Petit coup de gueule dominical !

Publié par le 31 Juil, 2017 dans Blog | 0 commentaire

Petit coup de gueule dominical !

– La bien-pensance,
– le politiquement correct,
– le « padamalgam »,
– le « vivrensemble »,
– le progressisme forcené
– la culture de l’assistanat,
– l’anti-racisme à géométrie variable …

Autant de « tares » que l’on croyait être l’apanage de la gauche française …

Mais après 40 ans de propagande et de complaisance des médias, force est de constater (comme disent les vrais journalistes !) qu’une partie de la droite a bel et bien été contaminée !

Dans mon article précédent : « Aurore Bergé et l’abolition des privilèges … », est incluse une vidéo dont la fin a motivé ma colère.

On y voit Pierre-Yves Bournazel, un membre éminent des « traitres constructifs » défendre un de ses amendements à la tribune de l’Assemblée nationale :

Dans le cadre de la loi sur la confiance en la vie publique, le renforcement des règles de probité est nécessaire ! Cet article 1 qui étend, sauf décision spécialement motivée, l’obligation par le juge de prononcer la peine complémentaire d’inéligibilité, pour tout crime ainsi que pour une série d’infractions à la probité, notamment le détournement de fonds, la fraude fiscale et la corruption est une bonne initiative.

Néanmoins, la notion de probité ne peut se limiter au domaine financier. Qui pourrait comprendre qu’une personne frappée d’une condamnation pénale définitive pour racisme ou antisémitisme par exemple, puisse devenir un élu de la nation ?

En ce sens, j’ai déposé, avec plusieurs de mes collègues de mon groupe, plusieurs amendements afin d’enrichir le texte du gouvernement. Il vise à ce que le manquement au devoir de probité intègre les atteintes graves aux valeurs fondamentales de la République. Les personnes ayant fait l’objet d’une condamnation pénale définitive pour racisme, antisémitisme, négationisme,  homophobie ou tout autre forme de discrimination réprimée par la loi, doivent en effet être sanctionnées d’inéligibilité.

De la même manière, les personnes ayant exercé des fonctions électives ou des responsabilités au sein d’associations dissoutes […] doivent être aussi sanctionnées d’inéligibilité pour une durée de 10 ans.

Il y a quelques mois, c’est de la bouche de Najat Vallaud-Belkacem ou dans celle de Christiane Taubira que seraient sortis de tels propos.

Je relève deux choses qui me choquent au plus haut point dans ce qui précède :

  • La loi va faire désormais obligation à tout juge qui prononce une peine pour les faits mentionnés d’ajouter systématiquement la peine d’inéligibilité ! Auparavant, la juge avait la possibilité, en fonction de la gravité des faits de prononcer ou non cette inéligibilité. Le juge sera donc privé de cette possibilité !
  • Pierre-Yves Bournazel propose de rajouter dans les manques de probité, notamment les motifs de racisme et d’homophobie. C’est extrêmement dangereux ! Très dangereux quand on connait l’hystérie des associations antiracistes et la complaisance de certains juges.

En effet, Eric Zemmour a été condamné pour avoir expliqué les « contrôles au faciès » par le fait que les trafiquants de drogue sont plus représentés dans la population issue de l’immigration que parmi les « Français de souche » ce qui est une vérité attestée par les acteurs du domaine !

Est-il admissible qu’Eric Zemmour soit rendu inéligible pour avoir
énoncé une vérité, mais une vérité interdite par la bien-pensance ?

D’où ma colère quand j’observe que ces amendements émanent de personnalités qui se réclamaient de la droite, il y a encore quelques mois ?

D’autres articles ont dénoncé le danger de cette loi de moralisation :

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