France-Soir rend justice au professeur Raoult !

Publié par le 27 Août, 2025 dans Blog | 0 commentaire

France-Soir rend justice au professeur Raoult !

On se souvient tous des violentes attaques qu’avait subies le professeur Didier Raoult quand il avait proposé, avant la disponibilité d’un vaccin, un traitement contre le covid-19 à base d’Hydroxychloroquine.

Deux raisons majeures avaient motivé ces attaques :

1 – L’Hydroxychloroquine était un médicament utilisé depuis des décennies. Il ne coûtait presque rien à produire et donc n’intéressait pas les labos pharmaceutiques.

2 – Il faut savoir que la disponibilité d’une solution alternative médicamenteuse contre le covid aurait empêché l’utilisation d’un nouveau vaccin non entièrement validé, ce qui était le cas du vaccin ARN Messager.

BigPharma et ses complices au sein de l’OMS, de l’Union européenne et dans les sphères de pouvoir, ne pouvaient donc pas laisser survivre la solution du professeur Raoult !

Pour donner un vernis scientifique au dénigrement de Raoult, des chercheurs ont été instrumentalisés pour publier des études plus ou moins bidon, critiquant celles publiées par les équipes de Didier Raoult à l’IHU de Marseille.

On se rappelle de la fameuse fausse étude publiée puis rétractée par le journal The Lancet qui prétendait que l’Hydroxychloroquine avait tué massivement des patients.

Voici un extrait d’un article de France-Soir qui analyse comment un chercheur qui n’avait aucune connaissance, ni en biologie, ni en épidémiologie a pu lancer une croisade contre un spécialiste reconnu mondialement dans ces domaines, le professeur Didier Raoult.

Comment Besançon, un chercheur sans légitimité médicale,
a-t-il pu orchestrer une campagne de discrédit
contre des scientifiques renommés comme le Pr Raoult ?

Au printemps 2020, alors que la pandémie de Covid-19 plongeait le monde dans l’incertitude, des médecins généralistes, confrontés à l’urgence de soigner leurs patients, se tournaient vers l’expertise de l’IHU Méditerranée Infection, dirigé par le professeur Didier Raoult. Ce dernier, microbiologiste de renommée mondiale, proposait des protocoles thérapeutiques, notamment une bithérapie à base d’hydroxychloroquine et d’azithromycine, qui offraient une lueur d’espoir dans un contexte chaotique. 

Pourtant, sur Twitter (aujourd’hui X), ces praticiens ont été sidérés de découvrir une campagne virulente de dénigrement contre de nombreux scientifiques dont le Pr Raoult, orchestrée en partie par un jeune chercheur jusque-là inconnu : Lonni Besançon. Sans formation médicale, ni expertise en éthique de la recherche biomédicale, Besançon s’est imposé comme une figure centrale du « Raoult bashing », aux côtés d’un petit groupe autoproclamé de « détectives de la science ». 

Cet article explore en profondeur comment un individu au CV limité, à la thèse discutable, au comportement sulfureux et aux motivations troubles a pu exercer une telle influence, au point de semer le doute sur des scientifiques de renom, et analyse les conséquences de cette dynamique sur les médecins, les patients et le débat scientifique.

Un CV dénué de légitimité médicale

Lonni Besançon, né le 20 janvier 1991 à Bondy, est un chercheur spécialisé en visualisation de données et en interaction homme-machine. Son CV, disponible sur son site personnel, détaille un parcours académique centré sur l’informatique : un doctorat obtenu en 2017 à l’Université Paris-Saclay, suivi de post-doctorats à l’Université de Linköping en Suède et de Monash en Australie. Il est actuellement professeur assistant en visualisation à Linköping, où il se concentrerait sur l’interaction 3D et la visualisation de données scientifiques. Aucune formation en médecine, épidémiologie, biostatistiques ou éthique de la recherche biomédicale n’apparaît dans son parcours. 

Pourtant, dès 2020, profitant de la pandémie, Besançon s’est lancé dans une croisade contre des travaux médicaux, s’associant à des figures controversées comme Elisabeth Bik, impliquée comme caution scientifique dans scandale financier de uBiome, une entreprise biotechnologique ayant perdu 100 millions de dollars. Bik n’a jamais procédé à la demande de rétractation de ses études alors qu’elle connait l’ampleur du scandale uBiome mieux que quiconque et la fraude associée.

Avec Bik, Besançon a exploité des plateformes comme PubPeer afin de cibler des chercheurs, notamment El-Deiry et Raoult, en exigeant des explications sur des publications parfois vieilles de 20 ans. Ces critiques, souvent formulées sans égard pour les contextes locaux ou les normes éthiques de la recherche biomédicale des institutions visées, sont perçues comme des attaques opportunistes. Par exemple, Besançon a critiqué les études de l’IHU sur l’hydroxychloroquine, accusant l’équipe de Raoult de non-conformité aux normes de peer review.

Cette absence de légitimité médicale soulève une question cruciale : comment un individu sans expertise dans le domaine a-t-il pu se poser en arbitre de la science médicale ? La réponse réside dans la violence verbale de ses propos, une certaine habileté à utiliser les réseaux sociaux, notamment X, et à s’aligner avec des acteurs influents pour amplifier ses accusations. Question à laquelle il convient d’ajouter celle-là : comment cet individu peut-il publier des messages qui s’apparentent à l’exercice illégal de la médecine sans que les autorités se saisissent de ce problème ? (Besançon a fait la promotion sans limites du vaccin contre la covid-19 Astra Zeneca retiré du marché).  

Besançon s’est également associé à des figures comme Nathan Peiffer-Smadja, Guillaume Limousin, Gideon Meyerowitz-Katz, formant la « harcélosphère », un groupe de critiques autoproclamés qui ciblent des scientifiques dissidents, comme Pr Jay Bhattacharya, dénomé « Scientifique Marginal » qui se sont opposés aux narratifs des autorités. 

Ces attaques, souvent relayées par des médias comme Nature ou Science, ont donné à Besançon une visibilité disproportionnée par rapport à son expertise réelle permettant en outre le blanchiment d’information scientifique. Cette dynamique a permis à un chercheur sans formation médicale de devenir une voix influente dans le débat sur la covid-19, au détriment de figures comme Raoult, dont les travaux étaient scrutés par des praticiens en quête de solutions concrètes.

…/…

France-Soir.

J’engage les lecteurs à lire la suite de l’article de France-Soir qui propose une analyse critique de la propre thèse de Lonni Besançon.

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