd’hui, en 2020, sur notre belle planète, la porte est donc entrouverte, le verrou a sauté…

Pour agrémenter la sauce des événements contemporains, on rajoutera une bonne dose d’écologie et une confusion avec les mouvements communautaires et idéologiques (racialistes, Black Lives Matter, LGBTQI et autres minorités hyper médiatisées).

Comme dit si bien Éric Zemmour, un peu partout également surgissent des révoltes « populistes » comme « cri des peuples qui ne veulent pas mourir ».

Enfin, comme socle de résistance se lèvent des hommes éclairés sur les périls réels pesant sur notre humanité. Un réveil des chrétiens et des gens du Livre qui représenteront la principale force de réflexion et d’opposition à ce système technico-politique qui veut broyer et manipuler l’humain dans un carcan numérique de l’IA (intelligence artificielle ) toute-puissante. Intelligence technique mais désert de spiritualité.

Un simple virus, guère plus mortel qu’une forte pandémie grippale, a mis notre système mondial à genoux et touché l’humanité masquée distanciée dans sa vie la plus intime, a laissé couler économie, finance, a mis des peuples dans le désarroi et la peur et les a muselés au moyen d’informations et décrets liberticides. Bien moins dangereux que le VIH ou Ebola, le virus n’avait pas de passeport, mais la folie des humains l’a transformé en arme de déshumanisation massive !

Je vous aurais écrit cela, il y a un an, les plus gentils auraient conclu un canular ou un délire passager après une soirée trop arrosée !

Dr André Orluc pour Boulevard Voltaire.

En complément, je vous joins le témoignage édifiant d’un chef d’entreprise très impliqués dans les échanges de marchandises avec la Chine et qui dénonce la raison (inavouable) de la pénurie de masques en France :

On savait qu’au moment de la saturation des hôpitaux publics en pleine crise du coronavirus, les agences régionales de santé avaient répugné à impliquer les cliniques privées par pure idéologique. On voit que la pénurie de masques a été due en grande partie à l’incurie des administrations qui auraient mieux fait de faire confiance à la grande distribution qui disposaient de tous les réseaux et circuits d’importation de produits chinois.

Mais qui osera dégraisser l’Etat en ne lui laissant que le domaine régalien à gérer ? Un domaine – police et justice, notamment – qu’il gère d’ailleurs très mal !

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