La gauche salit ses ennemis, même après leur mort !

Publié par le 21 Sep, 2025 dans Blog | 0 commentaire

La gauche salit ses ennemis, même après leur mort !

La gauche « morale », la gauche donneuse de leçons, la gauche qui nous rebat les oreilles avec les valeurs de la République, est la première à bafouer ces valeurs.

Pour la gauche, pour le Camp du Bien, la fin justifie les moyens et tous les coups sont permis contre ses adversaires politiques qu’elle traite en ennemis.

L’assassinat de l’influenceur conservateur Charle Kirk a vu la gauche et, en premier lieu, ses médias multiplier les fake news pour salir la mémoire de Charlie Kirk. On a assisté à un festival des phrases sorties de leur contexte qui faisaient dire à Charlie Kirk l’exact inverse de ce qu’il exprimait.

On en a eu un exemple caricatural sur l’antenne de France Inter avec l’intervention d’Ivanne Trippenbach, journaliste au Monde.

Heureusement qu’un autre intervenant est intervenu pour dénoncer un mensonge caractérisé illustrant parfaitement l’absence de déontologie de la presse gauchiste :

La défense de la journaliste est édifiante :

C’était pour aller plus vite et exposer le fond de son positionnement politique !

Vous aurez bien noté aussi que juste après la dénonciation de la fake news, Nicolas Demorand, ancien rédacteur en chef de Libé, tente de faire oublier l’incident en demandant qu’on laisse finir Ivanne Trippenbach !

Dans cet article, l’Observatoire du journalisme pointe la perte totale d’éthique de la presse de gauche :

Comment certains médias tentent de salir
Charlie Kirk et de maquiller son meurtrier

Charlie Kirk, influenceur de droite connu pour quasi-systématiquement mettre la gauche à l’amende, a été tué le 12 septembre par un militant d’extrême-gauche proche des milieux transsexuels.

Le drame n’a rien du scénario rêvé pour les médias français, qui tentent par tous les moyens de travestir la réalité. Nous revenons avec un deuxième article sur le sujet.

Noircir la mémoire de Charlie Kirk

Les qualificatifs ne manquent pas pour qualifier Charlie Kirk, un influenceur qui débattait sur les campus contre les idées de la gauche. Avec succès d’ailleurs, ce qui est sans doute la raison pour laquelle il a été tué. Pour Le Monde, c’est un « trumpiste », pour RFI et RTL un « ultra-conservateur », pour Libération un « proche de Donald Trump », pour Courrier international un « activiste de droite ». Radio France évoque :

ses propos pro-armes, anti-avortement, anti-migrants ou sa rhétorique virulente sur les minorités ethniques. 

Le Parisien assure :

Charlie Kirk, 31 ans, figure de la droite américaine, utilisait ses millions d’abonnés sur les réseaux sociaux et ses interventions dans les universités pour défendre le président Donald Trump. Il diffusait aussi ses idées nationalistes, chrétiennes et traditionalistes sur la famille auprès de la jeunesse.

Un tueur d’extrême-droite : la fable médiatique à tout prix

Tyler Robinson, le meurtrier de Charlie Kirk, lui, est d’extrême-gauche, ou l’est très probablement.

Cela ne fait pas les affaires de la gauche et des médias, qui essaient donc de faire oublier cet aspect.

Chez France info, on mentionne « un jeune de 22 ans ». Ouest-France affirme que « les motivations du suspect ne sont pas encore connues », Le Parisien qu’elles « restent mystérieuses ».

D’autres médias tiennent à la présomption d’innocence, qui leur paraît moins primordiale lorsqu’il s’agit de pleurer des voyous d’origine extra-européenne tués par la police après des refus d’obtempérer. RFI précise ainsi que Spencer Cox « se passant de présomption d’innocence » a reconnu que le tueur était bien Tyler Robinson, un militant d’extrême-gauche.

