Trump : le dernier rempart au progressisme

Publié par le 3 Nov, 2020 dans Blog | 0 commentaire

Trump : le dernier rempart au progressisme

En France, on dirait que les élites progressistes font tout pour que nous, les sympathisants de “la droite modérée“, nous finissions par voter pour l’extrême droite.

Les partis de droite, qui ont déjà déposé les armes aux pieds de Macron, nous poussent dans le même sens.

Avec une presse qui a perdu tout sens de l’éthique, qui n’essaye plus d’informer, mais qui tente d’éduquer un peuple qui la méprise désormais comme jamais !

Une presse, aussi bien américaine que française, qui s’est montrée partisane et violemment anti-trump en foulant aux pieds toute déontologie en cachant notamment le scandale de l’affairisme de la famille Biden, père et fils.

Les progressistes nous amènent vers le chaos :

  • Le chaos sociétal avec une loi de bioéthique, à ce point contraire à l’éthique, qu’elle autorise à tuer des bébés à quelques jours seulement de leur naissance.
  • Le chaos culturel avec leur refus de contrôler l’immigration qui entraine cet envahissement de notre pays par une autre civilisation incompatible avec nos valeurs et notre mode de vie.
  • Le chaos économique avec cette mondialisation sauvage qui ravage notre industrie et paupérise notre classe moyenne.

Mais la colère gronde parmi les peuples !

L’élection de Donald Trump aux Etats-Unis, le vote pour le Brexit outre-manche, la révolte des démocraties illibérales d’Europe de l’Est,  montrent à quel point les peuples veulent « renverser la table ».

L’élection d’un personnage aussi controversé que Donald Trump devrait interpeler toutes les élites occidentales. C’est bien pour renverser la table des élites qu’il a été élu pour être un rempart à leur progressisme.

C’est la thèse de cet article de Nicolas Lecaussin de l’IREF :

Trump face à ses pires ennemis : les médias « engagés »,
la Covid et … lui-même. Il reste le dernier rempart face au
progressisme et aux Démocrates écolo-étatistes

A en croire les médias et toutes les émissions (très nombreuses) consacrées aux élections américaines du mardi 3 novembre, les Français pourraient s’imaginer que les Américains ont à choisir entre un sinistre autocrate et un candidat touché par la grâce, envoyé par le Ciel pour les sauver. Les dizaines de correspondants et « experts » en Amérique entonnent en chœur la même chanson anti-Trump. Au lieu d’informer correctement les Français – un devoir pour les journalistes, plus encore pour ceux qui sont payés avec l’argent public – ils font du militantisme et de la propagande (même le journal l’Equipe l’a fait !).

Pas la moindre gêne déontologique chez de très nombreux journalistes et correspondants !

Les reportages positifs sur le président Trump ont été très, très rares et je n’en ai personnellement pas vu un seul ayant abordé les « affaires » Biden (silence total, y compris des protagonistes qui n’ont d’ailleurs toujours pas contesté les faits !). Ainsi, les médias, déjà contestés et auxquels les Français ne font plus confiance, se tirent une balle dans le pied par leur parti pris honteux, sans la moindre gêne déontologique.

Ces médias ont néanmoins raison sur une chose : le caractère du président américain, son côté impulsif, sa façon compulsive de tweeter (même s’il a très souvent raison) et de se débarrasser de ceux avec qui il ne s’entend plus. Selon le Wall Street Journal, sa manière de diriger le pays pourrait lui coûter sa réélection. Pourtant, selon Gallup, 56 % des Américains considèrent qu’ils sont mieux lotis aujourd’hui qu’il y a quatre ans. C’est énorme. Obama était à 45 % en 2012 lors de sa réélection, George W. Bush à 47 % en 2004 et même Reagan à 44 % en 1984.

L’économie sous Trump a battu des records et ce sont les minorités qui ont le plus profité !

Toutefois, Trump n’a jamais atteint 50 % d’opinions favorables sur sa personne en quatre ans. Les succès ne manquent pas et nous l’avons souvent rappelé, ce que la plupart des médias et des spécialistes ont omis de faire. Parmi ces succès, l’économie. Selon l’un des derniers sondages Rasmussen, les intentions de vote en faveur de Trump chez les Noirs américains seraient à 31 %, un chiffre jamais atteint encore. Chez les Hispaniques, de 43 %. Ce n’est pas étonnant. Avant la pandémie, le taux de pauvreté des Noirs et des Hispaniques est tombé à son plus bas niveau et les revenus médian des ménages de ces minorités avait atteint des scores sans précédent. Entre 2018 et 2019, l’augmentation globale du revenu médian des ménages américains a été presque 50 % plus importante que durant la présidence d’Obama. Début 2020, il n’avait jamais été aussi élevé.
Même maintenant, l’économie de Trump bat des records. Au deuxième trimestre, elle a connu une croissance de 33,1 % en rythme annuel. Le précédent record datait de… 1950 et il était de… 16,2 %, deux fois moins. En cinq mois, l’Amérique a créé 11,4 millions d’emplois. Du jamais vu après une récession. C’est plus qu’entre 2009 et 2012, le premier mandat d’Obama. D’ailleurs, en trois ans (2017-2019), l’Amérique de Trump a créé 6.9 millions d’emplois nets, ce qui représente environ 75 % du total (8,9 millions) des emplois créés durant les deux mandats d’Obama.

L’obsession anti-Trump : un cas à étudier dans les écoles de journalisme, de communication et de sciences politiques

Malgré ces succès, auxquels s’ajoutent ceux qu’il a obtenus sur le plan international, sa réélection n’est pas certaine. La pandémie a débouché sur la crise économique et les médias, ainsi que les Démocrates, ont tout fait pour lui en faire porter l’entière responsabilité. Ce sera aux Américains de faire la part des choses mardi 3 novembre.

Se rappelleront-ils que Trump est le dernier rempart
face au progressisme et aux Démocrates écolo-étatistes ?

Mais quel que soit le résultat de cette élection, on sait déjà qu’il y a un nombre impressionnant de votants. C’est une vraie leçon de civisme et une preuve de vitalité démocratique. De même, on sait – et nous l’avons écrit plusieurs fois – qu’aucun autre président (même pas Reagan ou Bush fils) n’a été à ce point la cible des attaques permanentes de la très grande majorité des médias, des journalistes et autres « experts ». L’obsession anti-Trump l’a emporté sur la logique, la lucidité et la réalité des faits.

Un exemple à étudier dans les écoles de journalisme, de communication et de sciences politiques… entre autres.

Nicolas Lecaussin pour l’IREF.

Regardez cet extrait de l’émission Quotidien datant de novembre 2016, dans laquelle l’annonce de la victoire de Trump consterne littéralement Yann Barthès et ses invités :

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