Trump avance dans sa lutte contre le wokisme

Publié par le 8 Nov, 2025 dans Blog | 0 commentaire

Trump avance dans sa lutte contre le wokisme

Force est de constater que, mis à part Viktor Orban et Giorgia Meloni, les chefs d’Etat européen ne font rien pour sauver la civilisation occidentale des deux dangers mortels qui la menacent :

– le wokisme qui en sape toutes les valeurs,

– l’islamisme qui veut la remplacer.

C’est à l’extérieur de l’Europe que l’on trouve les plus ardents défenseurs de notre civilisation.

Je veux parler de Donald Trump et de … Vladimir Poutine !

En citant ce dernier, je sais que je transgresse la doxa officielle qui situe Poutine entre le diable et Hitler, mais on ne peut lui enlever cette volonté farouche de défendre nos valeurs !

Et on constate que ces deux hommes semblent les seuls à se battre pour défendre la civilisation judéo-chrétienne, principalement contre l’invasion migratoire et le wokisme.

Dans cette dernière bataille, Donald Trump vient de marquer un point essentiel contre l’identité de genre en recevant l’appui de la Cour suprême.

Il va donc pouvoir supprimer les mesures progressistes prises par Joe Biden dans le domaine des documents d’identité qui devront faire figurer uniquement le sexe biologique.

Cour suprême des Etats-Unis

C’est ce que rapporte cet article du média Resist The Main Stream.

En voici la traduction par Google :

La Cour suprême se range du côté de l’administration Trump concernant les passeports basés sur le sexe biologique.

La Cour suprême a statué jeudi que l’administration Trump pouvait rétablir une politique exigeant que les passeports américains affichent le sexe biologique de leur titulaire tel qu’il figure sur son acte de naissance, annulant ainsi deux décisions de juridictions inférieures par un arrêt rendu à 6 voix contre 3.

Cette décision met fin à une politique mise en place sous l’administration Biden qui permettait aux demandeurs de choisir leur identité de genre, notamment en utilisant l’option « X » pour un sexe non spécifié.

Dans son arrêt de 13 pages, la Cour a conclu que le report de l’application de la règle de l’ère Trump causerait un « préjudice irréparable » au gouvernement fédéral, faisant droit à la demande d’urgence de l’administration visant à rétablir les directives antérieures concernant les passeports.

Les juges Elena Kagan, Sonia Sotomayor et Ketanji Brown Jackson ont exprimé leur désaccord avec la décision majoritaire, rapporte Townhall.

Le litige a débuté après que l’administration Biden a autorisé, en 2021, les Américains à choisir eux-mêmes la mention de leur sexe sur leur passeport.

Cette initiative a été élargie un an plus tard pour permettre aux candidats de choisir la case « X » s’ils s’identifiaient comme non binaires ou refusaient de préciser leur genre.

Les tribunaux de première instance du Massachusetts et de la Cour d’appel du premier circuit avaient précédemment bloqué l’application de la politique de Trump, la jugeant illégale.

Lorsque ces tribunaux ont refusé de lever leurs injonctions, l’administration a fait appel devant la plus haute cour du pays, qui a finalement tranché en sa faveur jeudi.

La majorité a écrit que le fait d’indiquer le sexe d’une personne à la naissance ne viole pas les protections constitutionnelles, déclarant que :

l’affichage du sexe à la naissance des titulaires de passeport ne contrevient pas plus aux principes d’égalité de protection que l’affichage de leur pays de naissance – dans les deux cas, le gouvernement ne fait qu’attester d’un fait historique sans soumettre quiconque à un traitement différencié.

La Cour a également noté que la règle relative aux passeports « a des implications en matière de politique étrangère » et que, par conséquent, la décision du gouvernement méritait d’être respectée, selon Politico.

Le juge Jackson, dans son opinion dissidente, a averti que cette décision aurait des conséquences néfastes immédiates, en écrivant :

Cette Cour a une fois de plus ouvert la voie à des préjudices immédiats sans justification adéquate (voire sans aucune justification).

Jackson a fait valoir que l’administration n’avait démontré aucune urgence, tandis que les Américains transgenres avaient mis en évidence le risque de préjudices concrets et importants.

Elle a ajouté :

Si l’identité de genre ne constitue pas un critère d’identification valable, pourquoi exiger la mention du sexe sur les passeports ?

Selon elle :

les préjudices concrets et avérés subis par ces plaignants l’emportent manifestement sur l’intérêt inexpliqué (et inexplicable) du gouvernement à appliquer immédiatement la politique relative aux passeports.

La décision rendue jeudi ne met pas fin à l’intégralité du litige, mais suspend une injonction prononcée plus tôt cette année par la juge de district américaine Julia Kobick, nommée par Biden.

La juge Kobick avait bloqué l’application de cette politique, la qualifiant d’« arbitraire et capricieuse » et suggérant qu’elle reflétait une discrimination envers les personnes transgenres.

L’Union américaine pour les libertés civiles (ACLU), qui a intenté l’action en février, soutient que l’obligation d’indiquer le sexe à la naissance sur les passeports viole les garanties d’égalité de protection et le droit administratif.

Le procès porte sur la question de savoir si le rétablissement de la mention du sexe biologique remplit une fonction gouvernementale légitime ou s’il cible injustement les personnes transgenres.

Le débat sur la mention du genre dans les documents d’identité fédéraux a évolué au cours des décennies.

En 1992, sous la présidence de George H.W. Bush, le Département d’État autorisait la modification de la mention du sexe sur présentation d’un justificatif de chirurgie de réassignation sexuelle.

Sous la présidence de Joe Biden, les autorités avaient supprimé ces exigences médicales et autorisé l’autodétermination.

Bien que l’affaire soit toujours en cours devant les juridictions inférieures, la décision de la Cour suprême permet à l’administration Trump d’appliquer immédiatement sa politique en matière de passeports.

Cette décision souligne un clivage juridique et culturel plus large quant à la définition du sexe dans les documents officiels par les agences fédérales, la Cour se prononçant en faveur d’un retour aux critères biologiques.

Resist The Main Stream.

Merci de tweeter cet article :





Laissez une réponse

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *