
Les associations de boulistes, de chasseurs, de pêcheurs à la ligne, de randonneurss, de tireurs à l’arc ou de philatélistes sont très actives dans leur domaine.
Dans les forums d’assos, elles tentent de recruter de nouveaux membres, mais aucune d’entre elles ne demande de légiférer pour imposer à toute la population de pratiquer leur activité ou de la glorifier ou la sacraliser !
Que certaines personnes soient mal dans leur peau et souhaitent changer de sexe, on peut le comprendre et le reconnaitre.
Qu’un homme s’identifie à une femme, ou l’inverse, cela les regarde mais en quoi la société devrait-elle être impliquée dans ces comportements personnels ?
La société peut tolérer ces comportements marginaux tout en refusant qu’ils soient présentés comme des modèles. Il est par contre inadmissible que les mouvements transactivistes viennent faire la propagande dans nos écoles, surtout quand ils tentent d’instiller, dans des cerveaux fragiles d’adolescents, le doute sur l’identité sexuelle.
Les transgenres, oui, mais le transactivisme, c’est non !
Voici un article du Saker francophone qui traite de ce problème aux Etats-Unis.
Avertissement : je relaye cet article tout en n’adhérant pas à tous les propos qui y sont tenus, notamment sur la nécessité d’ouvrir des asiles pour les militants transgenres !
Comme d’habitude, mes lecteurs se feront leurs propres opinions !
Ramener les asiles : il est temps de parler de
la lassitude envers les transgenres en Amérique
Le transgenrisme n’est pas un mouvement de défense des droits civiques, mais une expérience d’ingénierie sociale. Le mouvement LGBT n’est pas une lutte pour l’égalité des droits, mais une guerre secrète pour le contrôle politique. Les personnes impliquées dans le transactivisme sont des fanatiques radicaux déterminés à détruire leurs ennemis par tous les moyens nécessaires. Et si vous croyez en la logique, la réalité objective, la science biologique et l’impératif moral, alors vous faites partie de leurs ennemis.
L’une des principales stratégies du mouvement transgenre consiste à endoctriner nos enfants.
Ces personnes ont rarement des enfants et, afin de perpétuer leur nombre, elles doivent préparer les générations futures à leur cause. Et il est devenu évident que si elles ne parviennent pas à endoctriner nos enfants, elles sont tout à fait disposées à les assassiner.
Il existe de nombreux « observateurs sur les remparts » dans les médias alternatifs qui luttent depuis des décennies contre l’adoption des discours woke (ou politiquement corrects) en Amérique, et je pense que beaucoup d’entre nous en ont assez de jouer à des jeux de logique et de raison. De nombreux conservateurs et libertariens accordent aujourd’hui une importance infinie au pouvoir du débat, mais après avoir mené ce combat pendant si longtemps, on se rend compte que le débat change rarement l’opinion des fanatiques.
Nous pouvons présenter au public des arguments irréfutables en faveur de nos idéaux et espérer que tout ira pour le mieux, et je pense que nous avons réussi à bien des égards. Cependant, je dirais que nous ne changeons pas tant les opinions des gens que nous informons ceux qui, jusqu’à présent, ne prêtaient tout simplement pas attention.
Nous rallions de plus en plus de personnes indécises à notre cause, mais nous ne faisons pas grand-chose pour résoudre le problème à la racine. Certains conflits ne peuvent être résolus par la raison. En fin de compte, la brutalité a parfois plus d’impact que le débat.
Depuis deux ans, je prédis que la gauche politique va connaître une chute vertigineuse (à l’échelle mondiale) en termes d’influence gouvernementale, mais je prédis également qu’elle va devenir de plus en plus instable et recourir à la violence ciblée pour compenser sa perte de pouvoir. Dans mon article de janvier intitulé « Et c’est parti : les manœuvres saboteuses des gauchistes qui mènent à la guerre civile », j’ai noté :
Tout au long de l’histoire moderne, les gauchistes ont l’habitude de se livrer à des actions de déstabilisation lorsqu’ils n’obtiennent pas ce qu’ils veulent. Ils considèrent leurs motivations comme sacro-saintes et au-dessus de toute critique, qu’il s’agisse de « sauver la démocratie », de « sauver la planète » ou de « renverser les capitalistes et les colons ».
Dans tous les cas où la gauche politique a eu une influence sur les conditions sociales puis a perdu ce pouvoir, elle est revenue à des perturbations et à des violences exponentielles ciblées, allant des émeutes aux assassinats. Elle prétend se soucier du droit de la majorité à faire entendre sa voix, mais en réalité, elle s’en moque complètement. Lorsque la majorité va à l’encontre du discours de gauche, les gauchistes se rebellent…
Bon sang, je déteste avoir raison sur ce sujet, mais les preuves parlent d’elles-mêmes. Le problème avec la gauche politique, c’est qu’elle est fondamentalement lâche. Sa relation avec la guerre est plus subversive, évitant autant que possible les confrontations directes et ne ciblant que les personnes qui ne peuvent pas se défendre.
La dernière attaque en date implique un activiste transgenre de gauche nommé « Robin Westman » (à l’origine Robert Westman, un homme se faisant passer pour une femme) qui a assassiné deux enfants et blessé 17 autres dans une école catholique et une église à Minneapolis, avant de se suicider.
La colère qui en résulte contre le mouvement transgenre dans son ensemble est tout à fait compréhensible : les Américains en ont assez des transgenres. Nous en avons marre de ces fous furieux. Nous en avons fini avec eux, et ils ne vont pas aimer ce qui va suivre.
Tout d’abord, je voudrais expliquer ce qui me met en colère dans cette fusillade, au-delà du fait qu’elle ait pris pour cible des enfants innocents. Je voudrais notamment aborder les réactions des médias grand public, des Démocrates et des médias en général.
Est-il « injuste » de blâmer une idéologie ?
Les dirigeants Démocrates affirment que les actions de Westman sont indépendantes de ses convictions et que les conservateurs « tentent de politiser la fusillade ». C’est n’importe quoi. Le militantisme transgenre est l’influence principale dans ces fusillades.
Les écrits de Westman révèlent ses fantasmes violents consistant à tuer des enfants, notamment son désir d’être « le monstre effrayant et horrible qui se tient au-dessus de ces enfants sans défense ». Les vidéos de Westman, publiées quelques heures avant la fusillade, montrent également les phrases « tuer Donald Trump » et « pour les enfants » griffonnées sur des chargeurs d’armes à feu. Sur un chargeur AR, il écrit « Je suis le Woker, baby. Pourquoi si queer ? »
C’est l’idéologie transgenre qui a fourni à Robert Westman les excuses pour rationaliser le meurtre d’enfants sans défense. Ses écrits affichent une haine évidente envers les chrétiens, les conservateurs et Donald Trump. Ces expressions sont courantes au sein de la communauté transgenre, qui prône régulièrement la violence contre les conservateurs.
Leur argument ? Que les conservateurs qui empêchent les enfants d’être bourrés de bloqueurs de puberté ou de se faire mutiler des parties du corps s’apparentent à de l’extermination.
N’oubliez pas que ces personnes considèrent vos enfants comme des cibles à endoctriner et à convertir – c’est ainsi qu’elles se reproduisent.
Ainsi, dans leur esprit tordu, nos efforts pour mettre fin au grooming transgenre équivalent à un génocide.
Il existe de nombreux cas de violence à motivation politique contre des personnes innocentes, dans lesquels l’acte ne peut être dissocié de l’idéologie qui l’a inspiré. Le mot qui désigne cela est « terrorisme ». L’attaque de Robert Westman était purement et simplement du terrorisme transgenre, et il existe beaucoup d’autres personnes comme lui.
Westman était-il réellement « de droite » ?
C’est le discours médiatique habituel après presque tous les actes de violence de gauche ; ils essaient de prendre leurs distances tout en défendant les motivations de la personne. Dans le cas de Westman, ses écrits sont clairs : c’est un gauchiste. Les médias se sont accrochés à deux arguments secondaires pour affirmer le contraire :
Premièrement, Westman détestait les Juifs. Les médias affirment que cela fait de lui un « néonazi » et que cela fait automatiquement de lui un homme de droite. Soyons clairs, les gauchistes d’aujourd’hui sont tellement antisémites qu’ils feraient rougir n’importe quel néonazi moyen. Ils détestent les Juifs et Israël, et ils courtisent les groupes musulmans depuis près d’une décennie dans le but de former une alliance. Y a-t-il des personnes de droite qui sont d’accord avec Westman ? Bien sûr. Mais le fait d’être d’accord sur un seul sujet ne fait pas de lui un conservateur.
Deuxièmement, des rapports suggèrent que le guntuber [Parlant d’armes sur Youtube, Ndt] conservateur/libertarien Brandon Herrera a été mentionné dans les écrits du tireur. Westman aurait déclaré avoir « rencontré Herrera au SHOT Show de Las Vegas » et s’être mis d’accord avec lui sur un certain nombre de sujets. Herrera affirme ne pas se souvenir avoir rencontré Westman ni avoir eu de conversation avec ce transsexuel lunatique.
Il note qu’une personne comme Westman se serait fait remarquer comme le nez au milieu du visage lors d’un événement comme le SHOT Show, qui est généralement réservé aux professionnels du secteur et aux médias spécialisés dans les armes à feu. Le SHOT Show a également publié une déclaration indiquant qu’il n’y avait aucune trace de la participation de Westman à leur conférence.
Ma théorie ? Je pense que les mentions de Herrera ont été placées là pour détourner l’attention du culte gauchiste effréné de Westman, offrant ainsi au mouvement woke une possibilité de déni. En d’autres termes, il s’agit d’une fausse piste qui ne correspond à aucune autre preuve présentée sur les antécédents de cet homme.
L’idéologie transgenre est une façade commode pour les malades mentaux
Je suis tellement fatigué de voir les médias grand public perpétuer l’idée fausse selon laquelle les gens peuvent choisir leur genre. Même dans le cas d’un tueur de masse, ils insistent pour « respecter les pronoms de la personne ». Ce comportement permet à ces malades mentaux de se comporter comme ils le font.
Westman avoue dans son manifeste que ses efforts de transition étaient une erreur et qu’il aurait souhaité ne jamais s’être « lavé le cerveau ». Il a noté qu’il « aurait aimé être une fille », mais qu’il avait accepté que cela était impossible. Il a gardé ses cheveux longs comme « dernier vestige » de la façade transgenre, car il avait peur de les couper et d’admettre sa « défaite embarrassante ».
Cette révélation confirme ce que je dis depuis des années : la grande majorité des personnes transgenres sont des imposteurs. Ils endossent le costume d’activiste parce qu’ils sont des rebelles désespérés à la recherche d’une cause à laquelle se raccrocher. Les personnes souffrant d’une véritable dysphorie de genre sont extrêmement rares, mais les maladies mentales en général sont courantes dans l’Amérique d’aujourd’hui.
L’idéologie transgenre a été instrumentalisée par les globalistes et les gouvernements au cours de la dernière décennie. Il y a une bonne raison pour laquelle le nombre de personnes s’identifiant comme transgenres a explosé depuis 2018 : la propagande visant les enfants a été intense et les incitations à obtenir l’approbation sociale sont écrasantes.
Cette philosophie séduit les personnes souffrant de troubles émotionnels préexistants et est particulièrement attrayante pour les narcissiques qui gravitent autour du relativisme moral et scientifique inhérent à la pensée fluide du genre. En d’autres termes, il est facile de repérer les personnes susceptibles de poser problème dans une communauté donnée : il suffit de rechercher les drapeaux transgenres et le maquillage de clown.
À la suite de la fusillade, les Démocrates tentent de transformer cet événement en un problème lié aux armes à feu. Ce n’est pas le cas. Des millions d’Américains possèdent des armes à feu et presque personne ne décide d’aller tirer dans une école remplie de jeunes enfants. Non, il s’agit d’un culte idéologique qui glorifie la maladie mentale. Il s’agit du transgenre. Les militants transgenres et les personnes qui les soutiennent sont le problème.
Je tiens à préciser que je ne parle pas de toutes les personnes qui s’habillent comme le sexe opposé (ou le genre opposé, selon votre préférence). Il existe des personnes transgenres conservatrices qui sont en désaccord avec le mouvement LGBT sur la plupart des questions. Je parle des militants politiques gauchistes. Ils doivent disparaître. Il n’y a plus de place pour eux aux États-Unis.
Je pense que la solution est évidente : il est temps de rétablir les asiles et d’enfermer les fous. Ce n’est pas une idée nouvelle, c’est devenu un mantra pour beaucoup de gens en 2025. J’ai discuté des avantages des asiles dans mon article « Comment résoudre le problème de la violence aux États-Unis ? Supprimer les villes gérées par les Démocrates et rétablir les asiles », publié en 2023.
Au plus fort de l’ère des asiles aux États-Unis, la criminalité a atteint son niveau le plus bas. Si les asiles sont associés à des peines de prison prolongées pour les récidivistes, la criminalité disparaît presque complètement. Il y avait des abus et des violations dans certains hôpitaux qui devaient être traités, mais je dirais que, dans l’ensemble, l’utilisation des asiles était indéniablement positive pour la société. Après leur fermeture, la criminalité a explosé. Depuis, nous essayons de faire face en utilisant les systèmes pénitentiaires d’État.
Le temps des discours est révolu. Le temps des compromis et de la compassion est révolu. Le temps de l’ignominie brutale est venu. À tout le moins, ces personnes doivent être ridiculisées, moquées et humiliées jusqu’à ce qu’elles disparaissent. Tous les aspects du militantisme transgenre doivent être rejetés et effacés de notre société. Ceux qui profèrent des menaces de violence explicites doivent être enfermés, comme ils l’auraient été il y a 70 ans.
Avec le temps, le cancer du « wokisme » disparaîtra, mais ce changement culturel à long terme ne résout pas la menace immédiate. Soit nous les enfermons dans des chambres capitonnées, soit nous les expulsons du pays, mais laisser ces fanatiques continuer à semer le chaos, ou peut-être regagner un jour le pouvoir politique, n’est pas une option.
Brandon Smith pour le Saker Francophone.




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