Mais jusqu’où descendra Mélenchon dans l’ignominie ?

Publié par le 1 Juil, 2025 dans Blog | 0 commentaire

Mais jusqu’où descendra Mélenchon dans l’ignominie ?

Il y encore une dizaine d’années, Jean-Luc Mélenchon représentait pour moi un opposant politique respectable, un Républicain héritier des hussards noirs de la République.

Certes, il était un laïcard bouffeur de curés mais il défendait avec pugnacité une laïcité authentique tout azimut.

Mais aujourd’hui, je le considère comme un véritable adversaire, presqu’un ennemi, en rupture avec les Valeurs de la République, et cette laïcité qu’il combat désormais !

On assiste, ces derniers temps, à une accélération de la descente aux enfers de Jean-Luc Mélenchon dont le parti, LFI, ressemble de plus à une cinquième colonne qui travaille à l’envahissement de son pays par des hordes étrangères.

Le dernier avatar de Mélenchon a été de proposer de débaptiser la langue française qui aurait, selon lui, échapper … aux Français !

Ivan Rioufol partage mon exaspération envers Mélenchon et l’exprime dans cet article de Causeur :

Mélenchon ou l’abandon programmé de la France

Destruction de la France : Mélenchon et ses limites

Dans sa destruction de la France française, Jean-Luc Mélenchon est clair, méthodique, cohérent. Depuis sa conversion à l’islamophilie, le leader LFI illustre la réflexion de Chesterton :

Le fou n’est pas celui qui a perdu la raison. Le fou est celui qui a tout perdu excepté la raison.

Lui qui, en 2010, qualifiait le voile islamique de « pratique répugnante et obscène », s’est fait, depuis, le théoricien rigoureux de la conquête musulmane. Tout à son projet électoraliste d’une « nouvelle France » métissée, également rêvée par Dominique de Villepin, Mélenchon :

Il propose même de brader la langue française :

Je préférerai que l’on dise que nous parlons tous le créole,

a-t-il dit l’autre jour à l’Assemblée nationale, lors d’un colloque sur la francophonie. Le candidat de l’extrême gauche à la présidentielle a choisi de promouvoir le basculement identitaire de la nation – son grand remplacement en somme – en l’ouvrant sans cesse à une immigration maghrébine et africaine dont il sait, par l’effet du nombre, qu’elle ne modifiera pas ses mœurs en foulant le sol français.

Qu’est-ce que coloniser un pays sinon s’y installer en refusant de changer sa propre histoire ?

Non content d’être le parti de l’étranger, LFI est celui de l’islamisation et de l’africanisation de la nation. Si rien ne vient faire obstacle à cette disparition espérée d’un peuple enraciné, coupable de vouloir se protéger de ses envahisseurs et de leurs complices à prénoms français, l’histoire donnera raison, au mitan de ce siècle, à Mélenchon. Mais tout est encore réversible.

Car il reste une lacune, dans la logique glaciale de l’idéologue : son raisonnement ne tient que si le peuple indigène demeure tenu à l’écart de son destin. Or il ne suffit pas de décréter, comme Sandrine Rousseau jeudi, que « les Français de souche, ça n’existe pas » pour les faire disparaître tels des mouches agaçantes. Ces Français-là sont encore, aux trois-quarts, largement majoritaires. C’est pourquoi il est devenu urgent que l’immigration de peuplement, qui accélère le naufrage du pays, apparaisse enfin comme le sujet prioritaire d’un référendum. Au-delà du militant pro-islam qu’est Mélenchon, c’est tout un monde politique qui, depuis cinquante ans, a avalisé le projet d’une société ouverte, multiculturelle, indifférenciée. Jamais aucun peuple d’Europe n’a été invité, hormis le référendum français de 2005 passé à la trappe et le Brexit britannique, à se prononcer sur son avenir.

Pourtant tous les sondages montrent l’attachement des gens ordinaires à leur patrie, leur mode de vie, leurs traditions. Le mérite du chef de LFI est de confirmer, dans son objectif de la table rase, que la première des menaces pour le pays vient de l’intérieur, c’est-à-dire de ces traîtres qui veulent enterrer la France et que j’avais dénoncés en 20201.

Dans son discours de Munich du 14 février, le vice-président américain, J. D. Vance, a rappelé qu’il était encore loisible de « changer de cap, de donner une nouvelle direction à notre civilisation commune », en écoutant simplement la voix des citoyens oubliés. Les bâillonner encore serait criminel.

Ivan Rioufol pour Causeur.

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