En plein milieu de négociation vers la paix,
traiteriez-vous votre adversaire d’ogre ?

Publié par le 23 Août, 2025 dans Blog | 0 commentaire

En plein milieu de négociation vers la paix, traiteriez-vous votre adversaire d’ogre ?

A moins de vouloir faire capoter des négociations, utiliseriez-vous les termes de prédateur et d’ogre à nos portes pour qualifier votre adversaire ?

C’est pourtant exactement, mot pour mot, ce qu’a fait Emmanuel Macron juste après le premier round de négociation entre Trump et Poutine en Alaska,  puis la réunion à Washington entre Trump, Zelinsky et une délégation de chefs d’Etat européens !

Depuis que Donald Trump a été élu et qu’il cherche à mettre fin au conflit ukrainien, on sent bien que l’Union européenne fait tout ce qu’elle peut pour éviter que la paix revienne.

Pire, on a le sentiment que les dirigeants européens veulent que la guerre continue !

Et ceci, probablement, en opposition totale avec les opinions publiques des peuples européens ! Malgré une propagande intense pro-Zelinsky et anti-Poutine !

Je vous soumet un tweet de Josy Cesarini qui tente de lister les arrières-pensées qui motivent cette position de l’Europe:

L’Europe sabote la paix en Ukraine – et voilà pourquoi

Après le sommet d’Alaska entre Trump et Poutine, j’expliquais déjà que les élites européennes tremblaient. Aujourd’hui, c’est confirmé : ce n’est pas Moscou ni Washington qui bloquent la paix, mais Bruxelles, Paris, Berlin et Londres.

Conséquence : Trump s’est retiré temporairement des pourparlers pour la paix en Ukraine.

Pourquoi l’Europe refuse la paix

1 – Perte de contrôle médiatique

Depuis deux ans, les médias subventionnés ont lavé les cerveaux :

  • Poutine = diable absolu>
  • Ukraine = démocratie modèle

Une paix révélerait le mensonge. Impossible pour eux d’admettre qu’ils ont manipulé leurs peuples.

2 – Corruption et prédation

  • Commissions sur les contrats d’armement
  • Contrats énergétiques surpayés avec les États-Unis
  • Inflation et taxes justifiées par « l’effort de guerre »

La guerre est une machine à cash. La paix, c’est la fin du jackpot.

3 – Zelensky, le pion

Comme je l’ai déjà écrit, Zelensky n’est plus légitime. Il a annulé les élections de 2024 sous prétexte de guerre. Si la paix est signée, l’état d’urgence tombe … et avec lui, Zelensky tombe aussi.

Les élites le savent et le protègent pour garder leur marionnette.

L’Europe, vassale de Washington

Trump a mis les cartes sur la table :

  • Les États-Unis n’assumeront plus les coûts.
  • Les Européens devront payer eux-mêmes, en achetant … des armes américaines.

Résultat ? Racket géopolitique : l’Europe paie, les USA encaissent.

La panique des mondialistes

Chaque tentative de médiation directe entre Moscou et Kiev fait paniquer Bruxelles.

Parce que :

  • La paix révélera les mensonges
  • La corruption massive éclatera au grand jour,
  • Le projet d’UE fédérale sous contrôle de l’OTAN s’effondrera.

Ils préfèrent donc un cessez-le-feu bidon, pour continuer la guerre sous une autre forme. Orwell l’avait dit :

La guerre, c’est la paix.

Conclusion

L’Ukraine est sacrifiée sur l’autel des intérêts des élites européennes :

  • Des milliers de vies ukrainiennes perdues,
  • Une économie européenne en ruines,
  • Une soumission totale à Washington.

La vérité est simple :

Si la paix revient, l’UE perd son pouvoir, ses mensonges tombent, et la corruption éclate au grand jour. Voilà pourquoi ils sabotent tout processus de paix.

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