L’Europe, ça coûte en plus un « pognon de dingue » !

Publié par le 17 Juil, 2025 dans Blog | 0 commentaire

L’Europe, ça coûte en plus un « pognon de dingue » !

L’Europe, c’était cette belle idée de réunir les peuples d’Europe pour les rendre plus forts face à un monde extérieur toujours plus dangereux …

Mais au final, qu’est devenue l’Europe ?

– L’Europe, c’est le machin qui ruine nos agriculteurs, détruit notre industrie automobile pour sauver la planète.

– L’Europe, c’est le truc qui refuse de reconnaitre ses origines judéo-chrétienne et force les peuples d’Europe à accueillir des hordes de migrants incapables de s’assimiler aux moeurs occidentales.

– L’Europe, c’est le monstre bureaucratique qui veut tout contrôler, tout régenter, et qui produit des monceaux de normes et de directives qui étouffent les forces vives des nations.

– L’Europe, c’est le progressisme qui s’impose autoritairement et rêve de faire taire toutes les oppositions en contrôlant et réduisant sans cesse la liberté d’expression.

– Et c’est aussi un « pognon de dingue » dont elle spolie les peuples d’Europe.

Voici un article de la Lettre patriote qui annonce l’explosion du budget de l’Europe :

L’Europe, cette ogresse insatiable

Pendant que les Français se serrent la ceinture, que les classes moyennes voient leur épargne s’évaporer et que les services publics s’écroulent sous leur propre poids, à Bruxelles, on s’apprête à faire tout le contraire. Le monstre grossit. Et il grossit bien.

La Commission européenne vient en effet d’annoncer un budget historique pour la période 2028-2034 : 2.000 milliards d’euros. Deux mille milliards. Jamais, dans toute son histoire, l’Union n’avait affiché de telles ambitions budgétaires. Ursula von der Leyen s’en félicite avec une gourmandise technocratique non dissimulée : « Le budget le plus ambitieux jamais proposé. »

Les chiffres donnent le tournis. Pour mémoire, le budget 2021-2027 était de 1 200 milliards, complété d’un plan de relance Covid de 800 milliards, déjà très contesté. Désormais, tout est fondu dans un seul bloc tentaculaire. Le monstre avance à découvert. Il ne feint plus la prudence. Il revendique l’expansion.

Mais au service de qui ? Parmi les priorités affichées, 300 milliards d’euros pour les « revenus des agriculteurs ». Une manière habile de faire passer la pilule dans les campagnes. Le reste, en revanche, échappe à tout contrôle citoyen : programmes d’idéologie verte, subventions croisées aux ONG progressistes, soutien à l’intégration des migrants et financements d’une diplomatie bruxelloise parallèle. Une armée de fonctionnaires, de consultants, de « task forces ».

Et pendant ce temps, que fait la France ?

La France paie … un peu moins, mais paie toujours

Le gouvernement a cru bon de fanfaronner sur une prétendue bonne nouvelle : notre contribution au budget européen passera en 2026 de 7,3 à 5,7 milliards d’euros. Une « baisse » présentée comme un soulagement. Mais c’est oublier que, sur la durée du budget pluriannuel, la France continuera d’être l’un des principaux contributeurs nets.

Pire encore : alors que François Bayrou impose aux Français une « année blanche », la suppression de jours fériés et des sacrifices sans précédent, le gouvernement n’émet pas l’ombre d’une critique sur ce budget européen faramineux. Pas un mot sur son absurdité, son opacité, ni sur les transferts massifs de souveraineté qu’il implique.

Le monstre grossit, et Paris continue de le nourrir.

Pas d’Europe puissance : une Europe dépensière

Les défenseurs de cette Europe budgétivore prétendront qu’il s’agit d’un signal de puissance, d’une volonté de peser face à la Chine et aux États-Unis. Mais en réalité, l’Union européenne ne devient pas plus forte, seulement plus chère. Elle n’a ni armée, ni frontière, ni unité. Elle se contente de redistribuer des milliards dans tous les sens, pour exister.

Ce budget colossal est aussi une formidable machine à clientéliser. Subventionner, arroser, acheter les allégeances. Les États-membres dociles seront récompensés. Les récalcitrants sanctionnés. La Pologne en sait quelque chose. La Hongrie encore plus. La France, elle, ne dit rien. Elle s’exécute. Elle paie.

Une souveraineté budgétaire en lambeaux

À force de déléguer des pans entiers de son budget à Bruxelles, la France s’est transformée en simple antenne fiscale. Le contribuable français alimente des caisses dont il ne contrôle ni l’usage, ni les priorités. Qui a voté pour ce budget de 2 000 milliards ? Quel électeur, dans quelque pays que ce soit, a eu son mot à dire ?

Aucun. Tout s’est décidé dans les bureaux feutrés de la Commission, loin des peuples, loin de la démocratie.

Le monstre grossit, et les peuples s’effacent. À force de nourrir cette bête technocratique, nous avons créé une entité qui ne nous représente plus, mais nous gouverne. En silence. En chiffres. Et toujours en milliards.

Hugo Rouet pour la Lettre patriote.

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