Si une boxeuse en avait, on l’appellerait boxeur !

Publié par le 4 Juin, 2025 dans Blog | 1 commentaire

Si une boxeuse en avait, on l’appellerait boxeur !

On me pardonnera ce titre qui abaisse pour une fois le haut niveau culturel habituel et légendaire de ce blog.

Mais, il salue une grande victoire du bon sens sur le wokisme et son transgenrisme débile.

Pour monsieur tout le monde, aucun homme ne peut tomber enceint, n’en déplaise aux progressistes qui tentent d’imposer leur idéologie de fluidité du genre.

Dans ce domaine, on avait atteint un sommet de bêtise et d’injustice en laissant combattre Imane Khelif, un homme s’identifiant comme femme, dans une compétition de boxe féminine. Un sport dans lequel la force physique est prépondérante.

Après avoir traité ceux qui critiquaient un tel scandale de complotistes et de transphobes, les instances sportives ont enfin reconnu leur erreur et imposent désormais des test de masculinité dans les futures compétitions de boxe.

Le boxeur Imane Khelif, que les tests biologiques désignent sans ambiguïté comme homme, ne pourra plus jamais combattre avec des boxeuses et leur voler des médailles !

Voici un article de Breizh-Info qui salue ce revirement des instances sportives :

JO 2024 – Boxe : le scandale Imane Khelif pourrait éclater au grand jour. Et si les « complotistes » avaient (encore) raison ?

Il n’aura fallu que quelques mois pour qu’une autre réalité rattrape les cris étouffés de celles et ceux qu’on avait alors qualifiés de complotistes, de fachosphère ou de réactionnaires. En août 2024, Imane Khelif, boxeuse algérienne au sexe contesté, était portée en triomphe sur le Central de Roland-Garros, médaille d’or olympique autour du cou, célébrée comme une héroïne nationale par les médias francophones et les autorités algériennes. Quiconque osait alors s’interroger sur sa morphologie, sa voix ou son genre était immédiatement cloué au pilori médiatique, accusé de haine, de transphobie, voire de racisme.

Mais selon des révélations croisées de plusieurs médias internationaux (3 Wire Sports, The TelegraphTimes of India), un test chromosomique réalisé en mars 2023 à New Delhi a conclu que la boxeuse est porteuse d’un caryotype masculin, de type XY. Le caryotype désigne l’ensemble des chromosomes d’un individu et comporte donc les chromosomes sexuels, qui pour Khelif sont les suivants : XY, soit les gonosomes masculins.

Le rapport, qualifié de « confidentiel » mais désormais largement diffusé, indique explicitement que Khelif est « biologiquement de sexe masculin ». Une information que la Fédération internationale de boxe (IBA), dirigée à l’époque par le controversé Umar Kremlev, avait tenté d’utiliser pour l’écarter des Mondiaux 2023. Ce qu’elle fit. Mais le CIO, en rupture avec l’IBA, avait décidé de ne pas en tenir compte pour les Jeux olympiques de Paris.

Résultat : une victoire controversée dans une compétition féminine, face à des adversaires dont personne ne remet en cause l’identité biologique.

ppQuand le mensonge devient dogme

À l’époque, toute mise en doute de l’éligibilité d’Imane Khelif à concourir chez les femmes était immédiatement censurée. Voir les articles ci-dessous. Le simple bon sens biologique était devenu suspect. Pire, l’attaque du réel passait pour un acte militant.

Aujourd’hui, ce sont les instances sportives elles-mêmes qui rétablissent — timidement — une forme de réalité. La nouvelle Fédération internationale, World Boxing, désormais reconnue par le CIO, a annoncé l’imposition de tests de genre obligatoires avant toute compétition. Pour participer aux Jeux de Los Angeles en 2028 ou à la Box Cup d’Eindhoven, Imane Khelif devra se soumettre à ces examens. Une obligation qui sonne comme un aveu.

Une injustice pour les vraies combattantes

Ce scandale soulève une question que les autorités sportives internationales refusent encore d’assumer pleinement : combien de médailles féminines ont-elles été volées par des athlètes biologiquement masculins ? Combien de sportives ont-elles vu leur carrière brisée, leur rêve olympique détruit, pour satisfaire à une idéologie qui fait primer l’auto-perception sur les réalités du corps ? Combien de victimes parmi ces femmes que personne n’écoute, parce qu’elles refusent de plier devant les diktats du genre fluide ?

Le cas d’Imane Khelif rejoint celui de Yu Ting Lin, autre médaillée d’or à Paris, également concernée par des soupçons de test chromosomique anormal. La liste pourrait s’allonger si les fédérations osaient regarder en face ce que beaucoup dénoncent depuis des années.

La polémique Imane Khelif est le symptôme d’un mal plus profond : l’effacement progressif des frontières naturelles entre les sexes au nom d’un relativisme identitaire. Un effacement qui, à force de nier la réalité, finit par percuter violemment le principe même d’équité sportive.

Ce qui hier valait signalement, censure et bannissement des réseaux sociaux se révèle aujourd’hui comme un fait scientifique : la championne olympique de boxe féminine à Paris 2024 serait, biologiquement, un homme. Il est temps de se poser la seule question qui vaille : combien de temps encore acceptera-t-on de sacrifier la vérité sur l’autel de l’idéologie ?

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Une réponse à “Si une boxeuse en avait, on l’appellerait boxeur !”

  1. Mieux vaut en rire..

    Pathétique de voir un homme sur un ring mettre des peignées à des femmes – des vraies, cette fois.
    Naturellement, l’Algérie a poussé les hauts cris, toute médaille d’or décrochée par tous les moyens, même les moins réguliers, est bonne à prendre et flatte l’orgueil national, particulièrement chatouilleux, là-bas..

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