
Quelque chose bouge à Washington, un frisson traverse le pouvoir, les couloirs sentent la peur. Ce qui vient d’être déclenché, peut tout faire basculer, mais pas seulement aux Etats-Unis, jusqu’en Europe, jusqu’en France.
Grand jury !
Pam Bondi, ancienne procureure générale de Floride, ordonne à un procureur fédéral de présenter les preuves de Tulsi Gabbard à un grand jury.
Des preuves explosives, des preuves capables d’envoyer devant un tribunal les piliers même de l’ère Obama.
Les premiers noms qui pourraient tomber ? James Clapper, ex-directeur du renseignement national. John Brenham, ex-directeur de la CIA.
Deux hommes au cœur de la machine. Mais ce grand jury ne siègera peut-être pas à Washington, il tiendra potentiellement en Floride. Et là, tout change.
Vous venez de lire le début d’une intervention sur X de Babel_Tv, compte très bien informé en matière de géopolitique mondiale. Ce qui se prépare est donc la mise en accusation de l’Etat profond américain et particulièrement celle de l’Administration démocrate de Barack Obama.
C’est la grande revanche de Donald Trump contre ceux qui avaient mis en oeuvre toute la puissance de l’Etat américain pour tenter de le détruire !
Cela commencera par le procès du RussiaGate, cette conspiration démocrate pour tenter de faire destituer Donald Trump lors de son premier mandat. Mais, elle se poursuivra ensuite par une attaque frontale contre la gestion du Covid par l’administration de Joe Biden !
Voici la suite du verbatim de l’intervention suivie par la vidéo correspondante :
En qualifiant le Russiagate de vaste conspiration criminelle, le ministère de la Justice contourne le délai de prescription habituel. Ce n’est plus cinq ans à compter du crime initial. Le compte à rebours part du dernier acte manifeste de l’intrigue.
Ce dernier acte, c’est le raid de Jack Smith sur Mar-a-Lago en août 2022. Une manœuvre censée accuser Trump et qui devient aujourd’hui la clé juridique pour retourner toute l’affaire contre ses auteurs. Le raid s’est déroulé en Floride, pile dans le district sud à tendance républicaine.
Un terrain où les jurys sont bien plus enclins à inculper les élites de Washington. Trump les a appâtés, ils ont mordu et maintenant ils sont pris au piège. Les noms commencent à tomber.
James Comer, président de la commission de surveillance de la Chambre, lance une vague d’assignations à Hillary Clinton le 9 octobre, Bill Clinton le 14 octobre, James Comer le 7 octobre. Au total, des dizaines de personnes sont convoquées à témoigner sous serment face aux caméras, face au peuple. Et chaque mot prononcé pourrait être utilisé contre eux.
Mais un autre fantôme hante cette affaire, Jeffrey Epstein. L’affaire que beaucoup préfèrent oublier. Bill et Hillary Clinton, Comer, Mueller, Garland, tous convoqués.
Et ils savent qu’ils n’ont aucune preuve compromettante contre Trump. Ils savent aussi qu’ils sont eux même soupçonnés d’avoir couvert l’affaire pendant des années. Les liens entre le réseau Epstein et les cercles du pouvoir risquent de refaire surface.
Les médias, hier si bruyants, se taisent soudain. Leur silence devient presque un aveu. Pour Pam Bondi et Tulsi Gabbard, le Russiagate n’est qu’une première étape.
Une fois que le public aura compris qu’un état profond existe, qu’il a manipulé les institutions, infiltré les agences et corrompu les médias, alors viendra le moment d’ouvrir un autre dossier, le Covid-19. Après l’échec du canular russe, les mêmes noms ont orchestré la crise sanitaire. Obama, Clinton, Biden, Soros.
Les accusations sont claires. La Russie les désigne comme ayant financé un programme d’armes biologiques. Les laboratoires ukrainiens apparaissent dans le rapport.
Des financements remontent à 2014. Les mêmes réseaux, les mêmes méthodes. Trump veut justice sur les deux fronts.
Le plan est millimétré. Les preuves sortent par vagues successives. Chaque déclassification est calculée pour maximiser l’impact.
Chaque réaction de l’adversaire devient une pièce à charge supplémentaire. Ils pensaient avancer leur pion. Ils découvrent qu’ils sont sur l’échec et de l’autre.
Cette stratégie dépasse les frontières américaines. Elle pourrait exposer des complicités internationales, des gouvernements alliés qui ont fermé les yeux, des médias étrangers qui ont répété les narratives officielles sans poser de questions. Des réseaux financiers qui ont alimenté les mêmes causes sous couvert d’ONG ou de programmes humanitaires.
Le mécanisme est enclenché vers un procès historique, vers la chute de figures que l’on croyait intouchables. Vers une vérité qui ne s’arrêtera pas aux Etats-Unis. Certaines ramifications mènent jusqu’en Europe et jusqu’à la France.
Le Russiagate n’est que la première fissure. Derrière, il y a le Covid. Et derrière encore d’autres secrets enfouis.
Si la digue cède, le flot sera incontrôlable. Bientôt l’édifice pourrait s’effondrer. La panique ne sera pas qu’à Washington. Elle sera mondiale.
Mais surtout n’oubliez pas, on n’est clairement pas au bout de nos surprises.
Babel_Tv.
Voici la vidéo correspondante :
EXPLOSIF Trump @POTUS à tenu parole l’état profond tombe, la fin est imminente.
l’Europe est concernée tout s’accélère à l’UE elle est déjà morte.
iLs sont foutus ils veulent faire le plus de dégâts possible avant, il faut leur mettre les battons dans les roues. pic.twitter.com/uDTcdLmdVL
— ️Myriam️Sauvons L’humanité️@CelebritesSM (@Resistance_SM) August 7, 2025




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