Pour sauver une poignée de vieux,
le vaccin a tué une foule de jeunes !

Oui, mon titre est volontairement provocant !

Mais il est juste à la hauteur de mon exaspération quand je vois les résultats des enquêtes sur les effets secondaires des vaccins ARN en provenance de nombreux pays, et que j’observe l’omerta qui règne en France !

Récemment je relayais un article de France-Soir dédié aux travaux du sénateur américain Ron Johnson :

Covid : les agences de santé américaines sur la sellette

Le sénateur y dénonçait la faillite morale des agences fédérales de santé qui ont laissé injecter massivement un produit non suffisamment testé.

Aujourd’hui, je reproduis une audition d’un chercheur américain, Edward Dowd, par la commission présidée par le sénateur Johnson.

Le chercheur y présente ses études sur la mortalité post-vaccinale observée par les compagnies d’assurance-vie chez les jeunes entre 25 et 44 ans.

Ses propos sont dévastateurs pour les autorités politiques et sanitaires américaines mais à l’évidence pour celles de l’Europe et de la France !

Avant de vous livrer la vidéo de l’audition et le verbatim traduit en français  en voici les points-clefs :

• La surmortalité observée après la vaccination est de 40 % chez les jeunes (25 et 44 ans),
• Les handicaps ont également augmenté de 38 % dans la même population,
• Les assurances ont tenté de cacher ces chiffres car jugés trop « gênants » !
• L’OMS et certains gouvernements ont changé la méthode de calcul de la surmortalité pour en atténuer l’importance !

Quel niveau devrait atteindre la surmortalité de nos jeunes pour que les médias en parlent ? 50 % ? 100 % ? 200 % ?

Voici la vidéo de l’audit sous-titré en français suivi du verbatim :

« On ne peut pas cacher les cadavres »

– Edward Dowd sur les vaccins contre le Covid, PDG d’une compagnie d’assurance révèle :
« Une surmortalité de 40 %… pour les 25-64 ans. »

-sans excès de décès avant les injections.

Une augmentation de 10 % est un événement qui se… pic.twitter.com/eXlny2Au4r

— Démoniac (@platinium230) May 28, 2025

Et voici le verbatim de l’audit traduit en français :
Concernant les décès en excès, nous avons rédigé des articles de méthodologie sur la façon dont nous les calculons. Nous avons trois méthodes différentes, nous préférons la deuxième méthode.

On peut les comparer aux tables actuarielles de l’industrie de l’assurance, qui ont constaté des décès en excès similaires dans leurs contrats d’assurance-vie de groupe. Donc ces décès en excès sont indéniables.

Ce qui se passe actuellement, c’est que certains gouvernements modifient maintenant la façon dont ils calculent ces chiffres. L’OMS vient d’annoncer un changement dans le calcul
de la méthodologie pour leur chiffre de décès en excès, ce qui réduit évidemment les décès en excès, car ils préfèrent ce résultat.

Nous nous doutions que cela pourrait arriver, c’est pourquoi nous avons rédigé nos articles de méthodologie et les avons publiés en septembre 2022. Et les tables actuarielles utilisées par les compagnies d’assurance n’ont pas changé.

Donc, la surmortalité continue, les compagnies d’assurance constatent la même surmortalité. Mortalité, surtout chez les personnes en âge de travailler. Donc ces décès sont indéniables.

C’est que tu ne peux pas cacher les cadavres, malheureusement.

Donc encore une fois, tu publies toutes tes informations sur ton site web. C’était OneAmerica, c’est bien cette compagnie d’assurance qui a été la première à révéler
ça ? C’était une compagnie d’assurance basée dans l’Indiana ?

A OneAmerica, le PDG Scott Davis, lors d’une réunion à la chambre de commerce, a révélé qu’il avait constaté une surmortalité de 40 % chez les millennials, de 25 à 44 ans, et
même aussi élevée, en fait, pour les 25 à 64 ans. Il a dit que c’était une augmentation de 10 % si on subit une inondation centennale ou un événement à trois écarts-types.

40 %, c’était hors normes, vraiment hors normes.

Et on n’a vraiment rien entendu depuis ce moment-là, à part de la part de gens comme vous ?

Parce qu’on a essayé de vous aider à obtenir des données d’assurance, et on a juste été
bloqués. Non, les compagnies d’assurance, elles ne voulaient pas coopérer avec nous ni nous fournir leurs informations. Pouvez-vous en parler un peu ?

Malheureusement, il y a encore beaucoup de controverse dans le secteur de l’assurance où beaucoup de gens ne veulent même pas aborder la question du vaccin. Beaucoup de ces PDG ont imposé le vaccin, l’ont reçu eux-mêmes, un peu dans le déni.

Ils ont augmenté les prix des contrats d’assurance-vie de groupe, donc les pertes sont moindres maintenant. Les pertes vont apparaître dans les contrats d’assurance-vie entière à cause d’une comptabilité byzantine, dynamique. Donc, on s’attend à voir des provisions prises dès qu’ils abaissent leurs hypothèses de mortalité à long terme. Ou qu’ils relèvent leurs hypothèses de mortalité à long terme, je devrais dire. Et on verra les pertes commencer à apparaître dans leurs comptes de résultats cette année et l’année prochaine.

Avec ça, j’ai des lanceurs d’alerte, et il y a eu des discussions lors des réunions du conseil d’administration sur la surmortalité persistante, et ils tournent autour de chaque sujet, sauf le vaccin.

Donc encore une fois, tu as parlé de beaucoup de chiffres, mais, tu sais, ce que je retiens surtout, c’est que ce que tu as découvert, c’est que dans la population en âge de travailler,
il y avait juste un augmentation extraordinaire des décès et handicaps en excès à partir de 2021. Pas en 2020 pendant la pandémie, avant qu’on ait un vaccin, mais après le déploiement du vaccin. C’est bien ça, votre conclusion ?

C’est exact, et c’est ma thèse sur pourquoi le vaccin a causé cela.

Il y a eu un énorme transfert des vieux vers les jeunes à partir de 2021.

Les handicaps n’étaient pas apparents en 2020. Et si vous regardez les chiffres sur le handicap, et que vous, vous pouvez pour les actifs dans notre pays en handicaps entre 2021 et 2023 était de 38 %.

Donc c’était une augmentation du taux de variation de 38 % par rapport à la population générale américaine, qui était bénigne, et hors population active, seulement 4 %.

Donc j’encourage tout le monde à aller voir ses données, et c’est incontestable, en gros.

Merci, M. Dowd.