
Sale temps pour les mondialistes,
Ursula von der Leyen et Macron en tête !
La clique globaliste est sonnée après la magistrale humiliation qu’a constituée le sommet de Washington réunissant, à la Maison Blanche, Trump, Zelinski et les sept bourgeois de Calais, pardon de Bruxelles !
Ah, comme ils doivent regretter le bon temps où ils s’entendaient si bien avec le progressiste et sénile Joe Biden ! Tout ce petit monde instrumentalisait l’Ukraine pour tenter d’abattre la Russie !
Cela avait commencé avec la révolution de Maïden, largement organisée par la CIA, suivi par le viol des accords de Minsk, pourtant garantis par les Européen, et le bombardement des populations russophones du Donbas !
Mais, Donald Trump n’est pas Joe Biden et la récréation est terminée.
Voici un bilan de la situation proposé dans ce tweet d’Eric Archambault :
Le 18 août 2025, l’histoire s’écrit à la Maison Blanche !
Le président Donald J. Trump ne rencontre pas Volodymyr Zelensky d’égal à égal, ni comme un partenaire.
Il l’affronte comme le porte-étendard d’un projet mondialiste en déclin, qui a drainé des milliards, fait couler le sang à travers l’Europe et servi de base à l’une des plus grandes opérations de blanchiment d’argent des élites de l’histoire moderne.
Cette réunion n’a pas pour but d’instaurer une paix superficielle. Pour la première fois depuis des années, la Russie et les États-Unis se sont entretenus sans l’Ukraine. Ce seul fait a terrifié les « élites ».
Pourquoi ?
Parce que l’Ukraine a été leur poule aux œufs d’or : une plaque tournante pour les laboratoires biologiques, le trafic d’armes, les filières d’exploitation des enfants et d’interminables caisses noires déguisées en «aide».
Des milliards d’argent public ont disparu dans des budgets secrets, des sociétés écrans et des comptes offshore.
Des bureaucrates de Bruxelles aux initiés de Washington, tous se sont nourris du cadavre de l’Ukraine.
Maintenant, Trump les coupe.
C’est pourquoi Zelensky a été traîné là, flanqué de Macron et des autres et des technocrates de l’UE : ils ne sont pas là pour protéger l’Ukraine.
Ils sont là pour se protéger eux-mêmes, pour supplier Trump de ne pas faire s’effondrer le système qu’ils ont bâti sur des mensonges.
Zelensky a été présenté comme un héros de guerre, mais son masque tombe. Ses appels à l’adhésion à l’OTAN, son fantasme de «restauration» de la Crimée, son exigence de garanties du type de l’article 5 : tout cela n’est que du théâtre.
Sans l’Amérique, l’Europe est impuissante. L’OTAN sans Trump est un cadavre. Et tout le monde dans cette salle le savait.
Trump a déjà dit la vérité :
- la Crimée a disparu.
- Le Donbass ne reviendra jamais.
- Le rêve ukrainien d’adhérer à l’OTAN est mort.
Ce n’est pas une «proposition», c’est la réalité. Zelensky peut bien crier à la souveraineté, mais Trump s’en tient aux faits, pas aux fantasmes.
Derrière les caméras, des rumeurs circulent selon lesquelles le gouvernement de Zelensky est fracturé. Ses généraux en ont assez de voir leurs soldats mourir pendant que les élites occidentales sirotent du champagne à Bruxelles et à Davos.
Ses soutiens oligarques craignent Trump car ils savent que leurs comptes offshore, engraissés par l’«aide», sont tracés. Le régime de Kiev tout entier est une marionnette, et la main du marionnettiste glisse.
Il ne s’agit pas seulement de l’Ukraine. Il s’agit du système financier mondial que les élites ont enchaîné à la guerre. Chaque dollar d’«aide» était conditionné par les conditions du FMI, les marchés obligataires européens et les pots-de-vin versés aux entreprises de défense.
Avant son effondrement, l’administration bidon de Biden utilisait l’Ukraine comme un canal de blanchiment.
L’UE s’en est servie pour justifier le déploiement de l’identité numérique, l’augmentation des dépenses militaires et les campagnes de censure contre sa propre population.
Trump coupe désormais le pipeline. Il démantèle leur machine pièce par pièce.
C’est pourquoi ils ont envoyé les dirigeants européens à Washington. Non pas pour soutenir Zelensky, mais pour s’opposer à Trump.
Ils craignent que Trump et Poutine, en contournant leur prétendue «unité», ne mettent en place un cadre qui les rendrait insignifiants.
Des sources proches du renseignement militaire américain ont laissé entendre que la réunion d’aujourd’hui ne portait pas uniquement sur la politique. Il s’agissait de garanties de sécurité qui contournaient totalement l’OTAN.
Imaginez une coalition directe dirigée par les États-Unis, hors de l’OTAN, proposant des «forces de maintien de la paix» après un cessez-le-feu. Ce serait l’enterrement discret de l’OTAN, joyau de la couronne du contrôle des mondialistes …
Eric Archambault sur X.




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