
On perd ses nerfs à gauche !
Chaque jour qui passe voit le magistère moral de la gauche se fissurer et menacer de carrément s’effondrer.
Sondage après sondage, la France glisse à droite et les positions politiques classiques de la gauche se trouvent battues en brèche et contestées par le peuple.
De nombreuses notions et concepts inventés par la gauche pour nourrir sa propagande progressiste apparaissent de plus en plus pour ce qu’ils sont : de purs et évidents mensonges ! Comme par exemple :
- La diversité heureuse,
- l’immigration chance et richesse pour la France,
- l’insécurité, simple sentiment d’insécurité,
- la négation du Grand remplacement.
Alors, dans un dernier sursaut, la gauche tente de faire taire toutes ces voix qui ne font que clamer tout haut ce que le peuple pense tout bas !
La gauche jette son masque de défenseur des valeurs républicaines pour se livrer à une surenchère dans la volonté de contrôler les médias et les réseaux sociaux.
Thomas Guénolé vient de publier un petit manuel de rédaction des signalements à l’Arcom dirigé exclusivement contre CNews. Avec l’objectif affiché de faire fermer cette chaine !
La Droite dispose désormais de médias populaires – CNews, Europe 1, le JDD, le JD News, Valeurs actuelles – et c’est insupportable pour la gauche habituée, depuis des décennies, à bénéficier de médias largement acquis à sa cause.
Cet article de Boulevard Voltaire nous raconte comment, via un discret amendement, la gauche veut interdire à la presse de traiter cette cohorte ininterrompue de faits divers dramatiques liés à l’immigration que la presse de droite considère comme des faits de société :
Un amendement de gauche pour minimiser
les « faits divers » dans les médias
En croisade contre le « brainwashing ». Dans le cadre de la réforme de l’audiovisuel public, un aréopage d’élus de gauche – dont Alexis Corbière, Clémentine Autain et Sandrine Rousseau – a déposé, à l’Assemblée nationale, un amendement visant à réduire la place des « faits divers » dans le traitement de l’actualité. Le groupe Écologiste et Social estime ainsi que les médias publics doivent donner l’exemple et :
ne pas céder à l’instrumentalisation des faits divers, devenue méthode de cadrage de l’information sur certaines chaînes privés .
Sur le ton de l’indignation, ces députés citent en exemples le meurtre de Lola, à Paris en 2022, et celui de Thomas, à Crépol en 2023, qui :
auraient été l’occasion de véritables campagnes de diffusion d’une sémantique racialisante de la part de représentants politiques, d’éditorialistes et de médias d’extrême droite.
Sus aux médias mal-pensants
Quels sont ces affreux médias qui défendraient :
des visions du monde réactionnaires, sécuritaires et racistes, centrées en particulier sur la menace que constituerait l’immigration ?
CNews et le reste de l’« empire médiatique Bolloré » (Canal+, C8, Europe 1, JDD) sont évidemment pointés du doigt, ainsi que « la fachosphère », et notamment Fdesouche, qui n’est pourtant qu’une simple revue de presse. Il faut croire que le récit objectif des faits relève déjà, pour certains, d’un discours anti-immigration intolérable … Très inquiets, les auteurs de l’amendement déplorent la diffusion des « faits divers » au sein de médias historiquement associés à la droite conservatrice (Le Point ou L’Express), dans les journaux télévisés et jusque dans la presse quotidienne régionale.
🚨🇫🇷 𝗔𝗟𝗘𝗥𝗧𝗘 𝗜𝗡𝗙𝗢 — Des députés écolos et de gauche veulent LIMITER l’exposition de certains FAITS DIVERS, qui seraient selon eux utilisés à des fins idéologiques par l’extrême droite et certains médias.
Le texte vise notamment et honteusement les MEURTRES DE LOLA ET… pic.twitter.com/vYpgesXtt5
— Bastion (@BastionMediaFR) July 2, 2025
Sur X, cet appel à la censure du réel a été fraîchement accueilli :
Ces gauchistes me donnent envie de vomir,
Des enfants français ont été violés, massacrés, découpés et des députés veulent qu’on se taise ?
Ils veulent bâillonner la presse ? C’est dans quel genre de régime, ça ?
Le seul fait divers autorisé, c’est quand un musulman se fait poignarder par un Blanc dans une mosquée…
Les bons et les mauvais « faits divers »
Le deux poids, deux mesures décrié par les internautes n’est en effet pas le fruit de leur imagination. Ceux qui dénoncent la « récupération » des faits de société par certains médias ou hommes politiques de droite sont les premiers à instrumentaliser le moindre événement susceptible de nourrir leur discours. Après le meurtre d’Aboubakar Cissé dans une mosquée de La Grand-Combe, on a ainsi vu Alexis Corbière se rendre sur place, ceint de sa belle écharpe tricolore, pour y dénoncer « le racisme islamophobe qui se diffuse dans le pays ». Et tant pis si l’acte n’avait en réalité rien de raciste, l’assassin étant atteint de troubles psychotiques…
Après l’annonce, dans les médias de service public, d’une soi-disant « agression » d’une femme voilée à Reims, on a aussi vu Clémentine Autain tweeter plus vite que son ombre et affirmer, sans la moindre preuve, que ladite musulmane avait été prise à partie par « une vingtaine d’hommes qui l’ont obligée à retirer son voile ». Et tant pis si le procureur de Reims a indiqué que le caractère anti-musulman de l’altercation « n’a pas été démontré », et que la « victime » supposée ne répondait étrangement plus aux enquêteurs.
L’affaire du « voile arraché » à Reims était une… FAKE NEWS mise en ligne par France Info et reprise par tous les députés LFI, Portes, Tondelier, Faure…etc…👇 https://t.co/LNBWTTDark pic.twitter.com/dflXyHLffo
— 🎗️(((SIMON WEINBERG))) (@SlMONWEINBERG) June 23, 2025
Dans leur amendement, les députés du groupe Écologiste et Social citent un certain Samuel Bouron, sociologue de son état. Ce maître de conférences en sociologie à l’université de Paris Dauphine joue carte sur table : selon lui :
la structuration contemporaine de l’espace médiatique assure une diffusion croissante aux cadrages proposés par l’extrême droite, au détriment des cadrages avancés par la gauche.
En clair, la gauche a perdu le contrôle des médias et doit tout faire pour le récupérer. En janvier dernier, le même homme avait pris la parole, appelant son camp au sursaut :
L’extrême droite sature l’espace médiatique. Nous devons agir sur les structures de l’espace médiatique pour inverser la tendance et diffuser nos idées,
exhortait-il alors, au bord de la panique.
À mesure qu’elle perd le combat culturel et la bataille des idées, la gauche se radicalise. Elle n’a plus d’autre arme que la censure pour imposer son récit.
Jean Kast pour Boulevard Voltaire.




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