Réduire la population, réel objectif des vaccins ARN ?

Publié par le 9 Sep, 2025 dans Blog | 0 commentaire

Réduire la population, réel objectif des vaccins ARN ?

Dans cet article précédent :

Vaccins ARN Messager : vers l’interdiction totale ?

j’ai rapporté les résultats d’une étude réalisée sur les données internes de Pfizer par Naomi Wolf et les 3500 médecins et scientifiques qu’elle avait mobilisés.

Cette étude apportait la preuve que, très tôt dans la crise du covid, Pfizer avait constaté que son vaccin n’empêchait pas la transmission du virus et qu’il présentait de graves effets secondaires, qu’il avait caché ces informations et continué à produire son vaccin.

Je relaye aujourd’hui de nouvelles révélations faites par Naomi Wolf et qui sont infiniment plus graves que celles évoquées ci-dessus.

Voici un tweet d’Etienne Chouard qui a traduit en français un tweet de Camu s (@newstart_2024) qui en témoigne :

Énorme abus de pouvoir planétaire sous prétexte sanitaire, suite

Intervention de Naomi Wolf au Parlement européen

Dans une révélation stupéfiante tirée des documents de Pfizer, Naomi Wolf révèle que la découverte la plus choquante ne concerne pas les effets secondaires connus, mais l’obsession à 360 degrés du vaccin visant à endommager la reproduction humaine, et non le système respiratoire.

Elle explique comment les nanoparticules lipidiques sont conçues pour traverser toutes les membranes, y compris le placenta. Cela entraîne des calcifications, empêchant les bébés d’obtenir nutriments et oxygène.

Résultat ? Les sages-femmes signalent une désagrégation du placenta, entraînant des naissances prématurées, de terribles hémorragies maternelles et une augmentation de 40 % de la mortalité maternelle en Occident.

Pfizer savait que les nanoparticules envahiraient les testicules des bébés garçons in utero, dégradant les cellules de Leydig responsables de la masculinité et de la fertilité. Ils pourraient ne jamais se développer normalement, même s’ils n’étaient jamais vaccinés.

Un rapport d’andrologie a confirmé que le vaccin altère la motilité des spermatozoïdes chez les hommes. Plus grave encore, Pfizer a mis en garde les participants masculins à l’essai contre les rapports sexuels avec des femmes non vaccinées et l’utilisation de deux méthodes de contraception, définissant l’« exposition » par le sperme, le contact cutané et la respiration.

Sur les 270 grossesses étudiées, 234 ont été « perdues ». Mais sur les 36 grossesses restantes, plus de 80 % ont abouti à la perte du bébé.

Pfizer le savait. La question est :

Pourquoi cette découverte a-t-elle été au cœur de leurs recherches ?

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