Le vrai danger, c’est l’extrême-droite

Les médias le savent bien : quand un camp dispose d’un martyr, il en est renforcé. Si la droite se serait bien passée du meurtre de Charlie Kirk, elle peut néanmoins s’en servir pour montrer le danger d’une extrême-gauche de plus en plus violente, preuves à l’appui. Certains articles tâchent donc de montrer que, quoiqu’il arrive, le danger demeure à l’extrême-droite. Ainsi, France info titre :

après le meurtre de Charlie Kirk, les nationalistes pro-Trump radicalisent leur discours et prévient que la remise à titre posthume à Charlie Kirk de la médaille de la Liberté, la plus haute distinction civile des États-Unis, va encore attiser les tensions.

De son côté, Ouest-France alerte sur les retombées de l’assassinat outre-Atlantique, c’est-à-dire en Europe. Dans un article titré « Charlie Kirk, un “martyr” pour l’extrême droite européenne », il précise que cette extrême-droite « cultive de très bonnes relations avec la galaxie Trump ».

Le journal évoque la manifestation organisée à Londres par Tommy Robinson, en précisant qu’il s’agit d’un « militant d’extrême-droite multicondamné ». Tommy Robinson a notamment été condamné pour avoir fait voler en éclats l’omerta qui dissimulait la nationalité pakistanaise des violeurs proxénètes des « grooming gangs » qui livraient à l’esclavage sexuel de jeunes britanniques de 11 à 14 ans.

Craignez Donald Trump

Donald Trump prenant l’affaire au sérieux et y voyant une preuve que le débat politique disparaît au profit d’une guerre civile, il a eu des mots pour le moins fermes concernant le meurtrier et ceux qui l’ont influencé. Selon RFI :

il a fait de la mort de son soutien [Charlie Kirk, NdlR] une affaire d’État.

Pour France TV, il « lance la chasse aux sorcières ». Médiapart dénonce une « vague de répression ». Le Monde montre aussi l’ennemi en ces termes :

Le président Trump et son entourage, au lieu d’appeler à l’unité du pays, a immédiatement accusé la “gauche radicale” et fait de Kirk un véritable “martyr de la vérité et de la liberté” pour l’extrême-droite, ajoutant ainsi à l’extrême polarisation de la société américaine et à l’esprit de vengeance de la base MAGA. 

Le Nouvel Observateur, lui, pense aux Démocrates qui « n’avaient vraiment pas besoin de cela. » En effet, le meurtre de Charlie Kirk aurait « donné à Donald Trump l’occasion de déclarer la guerre aux démocrates » et « risque d’alimenter la machine à répression d’un président ayant juré de se venger de ses opposants. Pour l’article « Trump a décidé d’instrumentaliser la flambée de violence politique qui embrase l’Amérique. »

Fin de l’impunité de l’extrême gauche

Donald Trump veut avant tout faire cesser l’impunité dont bénéficie l’extrême-gauche, qui peut appeler au meurtre ou se réjouir de ceux qui sont commis sans grand risque. Pour lui, cette situation doit cesser. Il a notamment engagé une vague de licenciement des personnes s’étant réjouies de la mort de Charlie Kirk. Radio France note donc :

dire du mal de Charlie Kirk peut vous coûter votre emploi, souvent suite à des pressions de la sphère trumpiste.

L’article explique que :

Le ministre de la défense demande à ses services de traquer toute publication hostile, et un site internet de dénonciation a aussi vu le jour sur la toile. Assimilé à un “martyr” par ses partisans, Charlie Kirk est intouchable : et tant pis pour le premier amendement, garant de la liberté d’expression, pourtant porté en étendard par la droite américaine.

L’attaque est osée sachant que Charlie Kirk est justement mort pour avoir usé de la liberté d’expression. Reste à savoir combien de temps les médias nieront la violence de l’extrême-gauche.

Adélaïde Motte pour l’Observatoire du journalisme.

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