Plus jamais le communisme !

Publié par le 7 Nov, 2017 dans Blog | 0 commentaire

Plus jamais le communisme !

Je n’ai pas de haine particulière pour les hommes politiques mais il m’arrive d’en transposer certains dans des environnements historiques différents  !

A la gauche de la gauche, j’imagine très bien certains d’entre-eux en 1792 pendant la terreur révolutionnaire :

– Je vois bien Jean-Luc Mélenchon en Robespierre,
– Sa copine Danièle Obono en Charlotte Corday,
– Et Benoit Hamon en Fouquier-Tinville, qu’en dîtes-vous ?

Et les têtes tomberaient à la même cadence !

Sans remonter jusqu’à la révolution française, il n’est pas interdit de craindre le retour au pouvoir de la clique mélenchonnienne …
C’est l’objet de cet article de Nicolas Lecaussin paru sur le site de l’IREF (Institut de rechechres économiques et fiscales) :

Mélenchon, Corbière, Filoche et Co veulent nous infliger le communisme…
Moi, je ne veux plus vivre ça !

7 novembre 1917 – 7 novembre 2017. Si Lénine ressuscitait aujourd’hui, 100 ans après la « révolution » d’octobre, il choisirait à coup sûr la France comme le terreau le plus propice à la prise du pouvoir. Les mélenchonistes et autres extrémistes marxistes seraient prêts. Il faut donc les combattre et rappeler les réalités du communisme. Souvenirs.

Dans quel autre pays occidental a-t-on pu voir au moins trois candidats aux élections présidentielles se réclamant du léninisme ? Dans quel autre pays capitaliste l’opposition au gouvernement existe-t-elle surtout grâce aux organisations politiques léninistes et marxisantes ? Comme Lénine il y a 100 ans, Mélenchon et Co veulent une nouvelle Assemblée constituante dont les membres devraient remplir plusieurs critères pas encore clairement définis. C’est ce qu’avaient instauré les bolcheviks sous le prétexte de vouloir « donner le pouvoir au peuple » …

Derrière ce charabia idéologique sentant le totalitarisme, se cachent les réalités. « Les faits sont têtus », disait Lénine. Ces faits, les Mélenchon, Corbière et Garrido ne les connaissent pas. Moi, je me souviens de ma grand-mère qui sortait à 4 heures du matin pour occuper une place à la queue devant le magasin d’alimentation et pouvoir acheter, quelques heures plus tard, un litre de lait pour nous, ses petits-enfants. Je me souviens aussi des tickets de rationnement pour la farine (1 kg par mois), la viande (1 kg par mois), l’huile (1 litre par mois) ou bien quelques litres d’essence par mois… Comment pourrais-je oublier les fameuses « griffes de poulet » qui ornaient les magasins d’alimentation vides ?

Sous le communisme aussi, on interdisait les croix

Des oranges et des bananes, je n’en mangeais qu’une fois par an car on n’en trouvait qu’à Nöel ou à Pâques qui, officiellement, étaient des fêtes interdites. A la télé – deux heures par jour – on n’avait pas le droit de parler de ces fêtes ni même de montrer des croix ; tiens, les publicitaires qui ont enlevé les croix sur les pots de yaourt grec s’en seraient-ils inspirés ? Ou les magistrats français qui demandent la démolition de la croix de Ploërmel…

Je me souviens de cette société que M. Mélenchon voudrait infliger à la France et dans laquelle tout était gris : les vêtements, les immeubles, les gens… Dans laquelle l’eau chaude envoyée seulement une fois par semaine – le samedi soir – par la centrale du quartier n’arrivait qu’avec parcimonie au-dessus du sixième étage. Cette société où l’on avait froid à la maison ; et à l’école, on était obligé d’écrire avec des gants… Cette société dans laquelle le pouvoir appartenait non pas au peuple mais aux apparatchiks du parti et au dictateur communiste.

Le peuple devait se plier aux délires du Parti et de l’Etat. C’est à cette époque que l’esclavage était pratiqué non pas par les « patrons » qui n’existaient pas mais par le Parti qui nous forçait à travailler dans les champs au nom du « travail patriotique », c’est-à-dire bénévole et… obligatoire.

Des geôles communistes qui feraient passer les tortionnaires de Daech pour des amateurs

Comment oublier la fois où, vers l’âge de 11 ans, en me blessant gravement au foot, on m’a emmené à l’hôpital qui manquait, entre autres, de pansements et où le chirurgien a dû coudre ma lèvre avec du fil de poil de cheval à vif, sans aucune anesthésie…

En plus des pénuries, il y avait la dictature, la répression et la peur. Quand il s’agissait des sujets « sensibles », mon père parlait dans la salle de bain en faisant couler l’eau, et jamais au téléphone (après la chute du régime, il a même fallu changer de numéro car les techniciens n’arrivaient plus à enlever les fils posés par les officiers de la Sécuritate – l’équivalent roumain du KGB – pour surveiller nos conversations). Comment expliquer aux nostalgiques de cette époque ce que représentaient pour nous, les Roumains, le système d’enfermement, les camps de travail et la fameuse prison de Pitesti, exemple probablement unique dans l’histoire de l’horreur et qui ferait même passer pour des amateurs les tortionnaires de Daech. Dans cette prison située vers le sud du pays, les geôliers obligeaient les prisonniers à se torturer ou à se tuer entre eux. De préférence, entre membres de la même famille…

Cent ans après l’événement qui a déclenché la plus grande tragédie de l’histoire de l’humanité en nombre de morts – plus de 100 millions – il existe encore bel et bien en France des politiques et des partis qui prônent cette idéologie criminelle. Moi, je ne veux plus vivre ça. Je ferai tout pour la combattre et épargner la France !

Nicolas Lecaussin pour l’IREF.

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