Après tous les articles que j’ai lus et postés sur le réchauffement climatique, j’ai acquis la conviction que les activités humaines ne sont pas responsables du réchauffement climatique que l’on observe !
Au début, comme tout le monde, j’imagine, j’ai fait confiance aux conclusions du GIEC. Mais plusieurs articles ont instillé un doute sérieux sur ses conclusion alarmantes. Mais depuis quelques mois, je suis convaincu de l’arnaque que constitue l’hypothèse de la cause anthropologique du réchauffement climatique.
L’argument qui m’a fait basculer est proposé par plusieurs études qui, grâce à des carottes glaciaires extraites aux pôles montrent que le taux de CO2 n’est pas la cause du réchauffement du globe … mais sa conséquence !
Tout cela est très grave puisque ça a débouché sur le Green deal européen (Pacte vert) qui est en train de ruiner l’industrie automobile en la conduisant dans l’impasse technologique des voitures électriques.
Je poste aujourd’hui un nouvel article rapporté par un « complotiste notoire« , Silvano Trotta qui a traduit un texte de Peter Clack sont le compte X regorge d’informations sur le climat :
Encore une étude que les médias vont cacher !
Selon un rapport de l’Université technique nationale d’Athènes, aucune trace de combustible fossile d’origine humaine n’a pu être trouvée dans les émissions de CO₂ au cours des 40 dernières années.
Cette étude historique réfute presque toutes les affirmations de la campagne des Nations unies sur le réchauffement climatique. Par exemple, la signature du CO₂ n’a pas changé depuis le petit âge glaciaire et la société humaine était impossible à distinguer de tous les facteurs naturels. Les données indirectes suggèrent que la période moderne ne diffère pas des siècles précédents,
mais les agendas politiques des Nations unies continuent de promouvoir le discours selon lequel elles détiennent la vérité scientifique.
Le petit âge glaciaire a duré du XVIe au XIXe siècle, immédiatement suivi d’une période de réchauffement qui s’est prolongée jusqu’à aujourd’hui.
Les causes étaient identiques à celles de la période médiévale de réchauffement en l’an 1000, de l’optimum climatique romain au cours des premiers siècles avant et après J.-C., de l’optimum climatique minoen en 1500 avant J.-C. et d’autres périodes de réchauffement tout au long de l’Holocène.
À la suite du réchauffement récent, la biosphère s’est étendue et est devenue plus productive, ce qui a entraîné une augmentation du CO₂ dans l’atmosphère et un verdissement de la Terre.
L’effet de serre sur Terre est resté stable au cours du siècle dernier en raison de la prédominance de la vapeur d’eau dans l’atmosphère. Les émissions humaines de CO₂ n’ont joué qu’un rôle mineur dans l’évolution récente du climat et sont à peine perceptibles dans les données d’observation.
Dans l’ensemble, l’article confirme le rôle majeur du cycle du carbone dans la biosphère et l’absence de signature discernable de l’activité humaine.
Silvano Trotta.
Voici un graphique qui montre la décorrélation totale entre l’évolution de la température et le taux de CO2 dans l’atmosphère :
Voici l’article initial de Peter Clack (en anglais) :
No sign of human fossil fuel in CO₂ emissions could be found in the past 40 years, according to a report by the National Technical University of Athens. The landmark study refutes almost every claim from the UN’s global warming campaign. For example, there’s been no change to… pic.twitter.com/mvxJObX2lO
— Peter Clack (@PeterDClack) August 22, 2025
Suivre @ChrisBalboa78
Emploi en politique
